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    L'Effrontée
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    Nicolas Métrich
    Nicolas Métrich

    22 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2024
    Une trés bonne comédie dramatique .
    Un bon scénario , une bonne histoire , avec beaucoup d'émotions , sur l' amitié entre deux adolescentes de 13 ans , l' une venant d' un milieu modeste ( interprétée par Charlotte Gaimsbourg , la fille de Serge Gaimsbourg ) , et l' autre venant d' un milieu riche , d' une famille fortunée , grande joueuse professionnelle de piano , célèbre , à seulement 13 ans .
    Albert
    Albert

    9 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 août 2024
    Charlotte Gainsbourg est super mais qu'est ce que c'est que ce scénario malsain, on dirait presque que le film est un prétexte...
    Larêveuse
    Larêveuse

    18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2023
    Quel bonheur de revoir après tant d'années ce petit bijou de sensibilité et de réalisme. On se retrouve plongés dans l'atmosphère des années 80, avec nostalgie mais aussi avec joie. Les personnages sont attachants et les acteurs jouent bien. Le personnage du père veuf, bourru mais aimant m'a vraiment touchée. Ainsi que Léone qui est humaine et présente pour Charlotte malgré cette difficile période d'adolescence. Et bien sûr la merveilleuse petite Lulu, incomparable et drôle. Un film de ma jeunesse cher à mon cœur.
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2023
    Une délicieuse comédie douce-amère de Claude Miller sur les affres d’une adolescente écorchée vive, fragile et timide. Le ton y est juste et du haut de ses 13 printemps, Charlotte Gainsbourg crève littéralement l’écran.
    Nicolas
    Nicolas

    3 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juillet 2023
    Inoubliable. Beaucoup de scènes sonnent tellement vrai qu'on a du mal à imaginer que c'est du cinéma. Quand Charlotte s'énerve ou pleure notamment. Casting au top et jeu d'acteurs au top.
    Céline Reslinger
    Céline Reslinger

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2023
    Charlotte Gainsbourg est très touchante dans ce film, un classique des soirées d'été...L'actrice qui incarne Lulu fait délirer !
    SociN
    SociN

    11 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2023
    Claude Miller essaye de dépeindre les tourments et les révoltes de l'adolescence avec le personnage de Charlotte, qui a un âge où on n'est plus enfant (contrepoint avec Lulu), mais où on n'est pas encore adulte (contrepoint avec Clara). Malheureusement, le film ne prend pas, probablement la faute à des dialogues téléphonés et à des personnages secondaires mal dessinés (Jean, l'amoureux, gentil, mais tout de même violeur et pédophile en puissance), le personnage de JC Brialy (dont on ne sait s'il est bienveillant ou toxique), ou encore le personnage de Bernadette Lafont (qui joue un rôle de mère de substitution, mais en n'ayant parfois que les prérogatives de la bonne --"elle peut donner ses 8 jours"--).
    ferdinand75
    ferdinand75

    546 abonnés 3 865 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2023
    Le film vaut surtout pour la superbe interprétation de de Charlotte Gainsbourg , on devine son immense talent , une sensibilité à fleur de peau et une capacité à changer de registre et de jouer toutes les émotions . Mais le film a mal vieillit ,et le scénario trop improbable n'est pas très crédible. On ne croit pas aux personnages , Brialy pas au top, même Bernadette Laffont , ne sait pas trop sur quel registre jouer . La révélation d'une star dans un film moyen.
    Barth
    Barth

    5 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2023
    Film sur l'adolescence d'une jeune fille plongée dans ses tourments, faisant face à la situation précaire de sa famille et à ses rêves de vivre une vie plus intense. Un beau film porté par une chanson culte italienne...
    maxime ...
    maxime ...

    237 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2023
    Claude Miller fait des merveilles avec des broutilles, mieux encore, il réalise des films qui marque, reste, perdure dans le temps et raconte à la fois un vécu, passé/présent et ouvre des portes d'avenir. Sans juger, diffamer ou condamner, à l'instar parfois d'un Louis Malle, il raconte et montre, démontre aussi que le cinéma est visuel, narratif, mais laisse place à un terme que l'on malmène souvent, une liberté !

    Après, La meilleure façon de marcher vu il y'a quelques mois, L'Effrontée dont certaines thématiques se rejoignent m'offre le pendant de tenir compte de la filmographie d'un réalisateur qui en a sous la chaussure !

    De cette toute première image, du Jukebox - prêté par l'illustre Christophe, l'apprend-on dans le générique de fin - démarre une chanson et non des moindres, " Sarà perché ti amo ", qui va accompagner l'ensemble de ce récit, va retentir encore et encore au fur et à mesure de l'ambiance, des humeurs de tout ce petit monde, de sa protagoniste principale, surtout ... Viennent ses bateaux, qui fendent la mer à toute vitesse, sous un soleil qui cogne. La aussi un point qui a son importance !

    Néanmoins, passé cette première clameur, le film file vers une autre marche, plus autoritaire, dont la discipline se siffle et se résume au " hop " de son maitre nageur. On le voit tout de suite, cette petite Charlotte, tétanisé à l'idée de sauté de son perchoir, sous la désapprobation de l'autre idiot de moniteur et du rire moqueur du reste de ses compagnons resté à terre va donner du fil à retordre à tout ceux qui se dressent sur son chemin ! Sa fuite, recroquevillé dans le vestiaire et la compagnie de cette femme, de cette autre monitrice, de tennis, comme on l'apprend, va donner des idées à cette petite gamine de 13 ans, entre deux âges, qui va de cette petite blessure au genou guérir très vite pour embrassé d'autres maux, cette fois invisibles, mais dont elle a déjà extrêmement conscience, avec ignorance toutefois ...

    Sa fixette, pour la musique, lors de ce cours auquel elle participe dans une classe qui n'est pas la sienne va dérivée vers une autre illusion, c'elle d'une identification à cette jeune fille derrière l'écran qu'elle visionne, du même âge, mais dont la trajectoire est synonyme de représentation, de concert, d'applaudissements manifestes. Le gros plan sur le visage de Charlotte - petite Gainsbourg incroyable - est sublimé par Claude Miller, qui récite les gammes de ses fonctions à entendre, comprendre et qui sans rien dire, laisse son spectateur s'immerger de cette scène absolument fantastique.

    Les disputes, multiples, qui s'en suivent, avec le père, le frère - qui s'apprête à partir - avec Léone, sa " nourrice " mais aussi avec la petite Lulu, voisine un poil fragile va bercer le rythme de ce film qui œuvre dans une simplicité déconcertante à retenir se brides de parcours, pour en écrire un hymne fou de joie et de mélancolie, parfois ... Le bonheur est là, envers et contre tout ! Le comportement qualifié de " fantasque " par sa professeur, dont la lecture du bulletin de fin d'années dans la cuisine par Charlotte dans une floppée de quolibets à l'attention de cette dernière, puis pour chaque personne s'y trouvant et n'allant pas dans son sens est une autre petite crise dont on retiens son évidence. Au cordeau, se trame une fonte dans l'intimité de cette famille, unit à sa manière, dont l'on découvre dans un déroulé fécond ce lien étroit et fort, qui se niche en nous et nous entiche d'elle-même pour ainsi dire.

    La rencontre avec ses voyageurs pas si inconnus va dès lors conduire l'adolescente vers une rêverie qui va la sortir de son ennui. A la fois stimulé et intimidé par la démesure qu'elle découvre, son caractère, déjà retentissant va encore s'accroitre ! La solitude, la jalousie, les colères, la peur qu'elle résume dans cette conversation nocturne avec son père, que ce dernier peine à contenir dans l'élocution de sa petite m'a vraiment touché ... " - Tu trouves pas que la vie est brusque ? " Le départ, tendre et rapide de son frère, offre pareil moment, délicat et furtif, déchirant surtout ! Cependant, on rigole à nouveau et ceux très rapidement. Dès le deuxième jour de vacances ou notre petite héroïne chamboule toute la baraque et pousse le patriarche à la mettre dehors ! De l'ennui, encore, elle dérive vers le monde, vers la ville, son bistrot, là ou elle rencontre belle et bien Jean, ce type entraperçu à la fabrique le jour plutôt. De cette relation, débute un mensonge à la question de celui-ci. L'âge qu'elle trafique, qui ne semble pas trop le déranger se termine sur un baisé volé et un rendez-vous pour l'après-midi acté.

    C'est là que tout s'emballe, enfin, que tout se relie. La livraison de la chaise de piano à la jeune prodige découverte plutôt va rabattre les cartes du déroulé de la journée. La villa luxueuse, là ou l'air n'est plus asphyxiant, va poussé Charlotte à revoir ses plans. Au bord de la piscine, le ventre vide, le malaise la gagne, les rappels de son plongeon un peu contraint et forcé des jours précédents et la fringale qui la gagne l'amène à s'évanouir dans cette eau bleu de chez bleu mais très vite secouru, puis invité pour la réception du soir, par ces nouveaux compagnons fortunés. C'est d'ailleurs là qu'elle tisse une amitié avec Clara, dans un quotidien de deux copines, dans une proximité que l'on s'imagine propre et plus en adéquation qu'avec le vouvoiement auxquelles elles se prêtent. La robe rouge, revêtu pour le concert, participe à retendre en difformité le lien dans cette fiesta guindée du soir, de courte de durée en fin de compte ...

    Après avoir filé à l'anglaise, elle retrouve les siens, Léone et Lulu, dans cette petite cuisine - que j'adore - et se livre au récit de cette nouvelle rencontre, entre réalité et rêverie. La nuit tombée, la fraicheur revenue, après la fin de parcours de la pipelette Lulu, là ou elle se retrouve à la fenêtre, sous surprend par la découvert plus bas de son courtisant... Elle le retrouve au bar le lendemain, ou elle lui confie ses envies, son départ qu'elle estime imminent ( le dimanche suivant ), tandis que lui lui partage autre chose, son désir, pour elle. La mention de son logement, à l'hôtel au dessus du perroquet - blase du bistrot de l'action - dans une flopée de bière qui l'enivre encore un peu plus pour des corps, jeune ou moins, réelle ou sur papier, dans une obsession que l'on va encore découvrir sous un autre regard dans sa suite ...

    Le shopping et les essayages dans le jardin, avec les critiques, les cris, avant la réconciliations sous cet arbre est peut-être une des scènes les plus géniales de ce film dont les moments comme celui-ci pleuvent, mais dont le condensée reflète au fond ici et maintenant le mieux toute son étendu de conflit et d'amour. Un calme avant la tempête, même si il y'a là, déjà, pas mal de remouds !

    La séquence qui les amènent dans la chambre est tout aussi asphyxiante que le manque d'air dans cet été caniculaire ! Le globe, objet de tout les possibles, puis arme contre le mal subit dans cet interstice, rappel que cette jeune adolescente affronte au cours de ces quelques jours toutes ses peurs dans une épreuve de bravoure qu'elle réussit admirablement bien ! Le concert, du dimanche qui doit tout changer en fin de compte n'a pas non plus l'effet escompté. La crise de sa petite camarade, les pleurs dans les toilettes à l'étage de la scène, puis le bref sourire de son " amie " n'atteignent pas les hautes attentes de Charlotte pour ce qu'il en est de son avenir ... La fin de la représentation se termine par une modeste lettre, un aurevoir qui se délite dans le récit, enfin qui se relègue à un autre, un peu plus loin, main dans la main ...

    L'Effrontée, est de ses films qui raconte les saisons, les âges, et ne s'oublie pas totalement ... A la fois complexe et simple, le film carbure sur des chemins de compassions, de trajectoires qui chavirent et se redressent, dans un trouble qui suinte de réalisme et qui conserve une pars de rêverie, un monde flou ou tout est possible, envisageable, dont il n'y a aucune frustration malgré la brusquerie que nomme explicitement Charlotte. Que le lien qui subsiste est plus beau et important que tout, qui résume un petit film au fond très grand !

    Mention pour ses acteurs, ses femmes surtout, à Bernadette Lafont, qui manque tant au cinéma. A Charlotte Gainsbourg, inoubliable petite friponne, une gamine géniale, que l'on veut voir grandir, autant que l'on souhaite la préservée à ce moment précis. Oui, un contraste pour finir ...
    flower33
    flower33

    4 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juillet 2023
    Très bon film où le casting est parfait.
    Quel talent cette Charlotte Gainsbourg...si naturelle...elle est vraiment faîtes pour être une actrice !
    Très beau film sur les sentiments en général : l'amitié, l'amour, les liens familiaux. Sur ce que l'on ressent lorsque que l'on est une adolescente, sur le fait de vouloir s'émanciper et se détacher de sa famille lorsque l'on grandit et que l'on n'est pas bien dans son corps. Toute cette ébullition et ce cataclysme dans son esprit et du coup l'attitude que l'on a dans le passage du monde de l'enfant à celui de l'adulte.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juillet 2023
    Un des plus beaux films de Claude Miller qui a coutume de les réussir (_La Meilleure Façon de marcher_, _La petite voleuse, Mortelle randonnée_, _Garde à vue_ et bien d’autres). Le scénario serait personnel contrairement à ce que disent certains. Quoi qu’il en soit, il est une jolie chronique de l’adolescence d’une hypersensible jeune fille, aimée mais un peu abandonnée, qui se promène dans ses rêves, ses fantasmes puis dans ses désillusions et ses deuils. Gamine superbement incarnée par une Charlotte Gainsbourg novice et déjà ô combien talentueuse et gracieuse qui mérite son César, celui de Bernadette Lafont, certes grande actrice, me paraissant plus improbable. On suit avec émotion, malgré quelques petites baisses de régime, le chemin sinusoïdal de Charlotte, entre exaltations et effondrements. La musique est charmante, les dialogues sonnent juste et la réalisation est légère… comme une gamine-tige. Un film qui a aussi le mérite de ne pas avoir vieilli.
    Ghislaine Gény
    Ghislaine Gény

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juillet 2023
    Ce film m'a marqué , peu être parce que j'avais 14ans,. Charlotte est si émouvante ! Le trouble d'une ado de l'époque. Le revoir est plaisant et me fait sourire presque 40ans après... une douce nostalgie du lac léman et des sentiments d'introspection qui m'animais à cette époque. Je comprends qu'un ado de 2023 ne comprenne pas ce film pourtant il traduit bien la dualité des concurrences de caractères à cet âge là...
    Moi je me rêvais dans mon avenir et la petite Charlotte aussi je crois...
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    135 abonnés 3 065 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2023
    Un film vu à sa sortie, mitigé sur les impressions qu'il a donné mais complexe et assez intéressant avec une comédienne adolescente convaincante.
    Amoureuse Tempsplein
    Amoureuse Tempsplein

    13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2022
    on sent tout le potentiel de charlotte,le seul film d'elle que j'ai vue a cette âge,j'ai beaucoup aimer son interprétation et l'intêret du perssonage a vouloir le déffendre film qu'il faut revoir 8 ans sans l'avoir revue une 2 eme fois c'est trop long
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