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LE GRAND BAZAR. Des héros qui font ce qu'ils peuvent. A coeur vaillant rien d'impossible. Entre deux compagnie, Lamoureux franchouillard ressort ses bras cassés. C'est pas passé loin chef! Pithivier et Chaudard ont aimé.
Fort de la devise énoncée par le titre du film, Robert lamoureux met en scène une petite comédie vantant la débrouillardise et le système D bien de chez nous, parait-il. Le principe "impossible pas français" se vérifie d'autant plus facilement que l'aventure du trio Mondy-Lefèbvre-Tornade est rendue possible par la complaisance et les invraisemblances du scénario. Surtout que les personnages de Lamoureux sont des français moyens pas très futés, autant de figures typées, conventionnelles, de la comédie populaire des années 70, que la bande du Splendid, quelques années plus tard, ringardisera er poussera vers les oubliettes de la comédie.
Reconnaissons que quelques passages peuvent faire sourire et, qu'aussi peut rigoureux qu'il soit, le film de Robert Lamoureux n'est pas précisément un nanar. Mais, hormis de rares bons mots et quelques expressions dépitées de Pierre Mondy, on ne réagit guère aux aventures de la famille Brisset. Même au coeur du sujet, dans la seconde partie du film; où les personnages, spoiler: transformées en routiers de fortune, convoient une matière rare
, on reste agacé par les plaisanteries et rebondissemnets plutôt puérils que le réalisateur introduit sans le moindre souci de subtilité.
Reconnaissons que quelques passages peuvent faire sourire et, qu'aussi peut rigoureux qu'il soit, le film de Robert Lamoureux n'est pas précisément un nanar. Mais, hormis de rares bons mots et quelques expressions dépitées de Pierre Mondy, on ne réagit guère aux aventures de la famille Brisset. Même au coeur du sujet, dans la seconde partie du film; où les personnages, spoiler: transformées en routiers de fortune, convoient une matière rare
, on reste agacé par les plaisanteries et rebondissemnets plutôt puérils que le réalisateur introduit sans le moindre souci de subtilité.
Film de Robert Lamoureux bien franchouillard. Mais contrairement à la plupart des films français des années 70, celui est divertissant non bébête ni vulgaire. Avec un lot de comédiens (Pierre Mondy, Jean Lefebvre ou encore Pierre Tornade....) nous passons un bon moment sans avoir la grande comédie.
Cette pochade évidemment datée se laisse regarder avec plaisir, malgré quelques longueurs sur la fin, grâce à la complicité des trois acteurs principaux - qu'on retrouve évidemment dans la Septième compagnie.
Une pure comédie à la française avec un casting bien franchouillard, qui ce vois et ce revois avec plaisir !!!
Pas mal du tout. L'histoire se tient, les acteurs aussi. Certes on sourit plus qu'on ne rit et c'est tout de meme un peu mou par moment.
Comédie bien Française, d'un autre temps comme on en fera plus.... et c'est bien dommage. Gros casting et vanes d'époques. Le genre de films qui se regardent avec nostalgie. Difficile à comprendre aujourd'hui entre francs et anciens francs français, vous comprendrez. A ne pas manquer pour un enrichissement culturel sur ma France Parisienne des années 70. ----Août 2020----
tixou0
En 1974 (qui débute sous Pompidou, VGE prenant le relais présidentiel en mai...), c'est le plein emploi dans notre belle France : seulement 400.000 inscrits à l'ANPE ! Les conséquences du 1er "choc pétrolier" (de l'année précédente) sont encore (un peu) à venir. Aussi, quand le comptable Antoine Brisset (Pierre Mondy) perd son emploi par la faute d'un patron joueur, qui fait faillite, il est sûr de "rebondir", tout presque quinqua qu'il est. En attendant mieux (qui ne peut tarder), il trouve un petit job chez son beau-frère, détective privé (Pierre Tornade), et entraîne même à cette occasion son propre frère Louis, fainéant de compétition (Jean Lefebvre). Quiproquos et rencontres improbables vont signer le départ d'une équipée fructueuse... ou pas, entre Barcelone et Le Havre. Robert Lamoureux, la quintessence de l'esprit français éternel, trouvait là une occasion (écriture, réalisation - et même un petit rôle...) de livrer à la postérité une illustration de la célèbre citation attribuée à l'Empereur ("Impossible... pas français"), renouvelée à l'aune des vertus lucratives de la malachite.... Entre deux "7e Compagnie", un gentil film qui fait regretter l'heureuse époque où notre pays ressemblait encore à sa légende - loin du mondialisme sinistre - vive la "franchouillardise" !
Une comédie franchouillarde mais on s'y perd un peu, il reste des comédiens agréables à suivre et un réalisateur qui sait manier l'ironie.
C'est un lieu commun de lire à propos de certains films que leur seule intention est de nous faire rire ! En effet, pourquoi pas ? Sauf que là on ne rit vraiment pas souvent, la majorité des gags tombant à plat. A noter quand même le chauffeur
spoiler:
black qui pleure en écoutant "les roses blanches"
ou les élucubrations de Robert Lamoureux. Tout cela occupe les yeux mais ça fait un peu pétard mouillé. Robert Lamoureux fut un bon auteur de théâtre et un acteur attachant, réaliser des films ne fut pas sa meilleure idée !
ou les élucubrations de Robert Lamoureux. Tout cela occupe les yeux mais ça fait un peu pétard mouillé. Robert Lamoureux fut un bon auteur de théâtre et un acteur attachant, réaliser des films ne fut pas sa meilleure idée !
Un film qui n'a qu'une prétention mais qui est loin d'être toujours atteinte, faire passer un bon moment..... dans la veine des comédies à la française de Oury, Zidi, Robert et quelques autres, Lamoureux nous livre ici un film vite fait mais bien fait avec une cerise sur le gâteau, la belle France Dougnac...... qui ne fait que de courtes apparitions mais qui est la raison pour laquelle je suis tombé sur ce film......
Entre deux volets de la "Septième compagnie", Robert Lamoureux" signe en 1974 une comèdie française bien de chez nous! L'acteur-rèalisateur, quittant provisoirement l'uniforme, aborde dans "Impossible... pas français" (on voit que si le contexte n'est plus tricolore, le titre reste cocardier) le thème des quadragènaires au chômage dont les Italiens auraient fait une comèdie grinçante et qui n'est ici que prètexte à traitement de boulevard! Mais ne boudons pas notre plaisir car on retrouve ici tous les acteurs populaires de l'èpoque incarnant parfaitement ses français moyens chers à Robert Lamoureux: Jean Lefebvre ("J'ai dû casser quelque chose"), Pierre Mondy, Pierre Tornade, Jacques Marin...et même la belle France Dougnac (quatre ans avant le mythique "Coup de tête"). 120 millions d’anciens francs à gagner, c'est pas cher payer pour ce film dèbrouillard et inoffensif...
Une comédie sympathique, bien typique de l'humour franchouillard des années 70, mais sans aucune vulgarité. Idéal pour se changer les idées.
"Impossible pas Français" est une comédie franchouillarde bien représentative des années 70 qui furent "l'age d'or" de ces comédies sans prétention qui n'avaient pour but que de faire marrer le public. Bien evidemment il est inutile de vous dire que cette comédie ne casse pas trois pattes à un canard mais elle réussit à faire rire et l'on retient ça. Il faut dire qu'un film réunissant Jean Lefèbvre, Pierre Tornade et Pierre Mondy ne pouvait pas ne pas être un divertissement agréable. Et tout cela devant la caméra de Robert Lamoureux.
Une bonne comédie franchouillarde ou l'on retrouve avec plaisir une partie de l'équipe de la 7ème compagnie avec Robert Lamoureux devant et derrière la caméra ainsi que les inimitables Pierre Mondy, Jean Lefebvre ou encore Pierre Tornade. Robert Lamoureux ne retrouve pas l'humour irrésistible de sa célèbre trilogie mais dresse tout de même une comédie correcte qui a un peu de mal à décoller mais qui se suit au final avec plaisir.
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