AlloCiné
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C'est l'histoire d'un fermier qui a accepté qu'un groupe pharmaceutique fasse des expériences sur ces vaches pour une reproduction plus rapide.
Dommage pour lui, l'expérience tourne mal et une vache va donner naissance à un monstre bien dégueulasse.
Ce film date de 2006, mais j'ai été agréablement surpris par son ambiance vraiment glauque et sombre.
Scénario/histoire : Pas réellement original, les expériences par un groupe quelconque sont Monet courante dans les films, mais pas trop dans une ferme perdue dans la pampa bien crade, ce qui est je trouve plutôt bien vu.
Acteurs : Ils ne sont pas connus et d'ailleurs, ils ne sont pas très nombreux dans ce film, mais je les trouve plutôt convaincants sauf peu être le scientifique qui bute les gens comme ça sans que ça ne le dérange le moins du monde.
Effets spéciaux : Pas grand-chose à se mettre sous la dent, mais ils sont plutôt bien faits, en espérant que ce ne soit pas de vrais animaux. Dommage que le monstre ne soit pas très charismatique, il m’a l'air d'ailleurs extrêmement fragile.
Bande son : Il n'y a rien du tout comme ça, c'est vite vu.
Dommage pour lui, l'expérience tourne mal et une vache va donner naissance à un monstre bien dégueulasse.
Ce film date de 2006, mais j'ai été agréablement surpris par son ambiance vraiment glauque et sombre.
Scénario/histoire : Pas réellement original, les expériences par un groupe quelconque sont Monet courante dans les films, mais pas trop dans une ferme perdue dans la pampa bien crade, ce qui est je trouve plutôt bien vu.
Acteurs : Ils ne sont pas connus et d'ailleurs, ils ne sont pas très nombreux dans ce film, mais je les trouve plutôt convaincants sauf peu être le scientifique qui bute les gens comme ça sans que ça ne le dérange le moins du monde.
Effets spéciaux : Pas grand-chose à se mettre sous la dent, mais ils sont plutôt bien faits, en espérant que ce ne soit pas de vrais animaux. Dommage que le monstre ne soit pas très charismatique, il m’a l'air d'ailleurs extrêmement fragile.
Bande son : Il n'y a rien du tout comme ça, c'est vite vu.
Un film d'angoisse agricole qui ne révolutionne pas le genre, mais efface et tendu, à l’atmosphère anxiogène, et soutenu par une interprétation convaincante.
Henrico
On peut reprocher d’être parfois lent et toujours glauque, « Isolation » est d’un excellent rapport "qualité prix". Billy O’Brien, par le biais d’une caméra très astucieuse, rentabilise au maximum des décors qui ne lui ont pas coûté un radis, une poignée d’acteurs solides, une histoire simple mais intelligente. Et les ingrédients du genre sont respectés scrupuleusement: à savoir, le suspense omniprésent, l’horreur tous les deux trois détours, le savant fou, le monstre, ses victimes expiatoires éliminées une à une. La scène finale est de grande qualité et laisse entrevoir une possibilité de "sequel".
La première moitié du film est lente car ils essaient de développer l'histoire. Un mari infidèle se bat pour sauver son mariage en partant en vacances exotiques. La femme l'accompagne à contrecœur et éprouve toutes les craintes des femmes blessées par un mari infidèle et a du mal à le pardonner. Ils se retrouvent sur une île isolée d'où le titre avec deux autres maisons habitées presque des manoirs haut de gamme. Ils rencontrent deux couples séparément et font confiance au mauvais couple. Aucun développement des personnages et tout le monde est superficiel et sans cervelle. Tout le monde meurt d'une manière horrible sauf notre couple. Beaucoup de vulgarité inutile et d'utilisation de drogues. Je ne le regarderai pas à nouveau et je ne l'aurais pas regardé en premier lieu en sachant ce que je sais maintenant...
Une histoire de germe antonyme à l’Alien, la meilleure variante de science-fiction, revenant sur Terre florissante après l’espace décontaminé, l’isolation dans une ferme bled anglais, un grand cinéma indépendant qui se fait passer sans rougir avec maestria.
C’est britannique, irlandais et américain, c’est viscéral comme les entrailles la mise en scène au premier abord du semi-réalisme, sans enjeu effrayant, ça surprend subitement, l’ambiance boueuse, c’est sale, il y a de la boue et on découvre l’horreur sûrement.
De simples vaches d’apparence normale, sont thème central de l’intrigue, elles deviennent folles, anomalies détectées microscopiques, c’est les maïs transgéniques, un peu de clonage fécondation in vitro, la mutation est décuplée en une évolution terrible, vers ce qu’on appelle l’involution.
A une vitesse inimaginable, terrifiante, l’organisme de tout être vivant, les humains biologistes vétérinaires manipulent, attention.....! Un hommage rendu à sa place, The Thing, l’oublié congelé revient en forme, des parasites 🦠 parallèles linéaires aux droites géométriques mathématiques non cosmiques.
Une saleté intrigante à combattre vigoureusement, un message isolé sous plusieurs angles et de points de vue degré d’appréciation, des coups de pieds suffisent les protagonistes aux conduits d’aération, séparés puis réunis ensemble, juste pour le travail dans des conditions dramatiques.
Difficultés d’exploitation dans les économies des pays anglo-saxons, acharnés et survivants de cette réalisation, le pire est passé ensuite se révéler dans l’échographie mammaire bovine, c’est un cauchemar ce chef-d’œuvre.
C’est britannique, irlandais et américain, c’est viscéral comme les entrailles la mise en scène au premier abord du semi-réalisme, sans enjeu effrayant, ça surprend subitement, l’ambiance boueuse, c’est sale, il y a de la boue et on découvre l’horreur sûrement.
De simples vaches d’apparence normale, sont thème central de l’intrigue, elles deviennent folles, anomalies détectées microscopiques, c’est les maïs transgéniques, un peu de clonage fécondation in vitro, la mutation est décuplée en une évolution terrible, vers ce qu’on appelle l’involution.
A une vitesse inimaginable, terrifiante, l’organisme de tout être vivant, les humains biologistes vétérinaires manipulent, attention.....! Un hommage rendu à sa place, The Thing, l’oublié congelé revient en forme, des parasites 🦠 parallèles linéaires aux droites géométriques mathématiques non cosmiques.
Une saleté intrigante à combattre vigoureusement, un message isolé sous plusieurs angles et de points de vue degré d’appréciation, des coups de pieds suffisent les protagonistes aux conduits d’aération, séparés puis réunis ensemble, juste pour le travail dans des conditions dramatiques.
Difficultés d’exploitation dans les économies des pays anglo-saxons, acharnés et survivants de cette réalisation, le pire est passé ensuite se révéler dans l’échographie mammaire bovine, c’est un cauchemar ce chef-d’œuvre.
Attention voici les vaches transgéniques ! On ne nous l'avait jamais fait celle-ci ! Et la surprise c'est que ce n'est pas mal du tout. Ce qui frappe c'est d'abord le réalisme : La ferme décrite n'a rien à voir avec les albums du Père Castor, ici c'est sale, c'est boueux, répugnant, et ça commence en mode glauque avec l'accouchement très compliqué d'une brave vache. Et c'est le début des emmerdes, c'est très prenant, sordide mais bien foutu, la réalisation se défend, les acteurs sont, bons, évidemment les effets spéciaux sont un peu chips et on a un grand coup de mou aux trois quarts du film avec des problèmes de lisibilité, mais dans son genre c'est vraiment pas mal.
On peut effectivement être très septique sur cette histoire de vache qui met bas des mutants tueurs... Bon, après cela dit on se trouve donc pendant tout le film dans l'étable et environ immédiat d'une ferme avec 6 acteurs en tout et pour tout et les bestioles... Je suis de ceux qui ont vu un bon petit film horrifique de "l'amour est dans le pré" avec une actrice que j'aime beaucoup : Ruth NEGGA (excellentissime dans la série PREACHER). Franchement, étonné du résultat même si la toute fin du film est mauvaise. Oui, le réalisateur aurait peut être pu trouver autre final moins "on la vu venir à 100 mètres". Dommage.
Rien de bien original (voir même quasiment rien), pourtant je pensais que retranscrire The Thing/Alien dans une ferme au fin fond de l'Angleterre pouvait se démarquer par une ambiance et une mise en scène propres aux britishs, un truc bien singulier, sauf que non, ça calque complétement ses modèles à la virgule près, avec juste moins de moyens. Après ça ne tombe pas dans le nanar, ça fait son taf de modeste petite série B et les acteurs sont corrects, mais j'en retire rien, ou à la limite un parallèle avec Petit Paysan vu dernièrement en plus du sous-texte écolo, mais bon... Je suis resté passif devant.
Voilà un film qui marche. Même s'il est un peu lent, l'ambiance est là. Ce film nécessite à mon goût une mise en garde : certaines scènes sont très dures (le milieu aidant) et il faut avoir le cœur accroché pour le regarder dans son intégralité.
Isolation est un film d'horreur très intelligent, préférant opter pour un rythme lent, l'action monte crescendo. L'histoire et très prenante et les acteurs sont irréprochables, Billy O'Brien filme John Lynch à la perfection lui rendant tout son charisme sur de nombreux plans, l'acteur crève l'écran et ces coéquipiers (Ruth Negga, Sean Harris, Marcel Iures) sont tous aussi exellent les uns que les autres. Isolation est une réussite.
La force de ce film réside dans l'atmosphère qu'il dégage, tout commence une nuit où dans une ferme perdue au fin fond d'une campagne, un agriculteur va être l'acteur de la mise à bas d'un énième veau...Entre les vétérinaires qui se succèdent dans la nuit glacée, la boue et les ombres froides des divers bâtiments de cette ferme, le réalisateur réussit à planter une ambiance très particulière, limite glauque. Dés les premiers instants on est happé par les événements qui vont vite dégénérer. Les vaches de cet agriculteurs risquent de contaminer, quelque chose ne va décidément pas ici...
Audrey L
Un film d'horreur au scénario complètement barré (des vaches mutantes dans un abattoir !!!) mais qui n'est pas, n'en déplaise aux spectateurs très mécontents, aussi mauvais que l'on peut le penser. Alors, certes, il ne faut pas s'attendre à voir le film de la décennie ou même de l'année, mais en acceptant de prendre ce film modeste pour ce qu'il est, on apprécie encore plus les bons petits moments qu'il réserve. Le peu d'acteurs (quelques-uns à peine) explique déjà le titre : Isolation, mais renforce aussi le côté angoissant car les héros sont loin de toute population et ne peuvent pas compter sur beaucoup d'amis pour combattre la mystérieuse créature qui rôde... Créature qui est ouvertement une critique des progrès dans le courant eugéniste (mutations génétiques pour trouver l'être parfait) et qui tourne au monstre quand l'homme se prend pour un dieu... L'atmosphère est étouffante et sombre, et le film propose de bonnes scènes assez sanglantes (mais il n'y a pas franchement de quoi s'arrêter de manger devant le film, testé et fait sans problème aucun), ce qui plaît aux amateurs du genre. L'esthétique de la créature aurait pu être un peu plus soignée, car il faut l'avouer, elle dégouline de sang et ne fait pas vraiment peur, ne sachant pas ce que l'on regarde, donnant un tout confus et brouillon (les contours et formes surtout sont insaisissables à cause des chairs déchirées, dommage). Quelques scènes sont dérangeantes à souhait (
spoiler:
lorsque la créature rampe dans les draps de l'héroïne dénudée)
et ne réserve définitivement pas ce film aux âmes sensibles. Le seul véritable conseil pour apprécier ce film audacieux : prenez-le pour ce qu'il est, à savoir un film au budget serré et aux acteurs loin d'Hollywood. Un petit horror movie qui fait passer un moment sympathique.
et ne réserve définitivement pas ce film aux âmes sensibles. Le seul véritable conseil pour apprécier ce film audacieux : prenez-le pour ce qu'il est, à savoir un film au budget serré et aux acteurs loin d'Hollywood. Un petit horror movie qui fait passer un moment sympathique.
Excellent petit film d'horreur britannique (justement récompensé à Gerardmer).Même si l'intrigue s'inspire d'Alién, il s'en démarque par une réelle volonté de nous mettre en garde contre les multiples expériences génétiques qui sont faites sur les animaux et sur l'homme de nos jours.La réalisation est soigné et les acteurs de qualité :à conseiller
Isolation film d'horreur irlandais dont j'étais curieux de savoir ce qu'il valait vu les avis partagés qu'il a reçu, et je trouve se film vraiment assez moyen dans l'ensemble, dans les points positifs il y a son ambiance vraiment très glauque qui rajoute de la tension pendant tout le film, les acteurs qui sont excellents, et sa bande son qui est vraiment à glacer le sang. Maintenant passons aux points négatifs, alors déjà, Isolation a un rythme beaucoup trop lent ce qui fait qu'il traîne pas mal en longueur, le scénario n'est pas du tout original, et la créature est trop peut présente à l'écran, d'ailleurs soit dit en passant, le design de cette créature montre très bien le manque de budget. Bon au final je suis mi-figue mi-raisin, le film est très moyen, il est stressant mais sans plus, enfin bref il aurait pu être beaucoup mieux que ça.
Julien D
Débutant à la façon d’un drame social dans une ferme irlandaise, nous détaillant minutieusement le travail d’un exploitant bovin ainsi que les difficultés financières auxquels il doit faire, on peut affirmer que le premier film de Billy O'Brien pose bien son contexte, au risque de mettre un peu trop de temps avant de nous faire profiter son potentiel horrifique. Installées par les scènes d’accouchements et d’autopsie des vaches, qui sont déjà fondamentalement gores, et par l’ambiance visuelle blafarde et claustrophobique de cette ferme, les sensations de malaise et d’angoisse font place à la peur dès lors qu’une créature commence à poser problèmes aux personnages et à briser leurs relations jusque là amicales. Le design de ce petit monstre et les cadrages renvoient directement à l’Alien de Ridley Scott, une référence des plus prestigieuses dans les domaines du survival et de la science-fiction. La sobriété du concept ainsi que des effets visuels sont la preuve que l’ingéniosité reste le vecteur le plus efficace pour effrayer le public et qu'O'Brian l'a bien compris.
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