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« Then suppose you tell me what you’re doing with my face ? »
Après trois notes (Pino Donaggio, pourtant compositeur des premiers films de Joe Dante et de Brian De Palma) et le visuel du générique, on sait déjà qu’on ne sera pas face à une œuvre ayant marqué l’histoire culturelle et cinématographique mondiale mais plutôt un nanar destiné au circuit VHS florissant dans les années ’80, dont le duo Golan/Globus s’était fait une spécialité. A la réalisation, on retrouve un des maîtres italiens du gore, spécialité cannibales, Ruggero Deodato.
Si on est clairement dans la série Z, il faut reconnaître que ce Barbarians a l’avantage de ne pas se prendre au sérieux et d’être même assez drôle, voire auto-parodique, porté qu’il est par une interprétation certes inégale mais souvent décalée et un scénario qui ne l’est pas moins.
Les rares effets spéciaux sont ratés mais ils le sont aussi la plupart du temps dans des productions plus sérieuses et surtout plus coûteuses. Au final, ce film improbable se laisse regarder d’une traite malgré ses défauts, sans qu'on sache la part volontaire qu'ils contiennent. Moi, je me suis bien marré.
Après trois notes (Pino Donaggio, pourtant compositeur des premiers films de Joe Dante et de Brian De Palma) et le visuel du générique, on sait déjà qu’on ne sera pas face à une œuvre ayant marqué l’histoire culturelle et cinématographique mondiale mais plutôt un nanar destiné au circuit VHS florissant dans les années ’80, dont le duo Golan/Globus s’était fait une spécialité. A la réalisation, on retrouve un des maîtres italiens du gore, spécialité cannibales, Ruggero Deodato.
Si on est clairement dans la série Z, il faut reconnaître que ce Barbarians a l’avantage de ne pas se prendre au sérieux et d’être même assez drôle, voire auto-parodique, porté qu’il est par une interprétation certes inégale mais souvent décalée et un scénario qui ne l’est pas moins.
Les rares effets spéciaux sont ratés mais ils le sont aussi la plupart du temps dans des productions plus sérieuses et surtout plus coûteuses. Au final, ce film improbable se laisse regarder d’une traite malgré ses défauts, sans qu'on sache la part volontaire qu'ils contiennent. Moi, je me suis bien marré.
Je l’avais vu à l’époque au Cinema le Prado à Marseille j’avais 14 ans . J’avais adoré, c’était un bel après midi. C’est ça la magie du cinéma. Je préfère garder ce souvenir et je ne le reverrai jamais.
Comment définir un film aussi ridicule dans la réalisation, le scénario et le jeu d acteurs ? En fait juste une caricature du genre peut réussir à faire supporter cet exercice... car presque tout est à jeter tellement il y a d incohérences et un scénario aussi fin
🎬 RENGER 📼
La tribu de baladins "les Ragniks" est attaquée par les troupes du tyran Kadar. La reine de la tribu est faite prisonnière, tout comme les frères jumeaux Kutchek & Gore. Ces derniers sont séparés et réduits à l’esclavage. Ils ne tarderont pas à mettre à profit leur imposante stature pour devenir gladiateur. Mais une fois dans l’arène, ils refusent de se battre et vont s’allier pour se libérer du joug du tyran et libérer leur reine.
Les italiens d’étaient déjà attelés à copier des films d’heroic-fantasy dans la lignée de Conan le barbare (1982) ou Dar l'invincible (1982), avec Iron master, la guerre du fer (1983) d'Umberto Lenzi. Cette fois-ci, avec Les Barbarians (1987) il s’agit d’une coproduction italo-américaine produite par les célèbres cousins de la Cannon : Yoram Globus & Menahem Golan et réalisée par l’italien Ruggero Deodato (Cannibal Holocaust - 1980). Malgré le fait que le film ait fait un bide retentissant au box-office, il n’en reste pas moins connu (et moqué) pour la prestation de ses acteurs principaux, à savoir les frères jumeaux Peter & David Paul, deux culturistes à la carrure colossale. Après une première apparition dans S.O.S. Taxi (1983) Joel Schumacher, puis dans Le Kid de la plage (1984), c’est dans leur 3ème film, grâce à Ruggero Deodato qu’ils connaîtront la consécration.
Si vous vous attendiez à voir un film d’heroic-fantasy sérieux, dark et violent, passez votre chemin. Ce film est clairement un nanar, qui s’assume et divertit pleinement. Les producteurs avaient capitalisé sur les deux « monstres de foire », l’ennui, c’est qu’ils ne savent absolument pas jouer la comédie et avec un budget de 4 millions de $, le réalisateur a bien été obligé de remanier son script pour éviter que son film ne vire à la catastrophe, raison pour laquelle il lorgne très clairement vers la comédie parfois parodique.
Un scénario crétin, des décors moisis, une musique abjecte et surtout, des acteurs qui cabotinent (mention spéciale à l’étonnant Franco Pistoni grimé en aztèque avec son visage émacié et ses yeux globuleux ou encore Michael Berryman avec sa corne de rhino sur le front et qui ne cesse de hurler). Ajouter à cela, quelques grands noms du cinéma bis, tels que Richard Lynch (Invasion U.S.A. - 1985) & George Eastman (Porno Holocaust - 1981) et signalons tout de même, parmi toute cette testostérone, la présence de la ravissante Eva LaRue.
Concernant les frères Paul, il est amusant de constater à quel point on les avait badigeonnés d'huile. Pendant 90min, ils ont les muscles suintants, étincelants, voir huileux (c’est limite si cela n’en devient pas répugnant). Concernant leur prestation, on pourra être honnête et reconnaître qu’ils font moins les pitres que dans leurs films suivants (À chacun sa loi - 1992 & Jumeaux Jumeaux (1994) où le cabotinage prend tout son sens.
Au final, il en résulte un sympathique et inoffensif nanar transalpin (réalisé dans la région des Abruzzes). Avec une pléiade d’acteurs qui cabotinent et avec en point d’orgue, la performance des frères Paul (chaque frangin pourrait être décrit par « un cerveau d’enfant dans une montagne de muscle »). C’est gentillet, débile et régressif.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Les italiens d’étaient déjà attelés à copier des films d’heroic-fantasy dans la lignée de Conan le barbare (1982) ou Dar l'invincible (1982), avec Iron master, la guerre du fer (1983) d'Umberto Lenzi. Cette fois-ci, avec Les Barbarians (1987) il s’agit d’une coproduction italo-américaine produite par les célèbres cousins de la Cannon : Yoram Globus & Menahem Golan et réalisée par l’italien Ruggero Deodato (Cannibal Holocaust - 1980). Malgré le fait que le film ait fait un bide retentissant au box-office, il n’en reste pas moins connu (et moqué) pour la prestation de ses acteurs principaux, à savoir les frères jumeaux Peter & David Paul, deux culturistes à la carrure colossale. Après une première apparition dans S.O.S. Taxi (1983) Joel Schumacher, puis dans Le Kid de la plage (1984), c’est dans leur 3ème film, grâce à Ruggero Deodato qu’ils connaîtront la consécration.
Si vous vous attendiez à voir un film d’heroic-fantasy sérieux, dark et violent, passez votre chemin. Ce film est clairement un nanar, qui s’assume et divertit pleinement. Les producteurs avaient capitalisé sur les deux « monstres de foire », l’ennui, c’est qu’ils ne savent absolument pas jouer la comédie et avec un budget de 4 millions de $, le réalisateur a bien été obligé de remanier son script pour éviter que son film ne vire à la catastrophe, raison pour laquelle il lorgne très clairement vers la comédie parfois parodique.
Un scénario crétin, des décors moisis, une musique abjecte et surtout, des acteurs qui cabotinent (mention spéciale à l’étonnant Franco Pistoni grimé en aztèque avec son visage émacié et ses yeux globuleux ou encore Michael Berryman avec sa corne de rhino sur le front et qui ne cesse de hurler). Ajouter à cela, quelques grands noms du cinéma bis, tels que Richard Lynch (Invasion U.S.A. - 1985) & George Eastman (Porno Holocaust - 1981) et signalons tout de même, parmi toute cette testostérone, la présence de la ravissante Eva LaRue.
Concernant les frères Paul, il est amusant de constater à quel point on les avait badigeonnés d'huile. Pendant 90min, ils ont les muscles suintants, étincelants, voir huileux (c’est limite si cela n’en devient pas répugnant). Concernant leur prestation, on pourra être honnête et reconnaître qu’ils font moins les pitres que dans leurs films suivants (À chacun sa loi - 1992 & Jumeaux Jumeaux (1994) où le cabotinage prend tout son sens.
Au final, il en résulte un sympathique et inoffensif nanar transalpin (réalisé dans la région des Abruzzes). Avec une pléiade d’acteurs qui cabotinent et avec en point d’orgue, la performance des frères Paul (chaque frangin pourrait être décrit par « un cerveau d’enfant dans une montagne de muscle »). C’est gentillet, débile et régressif.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Attention, pur nanar, donc l'échelle de notes est inversée.
Mais là, on atteint des sommets ! Le scénario (!?), les acteurs, les (rares) dialogues, les costumes, les décors, les combats, tout est à mourir de rire.
Nostalgiques des nanars des années 80, n'hésitez pas.
Mais là, on atteint des sommets ! Le scénario (!?), les acteurs, les (rares) dialogues, les costumes, les décors, les combats, tout est à mourir de rire.
Nostalgiques des nanars des années 80, n'hésitez pas.
Un excellent nanar qui ravira les amateurs du genre. Incohérence du scénario, jeu d'acteur épouvantable, effets spéciaux issus d'une autre dimension... Cependant, ce petit chef d'oeuvre se distingue particulièrement par la pauvreté ahurissante de ses dialogues, qui feraient un Audiard se retourner dans sa tombe.
Un vrai nanar comme on les aime. C'est super nul. C'est super mal fait. C'est super kitsch. Mais au moins on rigole de bon cœur du début à la fin, et au bout du compte on passe un très agréable moment à le regarder.
Les deux jumeaux sont des débiles profonds mais ils sont éminemment sympathiques. La fille (Eva LaRue) est extrêmement mignonne. Et en plus j'aime bien l'heroic-fantasy qui louche sur les univers post-apocalyptiques.
Un très bon film qui ne se prend pas au sérieux et qu'il ne faut pas prendre au sérieux.
Les deux jumeaux sont des débiles profonds mais ils sont éminemment sympathiques. La fille (Eva LaRue) est extrêmement mignonne. Et en plus j'aime bien l'heroic-fantasy qui louche sur les univers post-apocalyptiques.
Un très bon film qui ne se prend pas au sérieux et qu'il ne faut pas prendre au sérieux.
MaCultureGeek
Les Barbarians, c'est la quintessence même de ce qu'il ne faut pas faire dans un film; et même si cette formule a déjà été prononcée, écrite, parlée et chantée des siècles et des siècles avant moi, je l'appuie une nouvelle fois : si tu veux faire un mauvais film ( ou autre chose, je pense pas qu'on parlait de film au Moyen-Âge ), t'as tout le cahier des charges pour réussir à le rater. Balaise, vraiment. Comme qui dirait, c'est visuellement très moche, et artistiquement très douteux. Film italien sans aucun budget, grosse daubasse qui tâche son monde, "Les Barbarians" n'en finit plus de subjuguer le spectateur; non pas par son talent de tous les instants, plutôt par le délire qu'il affiche et met en image sans aucune retenue. Le résultat, fascinant, en bouche un coin. Dixit Howard le canard. Autre fait notable, ça pompe plus que Clara Morgane. Genre violent quoi. Dès la scène d'introduction, l'on tient une sorte de ramassis de tout ce qui a pu avoir du succès dans les années 80 : de "Mad Max 2 : Road Warrior" à "Conan : the Barbarian" en passant par l'introduction de "Conan : the Destructor" ( et son méchant à Corne sur la fin ), avec de l'Indiana Jones et d'autres grands films malmenés par de petites personnes, ça pompe grave le flouse des autres sans jamais atteindre leurs skills. Visuellement laid, idiot dans son écriture et ridicule dans son jeu d'acteur ( il faut les voir, les deux débiles trans-génitaux, faire des bruits de truie et de cachalot; c'est saisissant et très artistique ), voilà une oeuvre qui se caractérise comme étant la quintessence même de ce que l'on fait de pire dans le genre du z, avec des écarts à droite et à gauche, ainsi qu'une demi-mesure en veux-tu en voilà. Navrant à plus d'un titre, fendard comme pas possible, le film aura au moins eu le mérite de me faire passer un agréable moment devant mon écran, le sourire aux lèvres, avec la ferme impression que je me détendais devant un très mauvais spectacle. Une impression étrangement paradoxale, mais fichtrement véridique. Parce qu'en fait, "Les Barbarians", c'est un film sur l'homosexualité de deux frères qui s'ignorent, c'est une belle fable pourrave sur les rapports viriles en société. Bien plus que le reflet de son époque, cette perle du z italien n'en démord plus de se caractériser comme étant LA représentation du mythe de l'homme fort et machiste ( non pas Maciste, mais avec un poil de fasciste ), plus huilé que timbré. Porté par ses acteurs en roue libre et son écriture douteuse, ainsi qu'un montage dégueulasse et son travail sonore inexistant, le film se perd dans ce qu'il veut dire, tombant souvent dans la misogynie la plus idiote qui soit. Gras, lourd et vulgaire, voilà donc un petit bijou de mauvais, un divertissement dont on rit à ses dépends. Triste vérité que celle-ci, ce film n'est que catastrophe cinématographique et graisse visuelle.
gimliamideselfes
Prenez Mad Max 2, Conan, un peu d'Indiana Jones et tout un tas d'autres productions marquantes des années 80 mélangez le tout avec du bon bis italien et on obtient Les barbarians, on honteux film misogyne faisant l'apologie du patriarcat. Je suis totalement scandalisé par cette apologie de la virilité, ces hommes qui réfléchissent uniquement avec leurs muscles et leur verge... On a un film donc qui est destiné aux mâles hétéros cisgenres, autrement dit tous ces crocodiles qui nous agressent dans la rue...
Ici les torses huilés ne sont là que pour rassurer le jeune mâle sur sa virilité. Les deux héros complètement abrutis soulèvent leurs beaux substituts phalliques, se les échangent... En toute hétérosexualité bien entendu. Pourquoi ne pas justement assumer l'homosexualité histoire d'avoir un film respectable et plus queersfriendly ? Parce qu'ils se font des bisous les jumeaux, on aurait eu l'occasion de faire un film qui montre le progrès, l'acceptation de toutes les sexualités.
Deodato a donc raté l'occasion de saisir le progrès et de faire avancer le monde vers un avenir radieux et des printemps qui chantent ! Et on a juste l'exact inverse...
Ici les torses huilés ne sont là que pour rassurer le jeune mâle sur sa virilité. Les deux héros complètement abrutis soulèvent leurs beaux substituts phalliques, se les échangent... En toute hétérosexualité bien entendu. Pourquoi ne pas justement assumer l'homosexualité histoire d'avoir un film respectable et plus queersfriendly ? Parce qu'ils se font des bisous les jumeaux, on aurait eu l'occasion de faire un film qui montre le progrès, l'acceptation de toutes les sexualités.
Deodato a donc raté l'occasion de saisir le progrès et de faire avancer le monde vers un avenir radieux et des printemps qui chantent ! Et on a juste l'exact inverse...
Beau succès surprise durant l’été 1987, les Barbarians est un nanar devenu culte au fil des années à cause de son caractère fauché particulièrement consternant, mais surtout de la prestation hors norme des deux frangins Peter et David Paul. Visiblement conscient de tourner un gros nanar, toute l’équipe s’est ingéniée à saboter le projet en injectant un humour débile qui fait aujourd’hui le bonheur des soirées bière entre potes. Les frangins sont finalement sympas dans leur crétinerie carrément assumée tandis que l’ensemble du casting surjoue de manière honteuse pour compenser les vides du scénario (y en a-t-il un ?) et surtout l’absence de budget (on est chez la Cannon en fin de vie). Le tout n’est pas totalement ennuyeux grâce à quelques scènes improbables qui pimentent le tout. Autrement, vous l’aurez compris, tout ceci est absolument déplorable et affreusement nul.
Un film de musclés qui font des sketchs, dans la mouvance de Conan le Barbare, métaphysique et méchant génial en moins, alors, oui, peut-être des paquets de muscles creux comme le scénario, mais des muscles qui font marrer.
The Barbarians est typiquement le genre de film qui a un effet hypnotique sur les spectateurs, pas pour l'ambiance ou la qualité mais pour le côté ultra-parodique parfaitement assumé de Conan Le Barbare qu'il dégage. L'histoire reste correcte même si elle est clairement plus un prétexte qu'autre chose au défoulement (entre autre) des frères Paul. Si vous aimez l'humour bien gras, les costumes douteux, le cabotinage à foison, le tout sur un fond d' héroic-fantasy, n'hésitez pas.
Ce film est un pur divertissement, ultra bidonnant ! Un pur moment de bonheur et de plaisir coupable... Excellemment photographié, plein d'action et d'humour plus volontaire qu'on pourrait l'imaginer... A la base le film voulait surfer sur le succès de "Conan", et être un film d'héroïc-fantasy sérieux. Mais le réalisateur, Ruggero Deodato, constata rapidement que ses deux interprètes principaux, David et Peter Paul, étaient des abrutis finis, qui passaient leur temps à se chamailler comme des gamins sur le plateau. Plutôt que de s'arracher inutilement les cheveux devant leur évident manque total de talent et de subtilité, il choisit volontairement un ton plus parodique au film, pour utiliser au mieux les "capacités" si particulières de ses acteurs (véridique) !
Imaginez un enfant de 7 ans, en échec scolaire (oui, celui au fond de la classe qui lance des boulettes en rotant), perdu dans un gros tas de barbaque huilé lui servant de corps, large comme trois armoires... et imaginez qu'en plus le résultat a été cloné... Vous aurez une idée précise de ce à quoi ressemblent les impayables frères Paul ! La scène de de la pendaison ratée de l'un des frères, est un monument de drôlerie, où la connerie de son interprète est brillamment mise en scène par Ruggero Deodato: il faut le voir se vautrer par terre comme un gros con, avec un rire de cochon qui n'en fini plus ! Mémorable !!!
En fait, avouons, qu'en plus d'un film plastiquement très beau, rondement mené, avec plein d'effets spéciaux rigolos, on n'arrête pas de s'esclaffer comme des enfants, devant cette paire de crétins congénitaux qui s'ignorent, qui à leur naissance, ont pris le port du cerveau comme quantité négligeable !!!
Imaginez un enfant de 7 ans, en échec scolaire (oui, celui au fond de la classe qui lance des boulettes en rotant), perdu dans un gros tas de barbaque huilé lui servant de corps, large comme trois armoires... et imaginez qu'en plus le résultat a été cloné... Vous aurez une idée précise de ce à quoi ressemblent les impayables frères Paul ! La scène de de la pendaison ratée de l'un des frères, est un monument de drôlerie, où la connerie de son interprète est brillamment mise en scène par Ruggero Deodato: il faut le voir se vautrer par terre comme un gros con, avec un rire de cochon qui n'en fini plus ! Mémorable !!!
En fait, avouons, qu'en plus d'un film plastiquement très beau, rondement mené, avec plein d'effets spéciaux rigolos, on n'arrête pas de s'esclaffer comme des enfants, devant cette paire de crétins congénitaux qui s'ignorent, qui à leur naissance, ont pris le port du cerveau comme quantité négligeable !!!
Un film assez sympa, sans grande prétention avec un humeur décalé mais regardable, les musiques de ce film sont également agréable, bref un petit film pour se divertir, rien de bien méchant!
Autant avouer tout de suite qu'avec l'âge, "Les Barbarians" à sacrément prit dans la tronche. "Ersatz" foireux d'un "Conan" qui surfe sur la mode des fameux "Giallios" (De films d'exploitations, principalement Italien sortis dans les années 1960 à 1980), le métrage réalisé par "Ruggero Deodato" (Connu pour son œuvre controversé et malsaine "Cannibal Holocaust") reprend les grandes lignes du 1er "Conan" sortit sur grand écran (Datant de 1982), mais les moyens en moins. Des répliques risibles, des costumes "Flashy", des héros principaux plus que stupide (Tous dans les muscles rien dans la cervelle), des combats mollassons, des décors et effets spéciaux en carton pâte (Mention spéciale pour le Dragon pitou "Starlux") sans oublier une traduction Française à gerber, le film représente clairement un point de décadence ultime de "L'Heroïc-Fantasy". "Culte" pour toute une génération de cinéphiles amateurs de séries Z "Kitchissimes", "Les Barbarians" reste encore à l'heure actuelle un "Must Have" du "Nanar" à la "Conan" !
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