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Votre avis sur Pulp Fiction ?
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Le film commence sur une intro à là Reservoir Dogs, le premier film de Tarantino. Un couple discute dans un bar et finisse par le braquer. Cut, et on découvre le générique sur une musique du feu de dieu. Puis, Tarantino dévoile une nouvelle introduction avec 2 personnages que l’on a jamais vu : Samuel Jackson et John Travolta (si vous remarquez bien, on a déjà vu Vincent Vega dans la toute première scène).
Comme dans Reservoir Dogs, le récit de Tarantino n’est pas chronologique et il créé plusieurs histoires parallèles qui se rejoignent toutes au fur et à mesure que l’on avance dans le film.
Le film se clôt toujours non chronologiquement mais avec l’action qui a commencé, le tout sur une bande originale toujours aussi super.
Tarantino utilise presque toujours un huit clos sans que le spectateur sans rendre compte. L’action se passe (presque) tout le temps dans un endroit clos : dans un appartement, dans le restaurant, chez Wallace, dans le grill, dans la cave. De plus, grâce à la mise en scène de Tarantino, même dans le cabriolet de Vincent Vega, on sait que le tout est filmé en studio et on ressent donc cet enfermement.
On trouve aussi les faux placements de produits de Tarantino comme les cogarettes Red Apple ou le Big Kahuna Burger.
Le passage de la marche des vertueux est devenu, grâce à Tarantino, l’une des plus grandes répliques du cinéma comme le twist de Mia et Vega. On peut d’ailleurs remarquer dans Captain America : Le soldat de l’hiver, Fury, le personnage interprété par Samuel Jackson, se recueillir devant la stèle avec comme épitaphe : « La marche des vertueux. »
Tarantino peuple son film de référence au rétro. Cela commence dès son titre qui signifie Pulp Magazines, puis par l’affiche et la jaquette. Il y a aussi le Jack Rabbitt Slim’s Retro où dîne Mia et Vincent.
Le but de Tarantino est de comparer cette évolution comme lors de la scène de rencontre entre Mia et Vega. L’un est « vieillot » et boit un whisky tandis que la « jeune » est plus contemporaine et prend de la cocaïne.
Le cinéaste joue avec son talent de réalisateur et nous fait aimer des ordures sans jamais tomber dans le manichéen. On peut même y trouver une référence à Scorsese « spécialiste » des films mafieux gangsters, dans le bar de Wallace qui ressemble au bar dans Mean Streets. Quant à la présentation de Butch, elle semble être une référence à Voyage au bout de l’enfer de Michael Cimino.
Comme dans Reservoir Dogs, le récit de Tarantino n’est pas chronologique et il créé plusieurs histoires parallèles qui se rejoignent toutes au fur et à mesure que l’on avance dans le film.
Le film se clôt toujours non chronologiquement mais avec l’action qui a commencé, le tout sur une bande originale toujours aussi super.
Tarantino utilise presque toujours un huit clos sans que le spectateur sans rendre compte. L’action se passe (presque) tout le temps dans un endroit clos : dans un appartement, dans le restaurant, chez Wallace, dans le grill, dans la cave. De plus, grâce à la mise en scène de Tarantino, même dans le cabriolet de Vincent Vega, on sait que le tout est filmé en studio et on ressent donc cet enfermement.
On trouve aussi les faux placements de produits de Tarantino comme les cogarettes Red Apple ou le Big Kahuna Burger.
Le passage de la marche des vertueux est devenu, grâce à Tarantino, l’une des plus grandes répliques du cinéma comme le twist de Mia et Vega. On peut d’ailleurs remarquer dans Captain America : Le soldat de l’hiver, Fury, le personnage interprété par Samuel Jackson, se recueillir devant la stèle avec comme épitaphe : « La marche des vertueux. »
Tarantino peuple son film de référence au rétro. Cela commence dès son titre qui signifie Pulp Magazines, puis par l’affiche et la jaquette. Il y a aussi le Jack Rabbitt Slim’s Retro où dîne Mia et Vincent.
Le but de Tarantino est de comparer cette évolution comme lors de la scène de rencontre entre Mia et Vega. L’un est « vieillot » et boit un whisky tandis que la « jeune » est plus contemporaine et prend de la cocaïne.
Le cinéaste joue avec son talent de réalisateur et nous fait aimer des ordures sans jamais tomber dans le manichéen. On peut même y trouver une référence à Scorsese « spécialiste » des films mafieux gangsters, dans le bar de Wallace qui ressemble au bar dans Mean Streets. Quant à la présentation de Butch, elle semble être une référence à Voyage au bout de l’enfer de Michael Cimino.
Mon film préféré de Tarantino, un véritable ovni cinématographique qui mêle à merveille film policier et comédie noire. Une histoire qui n’est finalement qu’un prétexte pour faire évoluer une galerie de personnages plus barrés les uns que les autres, parmi lesquels se distinguent un magistral John Travolta en gangster complètement déphasé, et un mythique Samuel L Jackson en truand qui trouve progressivement la foi. Autour d’eux un casting assez impressionnant, où chaque acteur trouvera son moment inoubliable. Les scènes cultes s’enchaînent (notamment la fameuse danse, mais aussi l’épisode de la montre avec un génial Christopher Walken), rythmées par des répliques tout aussi mémorables. Plus globalement, c’est l’ambiance générale qui fait toute la force du film, en permanence sur un fil entre comédie et film plus sérieux, sans jamais basculer d’un côté ou de l’autre. Enfin, la mise en scène n’est pas en reste, avec un montage non chronologique très efficace, et que dire de la BO, simplement parfaite. L’ensemble est long (plus de 2h15), indiscutablement bavard, mais jouissif de la première à la dernière minute. Mis à part la scène un peu longuette avec la fiancée de Bruce Willis, rien n’est à jeter dans ce film ! A voir, revoir, et rerevoir, avec une jubilation certaine !
Que suis je allé faire dans cette decheterie spécialisé en déchets non recyclable ?
Un scénario qui n'existe pas, un humour presque aussi fort que celui de docteur strange, c'est à dire tout aussi inexistant. Peut être que la troisième partie du film sauve une partie de ce désastre.
Samuel John et Bruce sont de bons acteurs, malheureusement le scénario et la mise en scène ne suivent pas.
Dommage de la part du public d'allocine qui sait normalement ne pas confondre un navet et une fraise.
Un scénario qui n'existe pas, un humour presque aussi fort que celui de docteur strange, c'est à dire tout aussi inexistant. Peut être que la troisième partie du film sauve une partie de ce désastre.
Samuel John et Bruce sont de bons acteurs, malheureusement le scénario et la mise en scène ne suivent pas.
Dommage de la part du public d'allocine qui sait normalement ne pas confondre un navet et une fraise.
Tarantino, Palme d'or en 1994, Samuel L. Jackson, John Travolta, Bruce Willis, Uma Thurman, etc ... Les arguments étaient nombreux pour m'attirer. Pourtant j'ai entendu parler pendant des années de ce film sans jamais le regarder. Je me suis donc fait une certaine image du film au fil des années avec ce que j'avais entendu. Au moment de confronter cette image à la réalité, je m’aperçois que je n'étais pas très loin à une nuance près.
Je n'étais pas très loin car le film est typiquement tarantinien : des personnages hauts en couleur, un peu de violence, un propos corrosif et de bons acteurs. Mais surtout et avant tout, "Pulp Fiction" sent bon l'hommage aux films et à la littérature pulp. On sent un amour pour ce genre littéraire et cinématographique de la part du cinéaste et c'est ce qui le définira par la suite (les films de guerre pour Inglorious Bastards, le western pour Django Unchained ...).
Cela dit, être un film tarantinien, cela a ses avantages mais aussi ses inconvénients. Ainsi, "Pulp Fiction" est parfois très (trop) bavard ce qui le rend assez pompeux. De plus, il reste inégal : Vincent Vega et Jules Winnfield, c'est génial, tout comme Vincent Vega et Mia Wallace ou Winston Wolfe vs Vega et Winnfield. En revanche, je suis dubitatif sur les scènes avec l'acteur Tim Roth et encore plus celles avec Bruce Willis. Je n'ai rien contre cet acteur mais toute la partie sur son personnage m'a grandement agacé. Je n'y ai pas pris de plaisir alors que j'ai adoré écouter disserter Samuel L. Jackson et John Travolta ...
Cependant, je dois nuancer l'affirmation précédente selon laquelle le film était proche de ce à quoi je m'attendais : je n'étais pas très loin, certes, mais je m'attendais à quelque chose de plus sulfureux. "Pulp Fiction" est en fait bien sage : pas beaucoup de scènes pourraient choquer un spectateur lambda. Il y a un peu de violence mais pas beaucoup. Il n'y a pas vraiment de sexe ni de message politique. En revanche, il y a pas mal de drogues mais elles sont plus présentes pour coller à la réalité des années 80 et 90 que pour autre chose.
Bref, "Pulp Fiction" est intéressant et mérite d'être vu pour enrichir sa culture cinématographique. En revanche, il ne deviendra pas pour moi un objet de vénération.
Je n'étais pas très loin car le film est typiquement tarantinien : des personnages hauts en couleur, un peu de violence, un propos corrosif et de bons acteurs. Mais surtout et avant tout, "Pulp Fiction" sent bon l'hommage aux films et à la littérature pulp. On sent un amour pour ce genre littéraire et cinématographique de la part du cinéaste et c'est ce qui le définira par la suite (les films de guerre pour Inglorious Bastards, le western pour Django Unchained ...).
Cela dit, être un film tarantinien, cela a ses avantages mais aussi ses inconvénients. Ainsi, "Pulp Fiction" est parfois très (trop) bavard ce qui le rend assez pompeux. De plus, il reste inégal : Vincent Vega et Jules Winnfield, c'est génial, tout comme Vincent Vega et Mia Wallace ou Winston Wolfe vs Vega et Winnfield. En revanche, je suis dubitatif sur les scènes avec l'acteur Tim Roth et encore plus celles avec Bruce Willis. Je n'ai rien contre cet acteur mais toute la partie sur son personnage m'a grandement agacé. Je n'y ai pas pris de plaisir alors que j'ai adoré écouter disserter Samuel L. Jackson et John Travolta ...
Cependant, je dois nuancer l'affirmation précédente selon laquelle le film était proche de ce à quoi je m'attendais : je n'étais pas très loin, certes, mais je m'attendais à quelque chose de plus sulfureux. "Pulp Fiction" est en fait bien sage : pas beaucoup de scènes pourraient choquer un spectateur lambda. Il y a un peu de violence mais pas beaucoup. Il n'y a pas vraiment de sexe ni de message politique. En revanche, il y a pas mal de drogues mais elles sont plus présentes pour coller à la réalité des années 80 et 90 que pour autre chose.
Bref, "Pulp Fiction" est intéressant et mérite d'être vu pour enrichir sa culture cinématographique. En revanche, il ne deviendra pas pour moi un objet de vénération.
Ça y est j'ai regardé enfin ce fameux Pulp Fiction...enfin qui n'a pourtant rien de si fameux !!
Il s'agit certainement d'un des pires films de Tarantino
Les dialogues sont vraiment très pauvres digne d'une série tv des années 70-80 et on s'ennuie terriblement une fois la première partie passée on se retrouve avec un Bruce willis qui nous empêchent de stopper le films mais mauvaise nouvelle retour du Travolta dépressif et mou...très mou, comme le film
Le final est à la hauteur du film...long est peu marquant !!
Il s'agit certainement d'un des pires films de Tarantino
Les dialogues sont vraiment très pauvres digne d'une série tv des années 70-80 et on s'ennuie terriblement une fois la première partie passée on se retrouve avec un Bruce willis qui nous empêchent de stopper le films mais mauvaise nouvelle retour du Travolta dépressif et mou...très mou, comme le film
Le final est à la hauteur du film...long est peu marquant !!
Quand on est absolument pas réceptif à un certain type d'humour c'est le fiasco total ! Et lorsque j'ai vu ce film c'est précisément ce que j'ai ressenti. Qu'ajouter à cela ? Car il s'agit bien d'une affaire de goût. Je n'ai pas ri, le récit n'a rien évoqué chez moi et j'avais le sentiment que l'histoire était faite pour feindre le chef d'oeuvre sans toutefois y parvenir ! Un vrai "mauvais" chef d'oeuvre selon moi, de ces films qui me font penser qu'il existe un type de cinéma que, décidément, je n'aimerai jamais. Même en faisant l'effort de le considérer comme une sorte de BD mal inspirée je ne suis pas parvenu à l'apprécier ! A mes yeux ce film ne vaut pas grand chose, pour ne pas dire rien. Chacun sait que les goûts en la matière sont évidemment très subjectifs. Peut-être aurais-je dû le voir au deuxième, troisième voire quatrième degré pour en sonder toute la subtilité ? Possible, mais je préfère rester sur mes impressions, c'est à dire que selon moi ce film est censé être spirituel mais il n'est ni spirituel ni profond, il est mortellement décevant.
Exceptionnel. Pulp Fiction ne peut être classé dans aucune catégorie, il dépasse tout ce qui a été fait auparavant et crée quelque chose que personne ne pourra reproduire à part Tarantino lui-même. Son style explose littéralement, et les "débris" qui retomberont seront cultes à tout jamais.
Le scénario est très particulier, décousu et raccommodé avec pertinence afin de nous présenter le film sous un nouveau jour. On est transportés dans le passé, le futur et on revient au présent, on comprend des éléments qui paraissaient incongrus avant qu'ils ne soient expliqués. Le film n'apparaît dans toute sa splendeur que lors du générique de fin, il arbore son esprit fin et génial avec fierté et nous regarde de haut avec un rictus cruel : il nous a eus.
Les personnages sont excellents : leurs caractères sont forts, variés, uniques et ils interagissent de manière intelligente et intéressante. Des fils se tissent entre eux, leurs rencontres sont importantes et chacun est relié à l'histoire extraordinaire de l'autre. Tous les acteurs sont excellents : Uma Thurman dans le rôle de l'envoûtante Mia Wallace, John Travolta en Vincent Vega, Sam L. Jackson interprétant l'épatant Jules Winnfield, Bruce Willis en Butch (son personnage nous livre une petite morale bien placée), Harvey Keitel, Ving Rhames (interprète de Marcellus Wallace, un méchant humain finalement), Tim Roth et j'en passe. Il n'y a pas de méchant ni de gentil, ce qui augmente encore le génie du film.
Le style de Tarantino est très présent (quel euphémisme), si on aime pas le cinéaste dur d'adorer le film, mais pour moi aucun problème étant donné que je considère un peu Quentin comme le dieu du cinéma. On détecte quelque chose de différent dans ses films, jusque dans l'image, et on aura beau chercher, on ne trouvera ça nul part ailleurs. La façon de filmer sublime le tout et donne à l'œuvre ce côté particulier et unique qu'on apprécie volontiers. Les textes sont réfléchis même si quelques fois ils paraissent inutiles, ils caractérisent le film et sont quoi qu'on dise bien choisis, tant par les thèmes abordés (massage des pieds : un crime impardonnable ?) que par la façon dont ils sont formulés.
Culte de bout en bout, Pulp Fiction est à voir absolument. Il mérite son accueil (accueil néanmoins mitigé à l'époque) et fait preuve d'un génie peu commun. Excellent Tarantino, même si ce n'est pas mon préféré du cinéaste, je fus forcée de l'apprécier ! Délicieux !
Le scénario est très particulier, décousu et raccommodé avec pertinence afin de nous présenter le film sous un nouveau jour. On est transportés dans le passé, le futur et on revient au présent, on comprend des éléments qui paraissaient incongrus avant qu'ils ne soient expliqués. Le film n'apparaît dans toute sa splendeur que lors du générique de fin, il arbore son esprit fin et génial avec fierté et nous regarde de haut avec un rictus cruel : il nous a eus.
Les personnages sont excellents : leurs caractères sont forts, variés, uniques et ils interagissent de manière intelligente et intéressante. Des fils se tissent entre eux, leurs rencontres sont importantes et chacun est relié à l'histoire extraordinaire de l'autre. Tous les acteurs sont excellents : Uma Thurman dans le rôle de l'envoûtante Mia Wallace, John Travolta en Vincent Vega, Sam L. Jackson interprétant l'épatant Jules Winnfield, Bruce Willis en Butch (son personnage nous livre une petite morale bien placée), Harvey Keitel, Ving Rhames (interprète de Marcellus Wallace, un méchant humain finalement), Tim Roth et j'en passe. Il n'y a pas de méchant ni de gentil, ce qui augmente encore le génie du film.
Le style de Tarantino est très présent (quel euphémisme), si on aime pas le cinéaste dur d'adorer le film, mais pour moi aucun problème étant donné que je considère un peu Quentin comme le dieu du cinéma. On détecte quelque chose de différent dans ses films, jusque dans l'image, et on aura beau chercher, on ne trouvera ça nul part ailleurs. La façon de filmer sublime le tout et donne à l'œuvre ce côté particulier et unique qu'on apprécie volontiers. Les textes sont réfléchis même si quelques fois ils paraissent inutiles, ils caractérisent le film et sont quoi qu'on dise bien choisis, tant par les thèmes abordés (massage des pieds : un crime impardonnable ?) que par la façon dont ils sont formulés.
Culte de bout en bout, Pulp Fiction est à voir absolument. Il mérite son accueil (accueil néanmoins mitigé à l'époque) et fait preuve d'un génie peu commun. Excellent Tarantino, même si ce n'est pas mon préféré du cinéaste, je fus forcée de l'apprécier ! Délicieux !
Jouissif... du début à la fin... Musicalement, cinématographiquement, scène de bastons terribles qui font rire, scène drôles qui émeuvent, scène émouvantes qui... C'est le secret de Tarantino : faire des films en contre-pied, des films de cinéastes pour cinéphiles, se permettre tout, copier les plus grands (Scorcese, Copolla, Woo...) mais en insufflant une patte cool et rock n'roll, ce film à relancé Dick Dale et son "Misirlou" qui a relancé la surf music... ce film sorti en pleine vague techno-casse-couilles à surement profité au renouveau du rock n'roll des années 2000... Sans compter tous ceux qui dansent comme travolta dès qu'on entend du Chuck Berry... Bruce Willis et Travolta ne retrouveront plus jamais d'aussi bon rôles... Uma thurman oui, 10 ans plus tard avec Tarantino... Samuel Jackson est depuis un habitué...En fait aux états unis, il vaut mieux faire pote avec Tarantino, Scorcese, Soderbergh ou Nolan... Bref un chef d'oeuvre
Assez complexe de critiquer ce film, un film unanimement qualifié de chef d'oeuvre. Je ne remets pas en cause cette vision ou bien même le talent indéniable de Tarantino.
Ce film repose sur des acteurs forts, justes et puissants dans l'interprétation : Travolta, Willis, Thurman... Les dialogues sont percutants, dans la veine de ce style de film : une répartie mafieuse légendaire !
La première partie du film reste ennuyeuse. Le décor est posé avec plus ou moins de réussite : De l'ennui entrecoupé de rares dialogues/scènes savoureux(ses). On commence à apprécier véritablement à partir de la rencontre entre Vincent et Mia ; le rythme monte, l'intrigue se dévoile, les personnages s'entremêlent et s'entretuent.
Conclusion, un film inégal.
Ce film repose sur des acteurs forts, justes et puissants dans l'interprétation : Travolta, Willis, Thurman... Les dialogues sont percutants, dans la veine de ce style de film : une répartie mafieuse légendaire !
La première partie du film reste ennuyeuse. Le décor est posé avec plus ou moins de réussite : De l'ennui entrecoupé de rares dialogues/scènes savoureux(ses). On commence à apprécier véritablement à partir de la rencontre entre Vincent et Mia ; le rythme monte, l'intrigue se dévoile, les personnages s'entremêlent et s'entretuent.
Conclusion, un film inégal.
Shawn777
Culte ! Voilà le premier mot qui me vient à l'esprit lorsque je pense à ce film. Sorti en 1994, Quentin Tarantino réalise et écrit son deuxième film et montre déjà là après "Reservoir Dogs" ses talents de scénariste et de réalisateur. Ce film à la particularité de montrer plusieurs histoires dans le désordre mais qui ont toutes un rapport entre elles puisqu'elles se rejoignent à plusieurs moments du film et même si c'est assez difficile à comprendre lors du premier visionnage, cela donne un rendue assez sympathique. Le scénario est vraiment original, rien n'est laissé au hasard, il y a des petites touches d'humour noir notamment la scène où Vega
spoiler:
tire sur un mec sans le faire exprès
et bien-sûr pas mal de violence signée Tarantino ! Les dialogues sont également très bon, on reconnaît encore ici la patte de Tarantino car il y a parfois des discussions bateau mais que le réalisateur arrive quand même à rendre intéressantes et il y a de bonnes répliques venant de personnages très travaillés eux-aussi. Le film possède son lot de scènes cultes notamment une que j'adore et qui est d'ailleurs ma préférée, toute celle où Mia et Vincent sont au restaurant type années 50, lorsqu'ils sont à table, qu'ils dansent etc. "Pulp Fiction", c'est aussi sa B.O mémorable qui est géniale du début à la fin et qui colle parfaitement bien au film. Malgré les deux heures et demi de film (oui le film est aussi long !), on ne les voit pas passées car le film nous offre toujours quelque chose à nous mettre sous la dent et puis on ne s'ennuie pas, tout simplement. Dès la scène d'introduction, on rentre complètement dans cet univers barré et remplie de gangsters plus ou moins maladroits pour n'en ressortir qu'à la fin la sourire aux lèvres. Le film propose également son lot d'excellents acteurs tels que John Travolta, Samuel L. Jackson, Uma Thurman, Bruce Willis, Harvey Keitel et Ving Rames pour les principaux et ils jouent évidemment tous très bien ! "Pulp Fiction" est donc un très bon film qui se laisse regarder avec beaucoup de plaisir.
et bien-sûr pas mal de violence signée Tarantino ! Les dialogues sont également très bon, on reconnaît encore ici la patte de Tarantino car il y a parfois des discussions bateau mais que le réalisateur arrive quand même à rendre intéressantes et il y a de bonnes répliques venant de personnages très travaillés eux-aussi. Le film possède son lot de scènes cultes notamment une que j'adore et qui est d'ailleurs ma préférée, toute celle où Mia et Vincent sont au restaurant type années 50, lorsqu'ils sont à table, qu'ils dansent etc. "Pulp Fiction", c'est aussi sa B.O mémorable qui est géniale du début à la fin et qui colle parfaitement bien au film. Malgré les deux heures et demi de film (oui le film est aussi long !), on ne les voit pas passées car le film nous offre toujours quelque chose à nous mettre sous la dent et puis on ne s'ennuie pas, tout simplement. Dès la scène d'introduction, on rentre complètement dans cet univers barré et remplie de gangsters plus ou moins maladroits pour n'en ressortir qu'à la fin la sourire aux lèvres. Le film propose également son lot d'excellents acteurs tels que John Travolta, Samuel L. Jackson, Uma Thurman, Bruce Willis, Harvey Keitel et Ving Rames pour les principaux et ils jouent évidemment tous très bien ! "Pulp Fiction" est donc un très bon film qui se laisse regarder avec beaucoup de plaisir.
Evidemment l'un des meilleurs films même 22 ans aprés sa reste le meilleur film a voir avec un casting vraiment réussi pour chaque personnage super mise en valeur de chaque exemple avec les champs contre champs, les plans poitrine ou encore les plan pieds du couple qui vont réaliser un braquage :) juste magnifique. et un super jeu d'acteur pour vincent Vegas surtout dans la scène ou il est surveiller par caméra :) à voir encore et encore :)
Cultissime!!!!dialogues savoureux avec tous ces personnages loufoques et badass!!!du pure Tarantino !!!
Casting hors pair, grand nom du cinéma. Pourtant avec moi la sauce n'a pas pris. Je me suis trop souvent ennuyer durant le film. Je comprend le fait qu'il soit considéré comme un chef d'oeuvre. Il en à tout les codes. Mais je ne suis pas client. Tarantino c'est pas ma cam'
Je ne comprend pas l'engouement pour ce film. Je me suis endormi au bout de 30 minutes. À cause de ses longues scènes de dialogues où l'on parle pour ne rien dire, ce film distille un profond ennui. Les acteurs sont très bons (surtout Uma Thurman) mais c'est tout ce que j'ai retenu du film.
Celui-là c'est mon préféré. Ça part dans tous les sens.Supers acteurs.La scène du magasin avec Marcellus Wallace😂😂😂.Dialogues exceptionnels!La crème de la crème.
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