Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
gregbox51
40 abonnés
1 035 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 9 octobre 2013
Dur à critiquer tellement c'est mauvais ! Scénario boursouflé et insipide, Effets spéciaux très spéciaux et dignes de Georges Méliès.... Lassant, mais lassant, mais lassant ................
Que dire que dire... car oui, ce n'est pas terrible... et le personnage principal est pathétique pendant une bonne partie du film. Sans parler des effets spéciaux, très mauvais. L'histoire est un peu brouillonne également. Mais j'apprécie le Japon, et sous couvert d'une réalisation de super-héros, la pilule passe peut-être un petit peu mieux...
Zebraman est un film plutôt amusant pour peu que l'on aime le gros n'importe nawak sur pellicules. Si l'histoire se tient relativement pendant un temps avec cet instituteur qui se prend pour le héros costumé et zébré de son enfance, ça part ensuite sérieusement en vrilles quand débarquent des extraterrestres au look grotesque. Là, le scénariste ne semble plus répondre de rien et l'histoire part dans un bon gros délire à base de prophétie et de série télé ringarde. Dommage que le rythme ne soit pas plus maîtrisé et les effets spéciaux un peu plus soignés mais les amateurs de curiosités asiatiques devraient y jeter un oeil.
Variation japonaise du film de super-héros, plus traité de façon manga (et pour cause) que façon comics. Mais le manga social et enragé où un simple quidam quarantenaire se transforme en justicier avec de maigres moyens. On pense un peu à "Kick-ass", mais Takashi Miike ne se permet pas les fantaisies et passages obligés de la contre-culture US. Au contraire, le quotidien y est morne bien sûr et le reste malgré tout ce qui peut arriver d'extra-ordinaire. Une version très particulière et typiquement japonaise que le réalisateur aurait pu écourter cependant. De nombreux passages paraissent un poil trop longs.
Très particulier. Le scénario s'avère plutot étoffé et intriguant. Mais Zebraman déçoit sur le plan artistique : une mise en scène à l'allure de pseudo-documentaire (souvent filmé caméra à l'épaule), avec une photographie des plus ternes ; inutile de préciser que cette esthétique ne convient guère à l'atmosphère d'un film avant tout fictionnel et crée ainsi un rendu visuel plutôt de mauvais de goût. En parlant de Zebraman comme un cru moyennement réalisé et souvent ennuyeux, on pourrait sous-entendre qu'il s'agit d'un simple ratage ou presque. Cependant non, loin de là. Il y a quelques moments forts, quelques instants de poésie décalée et absurde, qui le rendent attachant lorsqu'il ne se veut pas rébarbatif. Et l'assaut final, qui fait dans le spectaculaire avec les moyens du bord, lui permet d'émerger complètement de sa léthargie. Et puis, ce déferlement d'effets numériques foireux tout autant que fun et qui rappellent nos années Sega... quel bonheur kitsch ! Un petit sentiment de plénitude qu'il ne faut craindre d'avouer, allons. Quant à l'épilogue, il est d'une élégance simple, tendre et touchante, si, si. Zebraman, quoiqu'il ne soit pas l'un des meilleurs Miike, demeure une oeuvrette dont les qualités transcendent les nombreuses maladresses et en font une curiosité.
Zebraman est un film fantastique très moyen de Takashi Miike. La mise en scène du réalisateur reste classique et le scénario aurait mérité d’être un peu plus travaillmé. De plus, les acteurs comme Sho Aikawa, Kyoka Suzuki ou et Atsuro Watabe sont juste corrects dans leurs interprétations. En clair, rien de mémorable.
Marre de tous ces films de superhero Marvel qui pullulent sur les écrans ??? Le "Zebraman" de Takashi Miike est fait pour vous !!! A l'antipode de tous ces Spider-Man, Iron Man, Captain America et compagnie, le personnage principal du film n'a aucun pouvoir et, il faut le dire, tient plus du looser que du héro. On pourrait le rapprocher d'un "Kick-Ass" (pour citer une référence connue). C'est débile mais jouissif. On retrouve en plus le grain de folie de Miike qui fait le charme de la quasi-totalité de ses long métrages. Pas l'oeuvre la plus inoubliable du réalisateur japonais mais celle-ci apporte un peu de fraicheur et d'originalité à sa filmographie.
Complètement con et raté, si ça avait été fait sur le ton de la plaisanterie ça aurait peut-être été regardable. Scénario débile et des effets spéciaux nul (même si c'est fait exprès). En plus, il dure deux heures (véritable supplice d'aller jusqu'au bout). Miike a voulu faire un film culte mais même les fans du cinéaste doivent être déçu, seule chose a relever l'apparition d'un sous genre le faux superhéro (kick-ass, ...).
Ce film partage l'insignifiance et l'humour de son titre. Le premier plan donnera le ton de cette fable grotesque agréable et bien pensée. Zebraman a quelque chose d'attachant représentatif des films de Miike, et même si des longueurs inutiles sont encore présentes, on ne peut s'empêcher de sourire devant toutes ces situations délirantes. Anything Goes!
Un film de superhéros japonais qui faut prendre au second degré. Un instituteur fan de la série TV Zebraman qui se déguise en son héros de son enfance. Il se lie d'amitié avec un enfant handicapé. Il combat des extraterrestres. L'humour japonais est délirant. Une pure série B du genre. Découvrez le Batman japonais.
A partir d'un scénario original (Un gars raté devient le super-héros dont il est fan depuis des années), Takashi Miike en tire le meilleur: de l'humour et de l'action à floison en restant bien loin de toute prétention visuelle à la Daredevil. Sho Aikawa assure en mari cocu et Takashi Miike, bien loin de toute ultra-violence habituelle, offre une mise en scène réussie et bien déjantée (Le méchant avec le masque de crabe, l'infirmière avec un casque en forme de gland,...). Zebraman, avec ses quelques effets spéciaux ratés, est une pure tuerie !!!
Takashi Miike est un cinéaste totalement dégénéré du bulbe, changeant de style et de type de films à chaque fois, avec une seule constante : faire dans loutrance, la démesure, le non-sens grand-guignolesque le plus fou ! Après des uvres plus ou moins remarquées telles « Bird People in China », « Audition », la trilogie « Dead or alive », « Fudoh », « Ichi the Killer » ou « Visitor Q », voici maintenant quarrive en France « Zebraman », son film de super héros. Mais ne vous attendez pas à la grâce dun Spiderman ou à la noirceur ténébreuse dun « Batman », car Miike décide dentrée de jeu de faire dans la parodie. Son super héros est un pauvre type, un prof raté et raillé par ses élèves, ses collègues et sa famille. La nuit, il se déguise en Zebraman (héros de son enfance, découvert dans une série télé tellement minable quelle ne connut pas plus de 7 épisodes avant dêtre arrêtée par la chaîne), et va faire le guignol dans les rues. Et, sans savoir pourquoi, à la rencontre dun petit garçon handicapé et également fan de cette obscure série télé, notre pseudo super héros va acquérir de véritables pouvoirs et reproduire, geste après geste, tous les épisodes de la série : en gros il va devoir sauver le monde dune invasion dextra-terrestres qui sont le fruit, visuellement, dune union entre ceux de « Mars Attacks ! » et des fantômes de « Ghostbusters ». Bref, cest du grand nimporte quoi, mais cela fera sécrouler de rire tous les fans de Miike, ainsi que les amateurs de cette vague de cinéma japonais outrancier.
Zebraman, c’est : un film mélangeant Batman et SOS fantômes. Le film pose son histoire lentement sans qu’il soit ennuyeux pour autant. Le personnage principal qui essaie d’avoir une place plus importante dans la vie en se comportant en héros car il est au début présenté comme un homme largué (entre les bizutages qui subit par ses élèves, sa femme qui le trompe et ses enfants qui l’ignorent). Les scènes d’actions sont un peu trop répétitives (déjà qu’elles ne sont pas fascinantes) : Zebraman affronte un humain, il le bat en deux coups et c’est terminé. Pourtant, sa façon de combattre, qui elle varie, n’est pas mauvaise. Ah oui ! Et le fait de voir Zebraman courir en pleine ville m’a bien fait délirer. Il faut voir aussi la scène finale où Zebraman affronte les extraterrestres. Ces derniers sont trop petits et passifs pour vraiment inquiéter un vrai héros (ils n’ont pas d’armes, rien). La scène finale avec le boss final fera penser à SOS fantômes. Je ne savais pas non plus que les zèbres savaient voler mais bon « qu’on y croit, tout est possible ». Malgré que le film fasse série b avec un personnage manquant de charisme, le film reste bien correct et sympathique. J’attends tout de même plus de la part du deuxième volet.
Un héros zèbre, oui oui vous avez bien lu ^_^! et bizarrement ce film n'est pas si nul que ça, il nous renvoie un peu en enfance en nous rappelant X-OR et autre Sankukai sauf que .... bein il a des supers pouvoirs de zèbre. Ca reste bien marrant ! et puis les méchant sont tous simplement ridicules ET assumés comme tels