c'est Un Justicier dans la Ville avec Jodie Foster à la place de Charles Bronson, le film maintient le suspense, la relation avec le policier est intéressante, rien d'exceptionnel malgré tout au bout du compte
Un film tendancieux à la morale douteuse : vive la vendetta personnelle, ça permet de faire le deuil. Vous apprécierez ! Même « un justicier dans la ville » avec Bronson était moins réac. En ces temps ou les discriminations sociales se marquent de plus en plus, il est totalement irresponsable de véhiculer des idées pareilles. Je viens de me taper Angle d’attaque, Iron Man et maintenant à vif : je suis vraiment écoeuré par le cinéma américain. Hormis le propos, le film n’est pas extraordinaire, si ce n’est les acteurs (Howard et Foster) qui assurent. D’où l’étoile.
Un film psychologique qui ne m'as pas touché spécialement, dont la fin est tirée par les cheveux, et malgrè la bonne prestation de jodie foster, le film reste moyen, et l'enquete basique.
Le sujet de faire justice soi-même est vu et revu et ce n’est pas ici qu’il est le mieux traité. Incroyable, à partir du moment où Erica tient une arme elle ne tombe que sur des méchants voyous. Clair que New York n’est pas la ville la plus tendre mais la plus sûre comme le citerait Jodie Foster. A voir une fois sans plus
Attéré par l'idéologie du film. Quand on me dit que tuer c'est justifié lorsque c'est mérité, ça me débecte. Qu'une nation qui pratique encore la peine de mort et prône la vente libre des armes à feu puisse produire pareil "oeuvre cinématogaphique" ça me fait froid dans le dos. Moi qui croyait que le justicier de New York était mort avec Charles Bronson... La goutte d'eau c'est le classique message anti-tabac auquel on a droit dans 1 film américain sur 2. Je résume : Vas-y Jodie tue les ces salopards, par contre si tu pouvais arrêter de fumer, parce-que c'est pas bon pour ta santé.... Gerbant.
Bien mais sans plus! Je commence à en avoir marre des films qui cautionnent les serial killers sous prétexte qu'ils tuent que des criminels. Qui en font des héros, et qui les laissent en liberté. Elle mérite bien plus de mourir que les gars du métro par exemple, qui n'auraient pris que qqs petits années de prison au vu de leurs délits, et ne méritaient sûrement pas la peine de mort, d'autant moins appliquée par qqn se permettant de se poser en juge et bourreau, sous prétexte qu'elle a vécu qqch d'horrible. Encore heureux que ttes les victimes ne deviennent pas des meurtiers. Comme elle le dit elle-même, pq elle est pas sortie de la rame comme les autres? Ou sinon, il aurait suffit qu'elle les menace et ils l'auraient laissé. Elle aurait même pû les livrer aux keufs. Alors on la laisse en liberté, sachant que chaque fois qu'elle croisera un simple voleur de pommes, elle le butera de sang froid!!?? Grave comme morale! Cela dit, je suis un fan immense des films de "vrais" serial killers, et n'ai pas envie qu'ils meurent, histoire d'avoir de bonnes suites. Si vs analysez, c pas paradoxal du tt! ;)
Une mise en scène dynamique pour suivre une quête de vengeance rendue crédible par le jeu toujours juste de Jodie Foster malgré quelques ficelles bien apparentes et de légères incohérences scénaristiques. Le rapport entre l’héroïne et l'inspecteur de police campé par un sobre Terrence Howard se découvre plus ambigu que prévu et donne son intérêt à ce long-métrage très classique par ailleurs.
Le genre de film qui ne donne pas du tout envie d'aller à New-York. Les plans inhabituels, loin des quartiers chics ou touristiques, font penser à Gotham City. Le parcours d'Erica (interprétée avec talent par Jodie Foster) a d'ailleurs quelques similitudes avec celui de Bruce Wayne devenant Batman. Mais À Vif reste dans la réalité, aussi noire soit-elle. Les prises de vue nous font ressentir comment Érica frôle le dédoublement de personnalité, tandis qu'elle fait son deuil. Son duo avec l'inspecteur Mercer (Terrence Howard), aurait mérité d'être approfondi. À éviter avant de visiter la grosse pomme.
Un film qui passé les 15 premières minutes haletantes ne tarde pas à rejoindre les clichés et autres stéréotypes incongrus du genre. A ne regarder que pour l'interprétation d'une Jodie Foster écorchée vive.