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    La Captive aux yeux clairs
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    4,0
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    56 critiques spectateurs

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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 147 abonnés 5 132 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mai 2024
    Superbe western qui réunit à la fois l’amitié des hommes, le respect des clans, les poursuites et bien sûr l’aventure dans les paysages superbes et surtout sur le fleuve. Toute une partie palpitante où l’action nous retient avec force.
    Le tout avec un KD toujours extraordinaire.
    Excellent
    Aimé Quintin
    Aimé Quintin

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2024
    Trop bon film noir et blanc. Merci Arte de diffuser ces anciens films en après-midi. Je trouve extraordinaire la qualité des dialogues, images et scénario, pour cette époque. Le réalisateur , un grand génie du cinéma américain.
    w kzw
    w kzw

    4 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2024
    Film ultra ringard, avec un Kirk Douglas frimeur, prétentieux et son rire idiot, glorifiant la machisme, le pillage des ressources et la bagarre (voilà qui plaira aux débiles mentaux qui se tapent dessus dans les matchs de foot, brûlent des cars, blessent et tuent des gens ...).
    Les indiens sont présentés comme une menace et des crétins tirant des flèches sur des étrangers.
    Triste cinéma !
    chrisbal
    chrisbal

    15 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2024
    Cette remontée du Missouri à bord du "Mantan", bateau de contrebande dont l'objectif est d'atteindre le territoire inconnu des indiens Blackfoot afin d'entamer des échanges commerciaux avec eux, fait d'abord la part belle à la nature et aux paysages.
    Il s'agit d'une épopée avec ce qu'il faut de mésaventures mais aussi paradoxalement beaucoup de légèreté.
    Dans la lignée de "La flèche brisée" de Delmer Daves, Howard Hawks traite des relations entre Blancs et Indiens sous un nouvel angle.
    Il met en avant la beauté d'Élisabeth Threatt, qui sera le lien entre les indiens et cette bande d'aventuriers relativement attachants et bien interprétés, que ce soit par Kirk Douglas ou Dewey Martin, mais aussi par Arthur Cunnicutt (qui en viendrait presque à les éclipser).
    François Huzar
    François Huzar

    8 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2023
    Film de pionniers doté d’une progression narrative rigoureuse et d’un tournage en décors naturels appréciable, ce film de Hawks est surtout l’éloge de l’amitié virile et de la réconciliation entre les peuples. A cet égard, les cinq dernières minutes, dénouement de ces deux sous-intrigues, sont remarquables de profondeur psychologique. Plusieurs scènes témoignent de la capacité du cinéaste à installer une atmosphère : l’amputation du doigt, le bateau suivi par les Indiens pendant trois jours, etc.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2021
    Tous les westerns ne vieillissent pas dignement. Ce film de Howard Hawks, pétri de lenteurs et bercé d'une voix off un peu trop présente à mon goût, subit le poids des ans, en dépit de bonnes intentions et d'un Kirk Douglas rayonnant dans sa première partie. On se laisse hélas gagner par une certaine torpeur à suivre cette odyssée qui manque par moments du souffle des grandes histoires.
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 décembre 2021
    Curieux western fluvial, enfantin, lent et même francophone en chansons. La présence de Kirk Douglas et des grands parcs américains ( en noir et blanc) n'empêche pas l'ennui. Encore un film qui a mal vieilli.
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2021
    Rythmé par le cours du fleuve du Missouri, un western d’aventures réjouissant, doté d’une mise en scène séduisante et d’un scénario d’une grande richesse, et porté par une interprétation formidable.
    SerialBob
    SerialBob

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2020
    Troisième des six westerns réalisés par Howard Hawks, un Kirk Douglas bondissant et rieur remplace John Wayne, vedette de « La rivière rouge » réalisé par Hawks, quatre ans plus tôt.

    Produit par la RKO d’Howard Hughes, ce récit d’aventures a pour cadre l’Amérique du nord d’avant la conquête du far west et l’implantation des villes et des chemins de fer sur tout ce territoire. Les personnages sont des trappeurs remontant en bateau jusqu’au source du Missouri pour y commercer avec les indiens Pieds noirs, luttant contre une compagnie qui veut s’arroger le monopole du commerce sur le fleuve, pénétrant dans des territoires inconnus de l’homme blanc.


    Pour cette célébration de la nature américaine, Hawks choisit de tourner intégralement en extérieur. Le titre original du film (« The big sky », c’est-à-dire « Le grand ciel ») dit bien l’importance de la nature, ce titre est aussi celui de la saga, signé A. B. Guthrie, dont le film est l’adaptation de la première partie. Cette proximité de tous les personnages avec leur milieu naturel permet, parfois et par delà les différences culturelles, des rapprochements entre pionniers et indiens et même une histoire d’amour.

    Hawks, comme à son habitude, prend son temps, multiplie les scènes d’amitié virile, parfois humoristiques, qui ne font pas directement avancer le récit (bagarre au saloon, chansons, veillées, à la belle étoile, au coin du feu), mais qui installent une atmosphère, permettent aux spectateurs de connaître les protagonistes et, surtout, de s’identifier à eux.

    Les thématiques habituelles du cinéaste sont bien présentes :

    - la constitution d’une équipe hétéroclite et intergénérationnelle redoutablement soudée et efficace. Elle est ici composée de deux trappeurs turbulents, de l’oncle de l’un d’entre eux (Arthur Honnicutt, dans ce rôle, fait un peu penser, par sa truculence, à Stumpy dans « Rio Bravo » du même Hawks, interprété par Walter Brennan), d’un indien porté sur la bouteille et sans tribu surnommé « pauvre diable », de l’inénarrable Francis, un français, chef des bateliers mais qui, pourtant, ne prend pas une décision sans l’accord de l’oncle susnommé,

    - derrière l’apparente bonhomie des personnages peuvent se cacher une rudesse, une détermination sans faille. Ainsi, apprend-on, au détour d’une conversation, que Francis a tué deux bateliers qui voulaient abandonner l’expédition. Une péripétie de ce type était un important ressort dramatique dans « La Rivière rouge », le précédent western du cinéaste. Dans le cinéma de Hawks, le respect de la parole donnée, la résistance face à l’adversité et donc un comportement professionnel sont primordiaux,

    - une femme qui ne se laisse pas choisir par les hommes mais qui les choisit au risque de briser l’amitié des deux principaux protagonistes (la princesse indienne cachée dans le bateau qui donne son titre au film).

    Ce beau voyage, cette ample et belle aventure, à la mise en scène classique et fluide, est un des meilleurs westerns d’un des plus grands réalisateurs de western...

    Si vous voulez suivre les aventures de trappeurs au point d’arrivée des personnages de « La captive aux yeux clairs », je vous invite à visionner « Au delà du Missouri », réalisé, une année plus tôt, par William A Wellman, avec Clark Gable, un autre grand western bucolique présentant une belle histoire d’amour entre un blanc et une indienne.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2020
    C'est l'un des classiques du western états-unien, l'un des cinq westerns que comprend la filmo de Howard Hawks (avec La Rivière rouge, Rio Bravo, El Dorado et Rio Lobo) et l'un de ces westerns des années 1950 attestant un changement de regard sur les Indiens d'Amérique, westerns dans lesquels un bon Indien n'est pas un Indien mort (cf. aussi La Flèche brisée de Delmer Daves, Le Vent de la plaine de John Huston…).
    Côté intrigue, on retrouve un schéma récurrent dans l'œuvre de Hawks : un groupe affrontant un danger (lié à la nature ou à un autre groupe humain), une amitié qui se noue entre deux hommes d'âge différent, une femme qui introduit une certaine rivalité, un désordre dans l'ordre établi, une augmentation du péril pour le groupe, mais une femme libre, à l'initiative sur le plan sentimental, là où les hommes sont en retrait, engoncés dans des codes et des règles dont ils ont du mal à se défaire.
    Le film est un peu lent à démarrer. Hawks prend son temps pour poser les personnages, l'action et les décors. La narration gagne en épaisseur progressivement, une belle épaisseur humaine, nourrie de solidarité, d'amitié, d'amour, de rivalité délicate. Où affleurent aussi une tension érotique et quelques ambiguïtés sexuelles (qui n'étaient probablement pas voulues par Hawks). Le scénario est plaisant et attachant. Sans fulgurance. Sobre et équilibré, comme le style visuel, d'un classicisme élégant. Mise en scène fluide, beaux plans larges exploitant la beauté des lieux, noir et blanc superbe.
    CH1218
    CH1218

    199 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2019
    Une expédition de trappeurs remonte le Missouri en direction du Montana. Le sentier qu’emprunte habituellement les colons est remplacé ici par une voie fluviale. La nature, un peu sage toutefois, tient donc un rôle aussi important que celui de Kirk Douglas, Dewey Martin ou encore Arthur Hunnicutt. Un film un peu lent et statique que j’ai redécouvert dans sa version longue d’une qualité plus que discutable. A noter que ce western centré comme souvent chez Howard Hawk sur les relations entre les protagonistes, est le seul qu’il réalisa sans John Wayne.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2019
    "The big sky" est un beau western à ciel ouvert se déroulant presque uniquement sur le fleuve du Missouri et dans les forêts environnantes. Le flm raconte une histoire d'amitié entre deux hommes, inscrite dans une communauté soudée qui doit nouer contact avec une tribu indienne : pour ce faire, la jeune et belle Teal Eye (Elizabeth Threatt) les accompagne afin de faciliter la rencontre. Mais cette indienne attire les regards de tous les hommes composants cette bande d'aventuriers, dont ceux de Jim (Kirk Douglas) et de Boone (Dewey). Leur amitié peut-elle tenir face à cette femme qu'ils aiment tous deux, bien qu'ils ne peuvent lui parler, la langue devenant ainsi un obstacle à la grande idée hawksienne qu'est le vivre ensemble ? Le film met habilement en scène le rapport d'abord méfiant puis respectueux entre Teal Eye et les hommes qui l'accompagnent à travers de pures scènes d'action (le dialogue étant impossible) plus ou moins développées : on peut passer d'un simple duel au couteau à une attaque massive d'indiens en passant par une tentative de sauvetage de noyade dans des courants forts. Mais les liens de solidarité qui se tissent dans ce très beau trio ne font pas oublier le sentiment amoureux dominant, lequel donne au dernier mouvement du film une teinte plus mélancolique inhabituelle chez Hawks – le personnage émouvant de Zeb Calloway n'est d'ailleurs pas étranger à cette tonalité. Malgré un traitement rigoureux et évolutif des personnages et une capacité à les inscrire dans des décors superbes (les scènes nocturnes dans la forêt sont magnifiques), la narration manque globalement de fluidité et impacte sur un rythme manquant de maîtrise, bémol qui place "The big sky" en dessous des meilleurs films d'Howard Hawks.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    154 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 août 2018
    « La Captive aux yeux clairs » n'est pas le long métrage le plus connu ni le plus célébré d'Howard Hawks. Et pour cause, ce fut un échec commercial à sa sortie, Hawks n'en fut d'ailleurs jamais tout à fait satisfait. Pourtant je le préfère largement à « La Rivière Rouge » son premier western, quelque peu austère et brutal, alors que « la Captive aux yeux clairs » est un modèle d'harmonie et de douceur, percé ça et là d'éclairs de violence. Dans l'ensemble, on se laisse bercer par ce récit de trappeurs joyeux et hardis, au rythme des chansons chantées à pleins poumons, entourés par un nombre inhabituel de Français (si si !) pour un film de ce genre et de cette époque.

    Il règne dans ce long métrage une bonne humeur communicative. Les deux héros masculins, Jim Deakins (Kirk Douglas) et Boone Caudill (Dewey Martin) font connaissance en s'échangeant de vigoureux coup de poings... Et c'est ainsi que leur amitié commence ! Le temps de sortir de sa prison le vieil oncle de Boone, Zeb Calloway (Arthur Hunnicutt, truculent au possible), les deux héros se joignent à un groupe de trappeurs français, qui espèrent commercer avec les Pieds Noirs (ou Black Feet), tribu indienne dont ils détiennent une femme – la fameuse captive aux grands yeux tout à fait cinégéniques – afin de l'échanger contre des fourrures et autres avantages sonnants et trébuchants.

    Mais au lieu de se focaliser sur l'intrigue, tortueuse au possible, Hawks s'attache à filmer les péripéties, les rebondissements, mais aussi les à-côté de ce voyage interminable. Il prend le temps de créer une véritable atmosphère, et on se croit plongé dans cette époque, comme dans un documentaire qui aurait traversé le temps. Tout semble plus vrai que nature. On est ravi d'échouer dans une auberge où le whisky coule à flots et où hommes et femmes chantent de leur plus belle voix, dans un français touchant. D'ailleurs, on s'amuse de ces Français râleurs et charmeurs, de leurs petites combines. Mais aussi de ce passage dans la prison, où Zeb Calloway semble s'y sentir comme chez lui. Et comment ne pas résister à ces passages où les trappeurs établissent leur campement, avec leurs viandes grillées et le whisky omniprésent...

    Et quand vient le temps de l'action, le rythme change du tout au tout. Des fulgurances viennent traverser le récit, à l'image de ce bateau qui remonte lentement le cours du fleuve, très lentement... Jusqu'à ce que les Indiens viennent rompre la tranquillité du périple, et amener avec eux inquiétudes et menace. Une menace dont les trappeurs mettront du temps à se défaire, d'autant qu'en parallèle une compagnie de commerce de fourrures, ayant engagé de redoutables mercenaires, se jette toute entière à leurs trousses, avec la puissance et les moyens financiers d'une organisation particulièrement efficace...

    Alternants de longs moments de calme, des scènes d'anthologie et des séquences plus animées, « La Captive aux yeux clairs » n'est pas un immense chef-d’œuvre. Pour autant, c'est à mon sens un grand et beau western, et même un grand et beau film tout court. A l'image de cette dernière séquence, qui vient donner une dimension supplémentaire, et même un supplément d'âme à ce long métrage décidément très attachant.
    JC J.
    JC J.

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2018
    C'est un super film mais je ne l'ai pas acheter le DVD parce qu'il n'est pas en couleur, il devrait y avoir les deux version et pouvoir choisir
    babidi
    babidi

    5 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2018
    un film dirige de main de maitre comme a l habitude de Mr Hawks

    kirk douglas fait le travail avec brio accompagne de second role assez bien campe

    un film un peu long a mon gout et qui reste en dessous de ses collaborations avec john wayne

    a voir cependant car tout film de howard hawks reste un plaisir
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