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landofshit0
274 abonnés
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2,5
Publiée le 2 juin 2008
Le thème de la 36eme chambre et repris dans ce film,qui n'est pas une suite puisque gordon liu ne joue pas le role de San te mais celui du novice en kung-fu,venu a shaolin après avoir vu ses amis et sa famille se faire exploiter et tyranniser par une bande a la charge du patron de la teinturerie pour laquelle ils travaillent.Le film reste plaisant a regarder mais est loin d'etre captivant et bien loin d'etre au niveau du premier,car le scénario est bien trop faiblard tout est basé sur un humour beaucoup trop niais.Il ne se passe pas grand chose pendant toute la période d'initiation au kung-fu a shaolin.Il en reste un combat final d'une grande inventivité et très bien composé.A voir uniquement pour la technique le l'échafaudage contre celle du banc.
Après un premier opus on ne peut plus sérieux, voici venu ce "Retour à la 36ème chambre" qui se veut être bien plus comique que son prédécesseur. Car, pendant près d’une heure trente, nous avons le droit à des séquences bien cocasses et à un Gordon Liu bien déjanté et qui se débrouille fort bien dans un rôle à contre-emploi. On a donc affaire à une suite bien différente du premier opus, mais cela ne l’empêche pas d’être attachante grâce à son ton léger et divertissant. Reste, que les vingt dernières minutes sont quand même plus sérieuses et que l’on a l’occasion de visionner des séquences de combats assez réjouissantes – notamment celles se déroulant sur des échafaudages. Bref, on passe un moment tout à fait fun et recommandable devant cette production de la Shaw Brothers.
Cette suite de La 36ème chambre de Shaolin est peut-être moins bonne mais pas mauvaise d'ailleurs en le revoyant j'ai y pris davantage de plaisir. Gordon Liu ne reprend pas son rôle mais c'est surtout l'arrivée d'un ton humoristique qui n'était pas présent dans le 1er qui peut gêner (je ne sais pas si le cas pour l'ensemble de l'Asie mais l'humour y est un peu enfantin) sinon l'histoire reprend le thèmes des Chinois persécutés par les Mandchous ce qui va forcer l'un d'eux à entrer au monastère Shaolin pour apprendre le kung-fu. Moins de violence que dans d'autres films de la Shaw brothers (aucun mort à déplorer) et moins d'effets sanglants mais les combats sont toujours impressionnants surtout le final qui est vraiment le clou de Retour à la 36ème Chambre avec toujours un Gordon Liu impressionnant.
Surprenant ce choix de réaliser une "suite" qui n'en est pas une, de changer l'identité de son personnage principal et d'opter pour la comédie burlesque. Encore plus surprenant de voir que ça marche!!! C'est très marrant, très agréable à regarder et interprété de manière fort convaincante par un Gordon Liu aux multiples facettes. Un bon moment pour un "FILM CHINOIS DE 1980" qui s'assume entièrement!!!
Ce retour à la 36ème chambre est assez poussif. On regrette tout d'abord qu'il ne s'inscrive pas dans la continuité du volet précédent. Gordon Liu revient mais dans la peau d'un autre personnage, Jen-Chieh, un jeune imposteur se faisant passer pour un moine Shaolin jusqu'à ce que, supercherie découverte, il se fasse allègrement martyrisé par l'envahisseur Mandchou. Liu Cha-Lang joue ici beaucoup plus sur la carte de l'humour et ce n'est pas toujours très fin. Les 45 premières minutes voient un cabotinage assez agaçant du maladroit personnage de Gordon Liu. Le film se rattrape plutôt bien dans sa seconde partie contenant la fameuse « technique de l'échafaudage » puis un combat final de haute qualité (avec la « technique du banc » et celle des « bâtons Mandchous »). Toujours un brin manichéen mais bien chorégraphié et spectaculaire dans les scènes entraînement/combats, vous aurez compris que cette (pseudo) suite est loin du 1er opus mythique et évite de peu le naufrage grâce à une seconde partie plus remuante.
Un classique du film d'art martial, avec un Gordon Liu au meilleur de sa forme. Retour à la 36e chambre est l'un des précurseurs en la matiere (1980, tout de meme), et également l'un des meilleurs opus auquel l'acteur ait participé, meme si le genre a assez mal vieilli et parait bien kitch aujourd'hui.
Un peu plus accès sur la comédie, j’ai trouvé ce « retour à la 36eme chambre » un peu poussif au démarrage, du fait que je suis resté totalement hermétique à son humour. Il n’empêche une fois que le personnage principal entre dans le fameux temple et développe son « Kung-fu échafaudage » le film démarre franchement et c’est un vrai régal. Je me suis éclaté à voir les prouesses physiques de Gordon Liu et le combat final vaut largement d’avoir patienté jusque là. C’est moins bon formellement que le premier mais c’est tout de même un super moment.
Second de la trilogie, ce mélange des genres est certes original (notamment la technique prenant source dans la maîtrise de l'échafaudage) avec de bonnes chorographies assez bien filmées mais l’exagération comique et les décors en carton pâte finissent par lasser tout comme le scénario basique.
Dans la suite de son célèbre chef d’œuvre, Liu Chia-Liang change sa façon d’aborder le récit d’un apprenti moine shaolin. Si celui-ci est toujours incarné par Gordon Liu, dont le rôle précédent est ici repris par un autre acteur, il met bien plus l’accent sur l’aspect comique, au point d’en faire une sorte de précurseur à Jackie Chan, plutôt que sur le drame historique (ici les mandchous ne sont plus des occupants tyranniques mais des patrons malhonnêtes) et sur les chorégraphies. Bien sûr, les scènes de combats restent impressionnantes mais elles sont moins nombreuses et ne se font qu’à mains nues. Quoiqu’il en soit, il s’agit là d’une autre perle rare que seule la Shaw Brother pouvait nous procurer.
Le retour dans cette fameuse chambre se fait en fanfare. Les ouvriers se rebellent face à leurs méchants patrons (on dirait le scénario d'un film de propagande, mais bon peu importe). Les ouvriers opprimés vont envoyer un allié s'entraîner. Il est aisé de se douter où il va se rendre... La bonne idée du film est de se démarquer de son illustre prédecesseur par son ton comique (un peu lourdingue parfois), et son côté radicalement tourné vers l'action. Là encore, les chorégraphies sont magistrales, et l'extraordinaire scène finale, qui est assez longue (pour notre plus grand bonheur), est époustouflante.
Cette fausse suite du classique "la 36éme chambre de shaolin" reprend à peu près la même trame sauf qu'ici un travail d'échaffaudage remplace l'entraînement dans les chambres. La présence de Gordon Liu apporte toujours, les décors et le rythme permettent également de faire de ce film une pièce importante du genre kung fu.
une suite totalement différente qui met en avant un entrainement au kung fu via un échafaudage se référant plus à une pseudo comédie qu'à un vrai film d'action. gordon liu change de rôle devenant comme toujours l'espoir de tout un groupe d'employers au prise avec un patron pas très commode. en redevenant un disciple en partie rejeté par le monastère shaolin, il apprend le combat en observant les vrai disciples sur son échafaudage. on passe un bon moment mais il ne surpasse en aucun cas le premier film.