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Malevolent Reviews
981 abonnés
3 207 critiques
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2,0
Publiée le 5 mai 2013
Septième opus de la saga interminable, Police Academy : Mission à Moscou fait revenir cinq ans après et pour la dernière fois nos flics gaffeurs pour une aventure inédite. En effet, loin de leurs districts, ils viennent chambouler les moeurs de leurs compatriotes russes afin de protéger les biens du gouvernement de la mafia locale. Au programme, des gags toujours aussi patauds, des situations rocambolesques et des acteurs fatigués. Heureusement que certaines figures sympathiquement connues viennent apporter un peu de piquant dans cette péripétie internationale : le grand Christopher Lee en commandant soviétique, la toute jeune Claire Forlani dans son tout premier rôle au cinéma et l'atypique Ron Perlman, campant ici un chef de la mafia charmé par l'imposante poitrine de la toujours aussi géniale Leslie Easterbrook, poussant notamment ici la chansonnette pour une séquence sincèrement jubilatoire. De plus, beaucoup des anciens personnages de la série ne reviennent pas pour cet ultime opus, des personnages récurrents comme Hooks, Hightower, Proctor ou encore Nick Lassard. Bref, pas forcément l'épisode de trop mais bien heureusement le dernier, les spectateurs en ayant un peu assez de voir sans cesse les mêmes flics incompétents...
voilà, c'est la fin. j'ai acheté l'intégrale des police academy et je viens de terminer le 7ème. Ce dernier épidode est navrant et pathétique à la fois. rien ne tient et c'est bien le plus mauvais de la série après le 5 (les 4 premiers et le 6 étant corrects). Mais voilà c'est le dernier, il y a cette scène de balai du lac des cygne du bolchoï, et surtout il y a l'affection extraordinaire que l'on a pour ces personnages même si beaucoup manquent à l'appel. C'est en quelque sorte un dernier baroud d'honneur de ces policiers excessivement sympathiques. Hightower nous a quitté, aucuns des acteurs n'a percé ...mais voilà à l'heure des grosses machines mécaniques et huilés, cette série je trouve respecte l'amour de la comédie, même maladroite et foutraque, derrière tout cela on sent une grande humanité chez ces comédiens, et je pense qu'on peut saluer la ténacité du producteur, qui l'a fait pour l'argent certes, mais tout de même, on sent une âme au cours de la série, étirée sur 20 années , et c'est là le principal !!
Il est clair que le film a été saboté pour couler définitivement la série. Ce film n'est jamais drole, le peu d'acteurs qui ont accépté de revenir ne s'en livrent plus à coeur joie, c'est perceptible. Les seules choses à retenir étant le générique de fin, assez sympa, et que ce film est la première comédie à avoir été tournée en russie après la guerre froide. Historique n'est pas culte hélas...
Alors ce qui est marrant avec ce « Police Acedemy 7 » c’est qu’effectivement, c’est le pire « Police Academy » de l’histoire de la saga. Pourtant, je ne peux m’empêcher de mettre une étoile parce que ce niveau extrême de « mauvaisitude » (oui j’aime les néologismes) a quand même un aspect drôle. Entre potes, ça peut même devenir un bon film pour une soirée nanar…
13 613 abonnés
12 377 critiques
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0,5
Publiée le 11 août 2013
Pour la première fois de leur carrière, les policiers les plus nuls d'Amèrique s'exportent à l'ètranger! Dans le septième èpisode de cette saga burlesque (sans Hightower et Laverne qui dèserte la sèrie comme Mahoney), ils dèbarquent sur la Place Rouge pour rivaliser de bêtise avec leurs homologues russes à coups de gaffes et de gags qui sentent le rèchauffè et qui tombent le plus souvent à plat! Sur fond de perestroïka, cette pochade feuillotonesque est marquèe par la prèsence de l'immense Christopher Lee, en commissaire moscovite rapidement dèpassè par les èvènements! C'est de loin le plus mauvais de la sèrie qui dèpasse tous ses prèdècesseurs en matière de stupiditè! Le "Police Academy" de trop en somme...
Sans aucun doute possible le pire épisode épisode de la saga aucun n'est droles (si il y'en n'a).Les bruitages a deux balles sont pourris et agacant.A éviter méme vous aimés le reste de la saga
Je crois qu'on s'ennuie de plus en plus avec ces police academy, que je n'ai pas eu le courage de tous les voirs, seulement les deux premiers et le dernier pour tatonner mais franchement, ne vous tournez pas vers cette série qui ne vaut absolument rien !
Un début calamiteux ! Il n'y a même pas de cartouche dans la GameBoy ! Quelle faute énorme de montrer l'écran de la console allumé alors qu'il n'y a pas de cartouche ! Mais passé cela, arrivent au casting Ron Perlman et Claire Forlani en plus de l'excellent Christopher Lee ! Autant dire que les moyens sont là. Ce sera pourtant le pire volet qui met un terme (Définitif ?) à la saga. On sentait un coup de vieux chez Harris.
Sorti cinq ans après le précédent opus, soi en 1994, ce septième épisode de la saga "Police Academy", cette fois réalisé par Alan Metter, n'est malheureusement pas terrible. Non pas que j'en sois très surpris ni déçu car je n'ai jamais vraiment été fan de cette saga mais je m'étais dit malgré tout que ce film aurait pu être sur la même lancée que les deux premiers films qui étaient, à mon sens, plutôt bons. Nous retrouvons donc notre bande de célèbres policiers qui doivent cette fois aller en Russie afin de déjouer les plans d'un chef de grand banditisme. Bon, on remarquera que le scénario n'est toujours pas très original et est encore une fois un prétexte aux gags. Le problème, c'est qu'au bout du septième film, les gags s'épuisent et les scènes en deviennent donc un peu longues et ennuyantes, ce qui est assez dommage pour un film d'à peine une heure et demie. Nous avons malgré tout quelques scènes plutôt réussies mais qui ne marquerons pas les esprits et qui feront au maximum juste sourire. En ce qui concerne le casting, nous retrouvons le groupe d'acteurs avec quelques absents et le film se paye ici en plus Ron Perlman (qui n'était cependant à l'époque qu'au début de sa carrière) et Christopher Lee qui jouent assez bien. "Police Academy 7 : Mission à Moscou" n'est pas le plus mauvais de la saga mais ne restera certainement pas marqué dans les annales.
Dernier épisode à ce jour de la saga Police Academy, Mission à Moscou s'avère être le seul qui engagea des stars pour accompagner nos chers policiers (Ron Perlman, Claire Forlani, Christoper Lee), sans doute pour compenser de l'absence de Bubba Smith et de Marion Ramsey, présents pourtant depuis le début de l'aventure. Ainsi, c'est avec une certaine nostalgie qu'il faut suivre ces dernières aventures, pour l'absence de certains comme dit précédemment, et pour le fait qu'il s'agisse du dernier film de la franchise. Toutefois, le mauvais côté parvient non sans mal à nous refroidir, car une fois de plus, les gags sont mauvais et le jeu d'acteur catastrophique. On est à des années-lumières des premiers opus, personne ne pourra le contredire. Pour résumer, c'est un épisode qui clôt assez mal cette aventure de 7 films, seuls les quatre premiers restent savourables, les suites n'étant que des pâles copies qui perdent toute leur essence.
De grands absents et des nouveaux pour ce dernier épisode de la saga des farfelus policiers académiciens avec un peu d’attente à l’accueil pour du renseignement comparé aux précédents années. Les personnages ont beaucoup évolués, de bonne facture et une comédie sérieuse tout en gardant ces recettes qui font son succès. Pas de dépôt de plainte mais une doléance d’intrigue venant de l’homologue policier russe post-soviétique, les élèves de l’académie américaine aux notes d’appréciations passables. Ils n’ont de compte à rendre à d’autre police perfectionniste névrosée caché derrière le code d’honneur en papier, apportant leur soutien pour rechercher « Hellboy », un rôle d’avant en chef mafieux profiteur de l’échec de la pérestroïka et de l’effondrement de l’URSS, la raison du délai dans la file comptoir cinéma. Sa main mise terrorise le monde du jeux vidéo, la décennie 80 florissante sur le marché du trafic d’arcade et plate-forme 2D finit par être achevée, la levée de l’embargo de gameboy contrefait, beaucoup de vilain délit délirant, ça fait sortir des sourires. Des superbes scènes à découvrir sur la culture russe, ce n’est pas seulement l’addiction à la vodka, la nostalgie bolchevique, une fierté nationale et le bel uniforme pour ce métier assurant la sécurité des ces concitoyens. Le spectacle du cirque centenaire avec ces réputés fantastiques gymnastes à l’œuvre d’un exercice complexe, le triple salto funambule sous un tonnerre d’applaudissements, l’imperfection touche ce qui rend humain dans l’humour, tout les corps de métier sont touchés. C’est le pays de l’opéra, du ballet et de la célèbre grande musique classique, des airs et hymnes diffusés, une inspiration culturelle. Les artistes cavaliers Cosaques font leurs acrobaties pour le restant des acteurs qui ont pu participer à cette conclusion formidable, le baiser immortalisé de dirigeant soviétique, une coutume locale sans ambiguïté et apriori. Les premiers de la classe de l’ecole de police ne veut dire systématiquement qu’après sortie directe de la machine à fabriquer du formatage en bons agents transformés, un ordre reçu hiérarchique sinon, ce sera le bâton télescopique du sanctionné. Les comédiens cancres réussissent mieux grâce à leurs imaginations prolifiques, un gage de divertissement, il n’y a pas d’inconvénient à voir une nouvelle approche en stand-by pour d’autre « Police Academy » suivant.