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Un visiteur
3,5
Publiée le 18 septembre 2010
L'échec commerciale du jour de la fin du monde entraîne le déclin des films catastrophe des années 70. Mais pour moi, c'est un film qui donne entré dans l'histoire du genre. Non seulement on a la joie de retrouvé Paul Newman et William Holden huit ans après la tour infernale, et les sensations sont présente aisni que l'angoisse. Malheuresement le film à mal veilli et il y a certaines scènes complétement inutile comme le crash de l'hélicoptére (sauf si il y avait un personnage principal dedans), le raz-de-marée et j'en passe... Mais on passe un très bon moment avec ce film !
Je trouve que c'est un très bon film catastrophe, qui respecte les codes du genre. Le scénario est parfait, tout comme les acteurs et les affets spéciaux. A ceux qui ne l'ont pas vu, regardez ce petit bijou vous ne serais pas déçus.
sans arriver a la hauteur de la tour infernale cela reste un bon film avec des moments impressionants comme la traversée du pont avec la lave en dessous.de très bons acteurs comme Paul Newman,William Holden deja partenaires dans la tour infernale,James Franciscus en gendre ambitieux et le très grand Ernest Borgnine dans un role indigne de son talent et une très bonne musique de lalo shiffrin.un film a voir au moins une fois
Euh...qu'est-ce que c'est que ce truc ? Un film catastrophe sans catastrophe ? Non mais allô ! Sans rire, ce film est un pur vide scénaristique ou pendant plus de la moitié du film, on découvre le lieux, les personnages (enfin, découvrir reste un bien grand mot pour désigner cette première moitié, mais passons), le contexte. C'est tellement prévisible et long, qu'on se fait chier à attendre LE moment où ça va péter. Et le moment arrive. Bon, on y croit à moitié mais avouons quand même que pour l'époque, les effets spéciaux ne sont pas si mal (c'est pas fantastique, j'en conviens, ça a énormément vieilli, mais ça reste correct). Passe donc un autre quart du film où les personnages attendent pour réagir, réagissent selon les clichés habituels et affrontent les premières difficultés (la période catastrophe comme on dit). Puis la dernière partie (le final donc) se contente d'être un obstacle des plus basiques du cinéma catastrophe (du genre qu'on trouve en gros au milieu et qui permettent d'élaguer un peu le contingent de survivants), une explosion WTF (pour le coup, on explose vraiment de rire, pensant à une blague) et puis voilà. La fin est si brutale, inattendue, qu'on est surprise en voyant défiler le générique, à mi-chemin entre la délivrance ("youhou, enfin fini !") et la déception ("quoi ? c'est tout ?"). Non, sincèrement un vide scénaristique accompagné par une pléthore d'acteurs oscillant entre le catastrophique et le désespérant, en passant par le navrant (mais que fait Paul Newman ?). Ce film est sauvé par quelques aspects techniques louables pour l'époque, mais on a affaire à une vraie blague du genre.
Remix de la tour infernale et des autres films d' Irwin Allen, le Jour de la fin du monde n’atteint pas le niveau de ses aînées. A forces de surenchères , on a un film brouillon qui manque d'envergure, des scènes d'actions déjà vues mais en moins biens maîtrisées et des acteurs peu impliqués. Le film sombre vite dans le ridicule et l’invraisemblable. James Goldstone nous offre un pur navet qui n'a même pas le niveau d'un nanar. spoiler: le Jour de la fin du monde c'est un film à la con qui parle d'une petite éruption volcanique dans une île perdue au milieu de nul part.
On ne peut être que déçu devant cette production d'Irwin Allen dont on attendait beaucoup (pensant à "L'aventure du Poseidon" ou "La tour infernale". Pourtant Irwin Allen avait prévu de gros moyens. Seulement voilà, à l'époque le film catastrophe avait terminé son apogée, que confirmèrent les échecs successifs de "L'inévitable catastrophe" (du même Irwin Allen), du "Météor" (avec Sean Connery, réalisé par Ronald Neame, celui de "L'aventure du Poseidon") et de "Avalanche" (d'un certain Correy Allen, sans savoir s'il y a un lien de parenté, avec Rock Hudson et Mia Farrow). Donc pressentant le "casse-pipe", Irwin Allen eût donc, on le comprend, réduit le budget du film (essentiellement prévu pour les effets spéciaux) afin de mieux assurer les finances d'un parc d'attraction dont il avait la gestion. Que reste t'il donc de ce film dans nos mémoires : le volcan n'est qu'un vulgaire feu de Bengale servant de décor d'arrière plan à une succession de scènes mélodramatiques aussi agaçantes qu'ennuyeuses. Enfin la séquence de la traversée d'une coulée de lave sur un pont transformé en cable de finanbule, est plus risible que palpitante tant qu'elle est poussive (croyez-vous que l'on peut jouer à l'équilibriste au dessus d'une chaleur d'au moins 800°)et qu'on en comprend vite le dénouement heureux. Dommage pour les acteurs, mais au moins Irwin Allen aura eu la sagesse de limiter les dégâts.