Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Fastueux, clinquant, impressionnant de maîtrise esthétique (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Luxe, drame et subtilité, des images sublimissimes enveloppent les pires machinations de la vengeance et de l'ambition, qui éclateront au final dans des scènes de bataille spectaculaires, avec des effets spéciaux pourtant peu en verve.
Positif
par Lorenzo Codelli
La Cité interdite est sans doute la mise en scène lyrique la plus maîtrisée du maestro Zhang (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
Comme d'habitude Yimou étale son impressionnant savoir-faire visuel, sans craindre d'en faire trop.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcillon
(...) Une fresque d'une splendeur visuelle inouïe.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Splendeurs et manigances royales au menu du dernier Zhang Yimou. Une tragédie shakespearienne spectaculaire dans l'émotion et dans l'action.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Ces intrigues de palais enchantent visuellement et intellectuellement, laissant le spectateur sous l'emprise de deux grands comédiens.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaroscope
par Dominique Borde
Une sombre histoire de famille pour une reconstitution lumineuse et somptueuse où Zhang Yimou déploie tous ses talents de metteur en scène d'opéra pour enluminer un mélodrame shakespearien.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ici, les joutes verbales valent mieux que n'importe quelle cascade. Les amateurs d'épopées martiales se contenteront du (long) dénouement, digne du Seigneur des Anneaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le suspense jette le spectateur dans la mélée des guerres anciennes, qui avaient plus d'un tour dans leur créneau. Une épopée d'images.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Jennifer Lesieur
Tout est organisé pour en mettre plein la vue au spectateur, cloué à son fauteuil pendant presque deux heures ; les scènes de combat, essentielles, n'ont donc pas été baclées.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
On se promène dans cette " Cité interdite " avec la jubilation étonnée d`une Alice au pays des merveilles orientales.
Télérama
par Pierre Murat
Zhang Yimou filme avec ardeur ce serial à l'ancienne (...) Quelques longueurs encombrent, sur la fin, cette symphonie furieuse, d'où émerge Gong Li, superbe (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Esther Khan
D'un point de vue pictural, c'est toujours aussi splendide, mais une fois encore le scénario pêche.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Avec La cité interdite, Zhang Ymou a perdu l'ampleur et la poésie qui faisaient tout le prix de ses deux précédents et flamboyants films.
Paris Match
par Christine Haas
(...) Ce spectacle proche de l'opéra est aussi époustouflant qu'impersonnel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par Léonard Haddad
Ces tours de destin viennent nourrir d'enjeux personnels une histoire de famille régnante rongée par l'adultère et l'inceste, et sauver ainsi un projet qui risquait, sans cela, d'être écrasé sous le poids de son budget, de sa démesure esthétique (...) et de ses obligations spectaculaires.
La critique complète est disponible sur le site Score
L'Humanité
par Vincent Ostria
Faste reconstitution de la vie des empereurs locaux qui frise l'overdose kitsch. La profusion engendre la confusion, comme disait Confucius...
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) Une vitrine débordant de luxe jusqu'à l'écoeurement (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bayon
Entre les Damnés jaunes et Shakespeare rouge sang, on s'endort un peu dans la kaléidoscopie rose, où s'engluent la révolution de palais et la félonne asiate de Miami Vice.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Après Héro et Le secret des poignards volants, Zhang Yimou s'affirme une fois de plus comme l'anti-Tsui Hark absolu. Ses images pèsent des quintaux, sa mise en scène ne consistant qu'à surbooster péniblement les mêmes enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Mad Movies
par David Doukhan
(...) Une grosse déception au scénario cousu de fil blanc et à la mise en scène peu inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Le Monde
Fastueux, clinquant, impressionnant de maîtrise esthétique (...)
Ouest France
Luxe, drame et subtilité, des images sublimissimes enveloppent les pires machinations de la vengeance et de l'ambition, qui éclateront au final dans des scènes de bataille spectaculaires, avec des effets spéciaux pourtant peu en verve.
Positif
La Cité interdite est sans doute la mise en scène lyrique la plus maîtrisée du maestro Zhang (...).
Première
Comme d'habitude Yimou étale son impressionnant savoir-faire visuel, sans craindre d'en faire trop.
Télé 7 Jours
(...) Une fresque d'une splendeur visuelle inouïe.
aVoir-aLire.com
Splendeurs et manigances royales au menu du dernier Zhang Yimou. Une tragédie shakespearienne spectaculaire dans l'émotion et dans l'action.
20 Minutes
Ces intrigues de palais enchantent visuellement et intellectuellement, laissant le spectateur sous l'emprise de deux grands comédiens.
Le Figaroscope
Une sombre histoire de famille pour une reconstitution lumineuse et somptueuse où Zhang Yimou déploie tous ses talents de metteur en scène d'opéra pour enluminer un mélodrame shakespearien.
Le Journal du Dimanche
Ici, les joutes verbales valent mieux que n'importe quelle cascade. Les amateurs d'épopées martiales se contenteront du (long) dénouement, digne du Seigneur des Anneaux.
Le Parisien
Le suspense jette le spectateur dans la mélée des guerres anciennes, qui avaient plus d'un tour dans leur créneau. Une épopée d'images.
Metro
Tout est organisé pour en mettre plein la vue au spectateur, cloué à son fauteuil pendant presque deux heures ; les scènes de combat, essentielles, n'ont donc pas été baclées.
TéléCinéObs
On se promène dans cette " Cité interdite " avec la jubilation étonnée d`une Alice au pays des merveilles orientales.
Télérama
Zhang Yimou filme avec ardeur ce serial à l'ancienne (...) Quelques longueurs encombrent, sur la fin, cette symphonie furieuse, d'où émerge Gong Li, superbe (...)
Brazil
D'un point de vue pictural, c'est toujours aussi splendide, mais une fois encore le scénario pêche.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Avec La cité interdite, Zhang Ymou a perdu l'ampleur et la poésie qui faisaient tout le prix de ses deux précédents et flamboyants films.
Paris Match
(...) Ce spectacle proche de l'opéra est aussi époustouflant qu'impersonnel.
Score
Ces tours de destin viennent nourrir d'enjeux personnels une histoire de famille régnante rongée par l'adultère et l'inceste, et sauver ainsi un projet qui risquait, sans cela, d'être écrasé sous le poids de son budget, de sa démesure esthétique (...) et de ses obligations spectaculaires.
L'Humanité
Faste reconstitution de la vie des empereurs locaux qui frise l'overdose kitsch. La profusion engendre la confusion, comme disait Confucius...
Les Inrockuptibles
(...) Une vitrine débordant de luxe jusqu'à l'écoeurement (...).
Libération
Entre les Damnés jaunes et Shakespeare rouge sang, on s'endort un peu dans la kaléidoscopie rose, où s'engluent la révolution de palais et la félonne asiate de Miami Vice.
Chronic'art.com
Après Héro et Le secret des poignards volants, Zhang Yimou s'affirme une fois de plus comme l'anti-Tsui Hark absolu. Ses images pèsent des quintaux, sa mise en scène ne consistant qu'à surbooster péniblement les mêmes enjeux.
Mad Movies
(...) Une grosse déception au scénario cousu de fil blanc et à la mise en scène peu inspirée.