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    A Dirty Shame
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    1,7
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    62 critiques spectateurs

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    foxart
    foxart

    96 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2009
    Un John Waters aussi épatant que réjouissant !

    A dirty shame , dans la plus pure tradition "watersienne" est grossier, jouisseur, provocateur, hilarant, d'une éclatante et naïve vulgarité assumée...

    Une tranquille mère de famille très coincée du cul (Tracey Ullman, hilarante comme d'hab') à la suite d'un coup sur la tête devient une nymphomane obsédée du cunilingus... Elle rencontre le Messie-gourou du sexe (Johnny Knoxville, oui oui, celui de Jackass) qui fomente la worldsexrevolution... Pendant ce temps, heureusement, la résistance de l'Amérique puritaine s'organise pour lutter contre le mal qui ronge le pays. Qui gagnera le combat...connaissant John Waters, d'après vous ?

    Lesbiennes enragées, scato blagueur, ours très bien léchés, masturbatrice frénétique, poupée surgonflée, échangistes prosélytes, écureuils partouzards, gros bébé-pervers pépère, hétéros, homos, bi, ou autres, ici c'est la joyeuse partouze intersidérale, la décomplexée grande fête du cul et c'est un régal !
    Waters balance sa grande tarte au sperme à la gueule de l'Amérique bien pensante avec une joie de vivre et de baiser si communicative qu'on ne peut qu'adhérer à cette nouvelle secte des pervers en tous genres et adorateur du cul, de la bite, du vagin, du clitoris et de tous les trous et perversions imaginables...
    A moins évidemment de faire partie d'une autre secte : celle des coincés de tous les orifices !
    Personnellement je me suis tordu de rire devant les excès et les provocations en tous genres du film !
    On peut regretter évidemment que Divine ne soit plus là pour interpréter le rôle de la nymphomane clitoridienne mais Tracey Ullman semble tant s'amuser dans le rôle que très vite on ne voit plus qu'elle... On se demande comment le beau Chris Isaac parvient même à garder son sérieux... Selma Blair en Lolo Ferrari étonne et Johnny Knoxville est une bombe atomique !
    Waters renoue, en grande forme, avec une comédie trash anti-Tartuffes salvatrice en ces temps de retour à l'ordre
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 139 abonnés 7 481 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    John Waters nous réserve encore quelques surprises sulfureuses avec A Dirty Shame. Le réalisateur le plus déjanté d’Hollywood nous avez déjà étonné avec des films comme Polyester (1987) & Serial Mother (1994). Cette fois-ci, il s’agit d’une comédie mêlant humour noir et sexe.
    Suite à un accident, une femme bien sous tout rapport va se métamorphoser en déesse du sexe et ce, grâce aux pouvoirs de Ray-Ray, un gourou du sexe qui lui informe qu’elle a été envoyée du ciel et à pour mission de renforcer le pouvoir du sexe sur les habitants de la petite ville de Baltimore.
    Une comédie décalée, totalement barge, et résolument déconseillée au moins de 12 ans. Un film surprenant, avec des acteurs déchaînés, Tracey Ullman (la déesse du sexe), Johnny Knoxville (le gourou) & Selma Blair (la danseuse exotique dotée d’une poitrine monstrueusement gigantesque).
    A Dirty Shame est résolument une formidable comédie, qui vous plonge dans l’univers du sexe, pour un public avertis.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 décembre 2019
    On retrouve l'ambiance un rien fofolle des films de Russ Meyer, en plus visuel mais en moins explicite.
    Un film rythmé, intelligent, plein d'auto-dérision, bourré de petites trouvailles salaces, un film thérapeuthique pour retrouver la joie de vivre !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 juin 2007
    Très bon film qui nous change de l'habitude. Le début annonce quelquechose de super intéressant, pour effectivement se cantonner au final à la comédie. C'est quelquepart dommage car avec de la profondeur dans le scénario, et en gardant l'esprit déjanté des scènes, du jeu des acteurs et du montage psychédélique, nous aurions eu un chef-d'oeuvre cinématographique! A dirty shame reste une comédie à prendre au 11 000ème degré, et fait passer une bonne soirée à quiconque n'est pas hermétique à ce genre d'humour.
    bsalvert
    bsalvert

    402 abonnés 3 574 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juillet 2018
    Un film qu'on qualifierait de vulgaire si ce n'était John Waters le réalisateur, du coup il est provocateur mais n'en reste pas moins peu subtil.
    PLV : à réserver aux fans de John Waters
    Carne
    Carne

    78 abonnés 1 116 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le génie de John Waters transfuge chacune des secondes de A Dirty Shame, le dernier film en date du pape du trash.
    A l'aide d'un humour crasseux et vulgaire, John Waters taille comme il se doit l'Amérique puritaine grâce à des "apôtres du sexe" envoyés par Dieu. Certes c'est anticlérical et les conservateurs en prennent plein la gueule (à juste tite), mais putain qu'est-ce que c'est bon...
    Un univers à la Russ Meyer auquel vous pouvez ajouter des animaux et des arbres qui baisent ainsi que des acteurs excellents tels que Johnny Knoxville, Tracey Ullman, Chris Isaak et Selma Blair qui ne pensent qu'au sexe et vous obtiendrez A Dirty Shame.
    Si vous êtes coincés, que vous n'aimez pas le second degré et qu'une caricature de l'Amérique vous est incompréhensible, alors passez votre chemin sinon... foncez !!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 novembre 2008
    Pas à mettre dans toutes les mains, A DIRTY SHAME se veut contre l'hypocrisie qui règne autour de la sexualité et des tabous qu'elle entraîne. Cul et cru, le film n'en loupe pas une pour nous entraîner dans un monde empreint dans la décadence, dans la liberté des moeurs. Souvent très drôle, le dernier né de John Waters regorge de pépites avec des dialogues savoureux et des acteurs prêts à tout. Pas très fin parfois (les sexes qui parlent, on a vu mieux), A DIRTY SHAME ne laissera pas une grande trace dans le milieu du cinéma mais avec un thème pareil, on avait jamais vu ça depuis... les pornos!
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    349 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juillet 2014
    Une comédie loufoque basée sur le sexe, le sexe, et encore le sexe. Rien de surprenant à un tel scénario aussi abyssal de débilité, les américains sont d'ailleurs très doués pour cela. Mais ici, la réalisation est trop mauvaise pour captiver le spectateur par sa bassesse. Johnny Knoxville, sexe, décadence, nullité; tout s'explique! 1,5/5
    thewall
    thewall

    13 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Saluons le grand retour de John Waters avec un film trash tel qu'il sait si bien les faire. Ici, pas l'ombre d'un doute, le cinéaste laisse libre cours à son mauvais goût le plus total. Prenant appui sur une histoire très proche de celle du "Frissons" de Cronenberg (la propagation d'un virus qui déchaîne les pulsions sexuelles de ses victimes), le cinéaste ne se donne aucun interdit et nous pond un sommet de vulgarité hilarante. C'est bien simple, aucune phrase n'est "normale", pour le plus grand plaisir des amateurs de film bis. Les acteurs s'en donnent à coeur joie et sont excellents dans le registre outrancier. L'ensemble est donc à mourir de rire, pour toute personne ayant le bon goût d'aimer le plus total mauvais goût. On imagine déjà d'ici les bonnes mères de famille scandalisées par la teneur de ce petit bijou qui ne dépasse jamais le niveau de la braguette. Le cinéaste a monté son film (enfin façon de parler) comme s'il s'agissait d'un acte sexuel avec un véritable crescendo dans le n'importe quoi, avant de finir dans un ultime jet de sperme jeté à la face des spectateurs. Le cinéaste n'hésite pas à chier (littéralement dans le film) sur une certaine Amérique croyante et puritaine détestable. On s'associe à John Waters pour tirer la chasse.
    Nath D
    Nath D

    41 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Comme son nom l’indique, ce film est une sale honte. Sale parce que voir des humains s’extasier en essayant d’éprouver du plaisir par des délires scatophiles ou encore voir monsieur knoxville (Jackass) se transformer en phallus vivant au sens propre et au figuré, ne fait plus rire que les attardés qui s’extasient devant des comédies grasses et stupide. Ce film se voulait la satire d’une Amérique puritaine confronté au libérés sexuels, seulement voila un bon début et puis le néant total, prenez un shaker et prenez tout ce qu’il y a de plus déplaisant et ridicule dans les films débiles et vous obtenez une sale honte … !! Et pour ceux qui ont mis 4 étoiles … je suis perplexe, est ce que la beauté de ce film m’a échappée, peut être étais je trop occupé à regarder david hasselhof dans son avion à faire sa commission qui percutera chris Isaac et causera sa perte… Waow autant pour moi dans ces cas là. Je lui accorde ce point voici la fin la plus écoeurante et poisseuse que j’ai jamais vu !!…et bon sang qu’est ce que chris Isaac fait dans ce film ??? Passez votre chemin, d’une nullité complète !!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 janvier 2013
    Je viens de voir : A Dirty Veerapen Shane

    Bon, je vais pas vous dire que j'aime les films foutage de gueule car vous le savez. Nous sommes devant le FIRST du genre.

    J'ai aimé et si vous savez que Johnny Knoxville (Jackass) est dedans cela veut dire beaucoup...
    robert_ginty
    robert_ginty

    12 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Même si ce n'est pas un grand John Waters et que non, ce n'est pas un retour aux sources trash des 70's, A dirty shame reste une oasis de fraîcheur dans le désert de la comédie américaine formatée jusqu'à l'écoeurement. Plus bordélique que les précédents du Prince du Dégueulis, c'est une charmante version sexe de Cecil B. Demented qui marque le retour des attitudes outrancières qui furent la marque de fabrique de Divine (les acteurs en font vraiment des tonnes, Tracey Ullman en tête, ce qui sied parfaitement au ton du film). Waters nous présente avec une certaine tendresse toute une galerie de perversions sur une trame prétexte, ce qui est la limite du film : on s'aperçoit vite que le film dépassera rarement le cadre d'un catalogue de déviances, en sachant qu'en matière de mauvais goût, le réalisateur ne pourra pas atteindre les sommets de Pink flamingos ou Desperate living. Une fois le deuil du chef d'oeuvre attendu fait, on passe tout de même un très joyeux moment en retrouvant le sens des dialogues et les acteurs habituels de Waters qui, même s'il s'est assagi, reste un auteur particulièrement attachant.
    Ismail33
    Ismail33

    14 abonnés 622 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 novembre 2007
    Si ce film a voulu être dans les films des plus nuls de l'histoire de la comédie, ben c'est réussi. Les acteurs ne valent pas un sous, c’est sensé donner des courts de Sexe en tout genre passant par la comédie, avec un scénario et un humour catastrophique. La chose à retenir de ce film, c'est le passage des écureuils.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Voilà un film américain tel que je les adore ! Encore meilleur que le déjà désopilant TEAM AMERICA,POLICE DU MONDE !!! Mais attention ! Cette histoire n'est pas à la portée des premières oreilles chastes venues car question vulgarités et langage chatié, c'est du lourd...C'est de l'hénaurme même !!! A bien des égards, ce long métrage sort de " l' Ordinaire " et c'est cela qui est vraiment jouissif !!! Pauvre de moi, me voilà devenu un John Waters 's movie of sex addict ! Je n'en éprouve ni gêne ni vergogne car cela serait une véritable Dirty Shame de se priver de la vision de toutes cette bande de débauchés et maniaques sexuels à la tronche si perverse...Finalement, ce sont eux qui ont raison et comme ces derniers, j'ai, moi aussi, envie de crier : Let's go sexin'!!!
    Estonius
    Estonius

    3 286 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2017
    Il a des films comme ça qui ne sont pas des grands films, qui sont pas trop bien foutu, mais qu'on ne peut s'empêcher de trouver sympa, tellement ils bousculent le politiquement correct. La direction d'acteur y est excellente et c'est un plaisir de voir évoluer Tracey Ulmann en nymphomane déchaînée ou Selma Blair en strip-teaseuse hyper mamelue. Ça ne convaincra personne, ça ne décoincera pas les coincés, le film ne porte aucun message, il est volontairement provocateur, parfois ça fait du bien
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