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Votre avis sur La Cité interdite ?
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Intrigues, complots et drame shakespeariens façon « Hamlet » pour cette fresque visuellement somptueuse et grandiose, parsemée de chorégraphies martiales orchestrées par Ching Siu Tung, des combats dont lapothéose reste la gigantesque bataille finale entre larmée impérial et celle du prince rebel. Il faut vraiment être un triste rabat joie pour bouder son plaisir à ce spectacle.
Manifestement l'oeuvre la plus intense du réalisateur de "Hero" et du "Secret des poignards volants. Sans cesse, le film hésite entre la tragédie grecque et la violence shakespearienne, ne choisissant finalement pas son camp pour recoller au plus près à l'esprit asiatique. Le film porté par une brochette d'acteurs au talent insolent (Gong Li est tout simplement saisissante) se prélasse dans le luxe, le budget bien entendu, mais aussi le foisonnement de personnages, de seconds rôles et de figurants. Le résultat ressemble à une grande vague déferlante qui submergerait la cité interdite. Reste que l'ensemble souffre justement de cet excès, le décalage étant parfois trop criant entre ce débordement d'énergie et des dialogues parfois trop stéréotypé. Zhang Yimou, à force d'étaler un luxe criard finit par étouffer une intrigue, qui, par abus de lumière, peine à exposer ses contrastes.
Une resplendissante vision de la Chine d'antan, portée par l'interprétation impeccable de la sublime Gong Li et de l'excellent Chow Yun-Fat. Zhang Yimou a décidément tout compris et son cinéma frôle toujours la perfection à tous les niveaux. Magnifique et grandiose...
Un film magistral qui restera dans les annales. Le réalisateur a su trouver le juste milieu entre las décors grandioses et un scénario dramatique-historique prenant. L'intrigue se révèle au spectateur, sans accro et pleine de rebondissements. Prenant jusqu'au bout, on regrettera peut-être la sous explitation de certains personnages. Mais il reste un incontournable !
"La Cité Interdite" est un très grand film! Le faste du cinéma asiatique dans une grande tragédie! Je relevais dans les critiques qu'il y avait du Shakespeare dans ce nouveau zhimou! Et effectivement, il y a une théatralité évidente.
Du Shakespeare dans le respect de la culture asiatique, voilà la réussite! L'interprétation des acteurs est magistrale! Pendant deux heures, le spectateur en prend plein la vue jusqu'au dénouement final, évidemment dramatique! Voilà un film résolument maitrisé.
Du Shakespeare dans le respect de la culture asiatique, voilà la réussite! L'interprétation des acteurs est magistrale! Pendant deux heures, le spectateur en prend plein la vue jusqu'au dénouement final, évidemment dramatique! Voilà un film résolument maitrisé.
S'il est incontestable que les décors et les costumes sont absolument somptueux... je n'ai pas réussie à être captivée par ce film dont certaines scènes sont d'une longueeeeur...
J'ai le sentiment que Zhang Yimou a tout misé sur l'esthétisme en négligeant totalement le jeu des acteurs et c'est vraiment dommage.
Mouais !!
J'ai le sentiment que Zhang Yimou a tout misé sur l'esthétisme en négligeant totalement le jeu des acteurs et c'est vraiment dommage.
Mouais !!
"La cité interdite" forme avec "Hero" et "Le secret des poignards volants", une sorte de trilogie du Wu xia pian Pour Zhang Yimou. Et il est décevant de constater que cette dernière va decrescendo en qualité. Surtout qu'avec "Hero" le cinéaste chinois faisait preuve d'une vraie maitrise ainsi que du justesse de tout les instants. Il reste toutefois intéressant de constater comme "Le secret des poignards volants" et, donc, "La cité interdite", semble être les deux facettes de "Hero", tout simplement, scindé en deux films distincts.
Et en cela, La cité interdite est le moins bon métrage des trois. Car ici, Yimou se concentre sur l'aspect politique, déjà assez indigeste dans les deux métrages précédents, mais cette fois au premier plan.
Cependant, mieux vaut-il commencer par les qualités du film pour se concentrer plus tard sur ce qui ne fonctionne pas. Tout d'abord, et comme toujours chez Yimou j'ai envie de dire, le film est picturalement magnifique, la photographie est de toute beauté et les décors, mélange d'or et de rouge, de royauté et de sang, à l'image du film, sont grandioses. Il faut aussi préciser, bien que cela me semble inutile, que Chow Yun Fat et Gong Li sont tout deux incroyables (mais qui en doutait ?). De plus, la symbolique du film est bonne, et surtout assez intelligente, je retiendrais surtout ce plan de fin sur la table qui veut dire énormément de choses (place de chacun etc
Là où Yimou m'a perdu, c'est dans sa surenchère constante, c'est visuellement surchargée, bien que très beau, les sous intrigues se multiplient à la vitesse de l'éclaire, et non sans désintérêt, et certains pans entiers du montage de sont là que pour faire figure de l'opulence du lieu. Tout cela manque de retenue, de justesse ou en tout cas de mesure dans sa représentation. Le film étouffe après sa première demi-heure sous le trop plein de ce que le réalisateur met en place. La mise en scène épouse, malheureusement, ce travers du film, et se retrouve à redoubler d'exubérance en toutes circonstances jusqu'à, de nombreuses reprises, tomber dans le grotesque.
Le film manque clairement de souffle, inutile de chercher le lyrisme des "Poignards volants", il est absent ici, c'est un métrage incroyablement froid, c'est qui compréhensible pour un film traitant du pouvoir et du mensonge, mais tout de même dommage.
La cité interdite de Zhang Yimou est un échec, une beauté plastique stupéfiante au service d'un métrage balourd et indigeste, la magnificence des décors, le jeu des acteurs ainsi que la symbolique ne sauvent en rien ce métrage au allure grotesque et indéniablement boursouflé. Des qualités, mais insuffisante.
Et en cela, La cité interdite est le moins bon métrage des trois. Car ici, Yimou se concentre sur l'aspect politique, déjà assez indigeste dans les deux métrages précédents, mais cette fois au premier plan.
Cependant, mieux vaut-il commencer par les qualités du film pour se concentrer plus tard sur ce qui ne fonctionne pas. Tout d'abord, et comme toujours chez Yimou j'ai envie de dire, le film est picturalement magnifique, la photographie est de toute beauté et les décors, mélange d'or et de rouge, de royauté et de sang, à l'image du film, sont grandioses. Il faut aussi préciser, bien que cela me semble inutile, que Chow Yun Fat et Gong Li sont tout deux incroyables (mais qui en doutait ?). De plus, la symbolique du film est bonne, et surtout assez intelligente, je retiendrais surtout ce plan de fin sur la table qui veut dire énormément de choses (place de chacun etc
Là où Yimou m'a perdu, c'est dans sa surenchère constante, c'est visuellement surchargée, bien que très beau, les sous intrigues se multiplient à la vitesse de l'éclaire, et non sans désintérêt, et certains pans entiers du montage de sont là que pour faire figure de l'opulence du lieu. Tout cela manque de retenue, de justesse ou en tout cas de mesure dans sa représentation. Le film étouffe après sa première demi-heure sous le trop plein de ce que le réalisateur met en place. La mise en scène épouse, malheureusement, ce travers du film, et se retrouve à redoubler d'exubérance en toutes circonstances jusqu'à, de nombreuses reprises, tomber dans le grotesque.
Le film manque clairement de souffle, inutile de chercher le lyrisme des "Poignards volants", il est absent ici, c'est un métrage incroyablement froid, c'est qui compréhensible pour un film traitant du pouvoir et du mensonge, mais tout de même dommage.
La cité interdite de Zhang Yimou est un échec, une beauté plastique stupéfiante au service d'un métrage balourd et indigeste, la magnificence des décors, le jeu des acteurs ainsi que la symbolique ne sauvent en rien ce métrage au allure grotesque et indéniablement boursouflé. Des qualités, mais insuffisante.
Ayant adoré les films telle que " Tigre et Dragon, Hero " ou " La Princesse du désert " je m'attendez ( surtout quand on voir le prix de cette SUPER production )à un film grandiose. Surtout avec l'excellent Chow Yun-Fat. Et au final j'ai eu l'impression de regardez un clip de MTV sous acide..
C'est pas dur, a la fin de la projection j'avais les yeux littéralement exposés. Cela fessais longtemps que je n'avais pas vu autant de couleur aussi fluor vous prendre la visage (limite il concurrence Speed Racer) Bien sur avec tous ce mauvais gouts on aurais pu croire que les combats rattraperais tous ça. Malheureusement c'est loin d'être le cas, c'est filmer avec les pieds, il y a aucune chorégraphie et aucun panache. Reste juste une histoire plutôt belle et bien écrit (sans pour autant être transcendante) et c'est bien la SEULE chose qui arrive a faire tenir le spectateur jusqu'à la fin car si on enlève le scénario il ne reste plus rien.
C'est pas dur, a la fin de la projection j'avais les yeux littéralement exposés. Cela fessais longtemps que je n'avais pas vu autant de couleur aussi fluor vous prendre la visage (limite il concurrence Speed Racer) Bien sur avec tous ce mauvais gouts on aurais pu croire que les combats rattraperais tous ça. Malheureusement c'est loin d'être le cas, c'est filmer avec les pieds, il y a aucune chorégraphie et aucun panache. Reste juste une histoire plutôt belle et bien écrit (sans pour autant être transcendante) et c'est bien la SEULE chose qui arrive a faire tenir le spectateur jusqu'à la fin car si on enlève le scénario il ne reste plus rien.
Il eût été étonnant qu'un film qui traite de la Cité Imperiale ne regorge pas de couleurs éclatantes, de faste et d'ors, battant sur ce registre le Cléopâtre de Manckiewicz. Plein la vue, mes amis, vous en aurez ! Tout est calculé en ce sens. Les plans sont très larges, quand il s'agit de montrer l'intérieur de la Cité, la musique soulignant s'il en était encore besoin que nous nous trouvons dans un endroit "sacré". Quand aux intrigues de Cour, très familiales pour pimenter encore l'action, elles sont traitées au contraire presque exclusivement avec des gros plans sur les visages. De plus, seuls les travelling, qui suivent au plus près les déplacements, peuvent exprimer le caractère royal de tous ces personnages selon le réalisateur. Autant de choix esthétiques qui finissent pas étouffer un peu l'action à l'interieur de ce Palais, si bien que la bouffée d'air, quand on arrive dans la demeure du médecin, est salutaire. Reconnaissans que l'attaque de cette demeure par des "soldats volants" est totalement maitrisée, impressionante. Mais n'allons pas comparer Zhan Yimou au Kurosawa de Ran ou de Kaghemusha : là où le second a su créer une "féérie de l'horreur" dans la célèbre bataille de Kaghemusha, dénonciation sans complaisance de la sauvagerie, le premier n'a pu réussir qu'une bataille esthétique, peu réaliste, telle un château de carte qui s'écroule.
Légèrement inférieur au "Secret des Poignards Volants", ce nouveau film de Zhang Yimou possède comme à l'accoutumé chez le réalisateur depuis "Hero" un esthéthisme superbe dans les scènes de batailles (la scène finale est vraiment impressionante), et une honorable performance de 2 monstres sacrés du cinéma asiatique: Chow Yun-Fat et Gong Li. Un point faible, d'où mon 3,5: histoire guère passionnante. Cela dit, beau wu xia pian tout de même.
Un film asiatique qui sort toutes les couleurs. Un scénario sans maîtrises et un peu répétitif malgré que ce film montre bien les conditions de vie de la fameuse cité interdite. Les acteurs sont assez moyen dans l'ensemble ou ils ne sont pas assez convaincants. La plupart du temps, je me suis bien ennuyé car c'est redondant et même les scènes de combat ne sont pas mieux par rapport ce que j'ai vu. Cela dit, j'étais très émerveillé par les magnifiques décors de la cité interdite avec toutes les couleurs qui sont un vrai plaisir pour les yeux. De mêmes pour les costumes. Comme je l'ai toujours dit, le cinéma asiatique a beaucoup de mal pour faire des films avec un scénario solide. Si vous voulez voir des supers décors, regardez ce film, sinon il vaut mieux éviter.
JeremGar
grandiose! magnifique! ce film est une beauté! je reprocherai pas assez de dialogues mais en fait ce reproche tombe à l'eau tellement les décors, les couleurs, les acteurs font le dialogue à eux tout seuls...le scénario est surpassé par cette beauté visuelle..sincèrement je remercie le cinéma en couleur parce que ce film ne peut être vu en noir et blanc c'est impossible!! à voir et à revoir!!
Magnifique ! Yimou a su parfaitement retranscrire une merveilleuse et immense fresque du Xème siecle grâce a un esthétisme et un visuel de très très haute qualité ! Les scènes de combat sont sublimes, l'histoire est passionnante et merveilleusement bien interprété par l'ensemble du casting, nottament par les deux immenses commediens que sont Gong Li (exceptionnelle) et Chow Yun-Fat (charismatique a souhait), un grand film !
Un film aux décors et costumes somptueux mais à part ça !!!
L'intrigue est extrêmement longue à démarrer, les rares scènes d'actions essaient de raviver les esprits, mais la lenteur du tout l'emporte sur l'émerveillement et le dépaysement.
J'ai rarement autant subi 2 heures de films, il m'a vidé. On s'ennui ferme tout en se lassant des rituels et décors.Une étoile pour les costumes et la scène de combat de la fin mais bon.
L'intrigue est extrêmement longue à démarrer, les rares scènes d'actions essaient de raviver les esprits, mais la lenteur du tout l'emporte sur l'émerveillement et le dépaysement.
J'ai rarement autant subi 2 heures de films, il m'a vidé. On s'ennui ferme tout en se lassant des rituels et décors.Une étoile pour les costumes et la scène de combat de la fin mais bon.
Une élégante super-production. Un scénario inspiré servie par une mise en scène réussie. Des scènes d'une belle envergure. Dans la verve de ses prédécesseurs, la Cité interdite est un hommage aux chefs d'œuvres de King Hu ou des Show Brothers. Une seule chose manque pourtant: le duel final, attendu, entre deux talentueux acteurs, Gong Li et Chow Yun Fat.
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