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dug99
33 abonnés
91 critiques
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5,0
Publiée le 6 décembre 2010
On touche au sublime, et le mot est faible. Voila un film qui a réussi à me scotché un sourire ravis sur le visage pendant de nombreuses heures, c'est un peu comme quant on va au cirque pour la premiére fois à l'occasion de l'anniversaire de ses cinq ans. Je suis resté stupefait, réussir à faire plus kitch que street fighter avec jean claude en 2004 il faut quand même être très fort. Milla jovovitch dans un production plus ridicule que resident evil rien que ça ça vaut le détour. Bon aprés c'est un film à voir une seule fois entre pote avec beaucoup de biére et surtout au 50ieme degré parce que avouons le : c'est vraiment de la merde. J'ai même vomis pendant cette soirée aprés je suis pas totalement sur que ce soit la faute du film mais quand même.
Dans la lignée dAeon Flux (2006) pour son côté futuriste et Underworld (2003) pour le côté vampire et guerre entre deux clans. Ultraviolet est le genre de film quil aurait mieux valut ne jamais réaliser ! Un pseudo thriller futuriste accompagné par des effets-spéciaux et une pléiade dacteurs tous très mauvais les uns que les autres. Des décors complètement ratés et une B.O totalement inappropriée. Des les premières minutes, on sait à quel genre de films on doit sattendre, une vision ultra-futuriste remaniée comme un manga. Au final, pas de réel surprise, le mélange ne prend pas et aurait plutôt tendance à faire sourire plutôt quautre chose !
Ultraviolet est un film qui bénéficie d’une très mauvaise critique. C’est vrai que ce n’est pas un bon film, mais dans le genre gros navet qui tache il y a eu pire. Coté acteur je note une Milla Jovovich toujours très charismatique et portant bien des rôles musclés. Son jeu n’est certes pas ici des plus géniaux, n’ayant pas forcément grand-chose à faire non plus à l’exception d’une ou deux scènes, mais elle impose une belle présence et elle colle au rôle sans difficulté. Autour d’elle évoluent des acteurs en revanche plutôt moyens mais n’ayant surtout rien à faire les pauvres. Entre un Cameron Bright qui joue un gamin quasi-muet et ayant toujours l’air béta et un Nick Chinlund qui doit supporter un rôle archi-caricatural et ultra-creux, on ne pourra pas franchement s’enthousiasmer. Le scénario est surtout très vide. Le problème est multiple : le film est court, du coup l’environnement de SF est plus qu’esquissé et ne sert que de décor de fond ; le rythme est certes trépidant, mais au détriment de l’approfondissement et du développement de certains aspects scénaristiques, ce qui crée rapidement des trous très gênant ; l’histoire est tout de même très bateau et ressemble beaucoup trop à du sous-Equilibrium du même réalisateur. Au final l’impression d’une histoire expédiée sur fond de combats et de scènes d’action interminable est bien réelle. Techniquement on ne peut pas nier à Ultraviolet une esthétique qui lui est propre. La mise en scène de Wimmer est solide, et tient particulièrement la route lors des scènes de combat. Bien lisible, claires, filmées avec talent, elles se rapprochent beaucoup de celles d’Equilibrium pour lequel c’était déjà un des aspects forts. Coté photographie le film est très lumineux et ultra-saturé en terme de couleurs. On est dans une sorte de film electro qui pourra piquer les yeux de certains. Pour ma part j’ai trouvé que pour une fois c’était plutôt bien fait. Le film assume cette esthétique jusqu’au bout, et même s’il l’utilise souvent de manière futile (changement de costumes du personnage ou de couleurs de cheveux), on sent qu’il y a une démarche artistique et que ce n’est pas juste pour faire « djeuns » et dans le vent. Les décors sont du même acabit, avec certes d’un coté des architectures audacieuses et une dimension futuriste bien faite, mais d’un autre coté des incrustations numériques immondes. D’ailleurs les effets numériques du film sont immondes ! Le summum est atteint lors d’une course poursuite en moto dont on se serait aisément passé tant elle est pitoyablement réalisées à coup d’effets spéciaux indigents. Certes le budget était peut-être un peu court pour ce genre de production, mais là il ne faut pas pousser quand même. Enfin la bande son est très sage, ce qui surprend. Malgré son esthétique criarde et son style nerveux la musique est très discrète ce qui est tout de même un poil frustrant. En conclusion Ultraviolet est un film de SF dispensable, et il vaut mieux privilégier Equilibrium du même Kurt Wimmer à cet Ultraviolet s’il convenait de choisir un film. C’est exactement la même chose, sauf que là c’est une héroïne et dans Equilibrium c’est un héros. Si le style du film pourra séduire un certain public (mais je doute que ce sera le cas de la majorité), le métrage est tout de même très mal scénarisé, et les personnages sont beaucoup trop vide de substance pour accrocher. L’impression d’un long clip pour un groupe électro est sensible. Si l’on ajoute d’autres ratés comme les effets spéciaux, les points positifs sont faibles. Heureusement qu’il y a une Milla Jovovich qui assure. Le réalisateur devait d’ailleurs se douter qu’il s’agissait là de son meilleur atout, et l’actrice multiplie les tenues moulantes, les déhanchés et les poses sexy pour peut-être faire passer l’ensemble peu digeste.
Bonne surprise. Le film démarre comme un jeu vidéo donc saoulant... mais très vite il nous emmène dans son univers. Milla Jovovich est comme talentueuse et superbe. Un moment agréable de passé...
Un film de science-fiction qui mise tout sur l'action et les effets spéciaux, au détriment d'une histoire originale et de personnages développés. Mais même ceci ne devrait séduire que les spectateurs vraiment indulgents ou ceux qui découvrent le cinéma pour la première fois.
Durant tout le film m'a seul préoccupation était de penser à envoyer un panier garni à Mila Jovovich histoire qu'elle reprenne un peu du poids. L'histoire ne m'a pas passioné, mais je met une étoile parce que les combats sont parfois potables.
Film naze, scénario naze, jeu d'acteurs, naze, effets spéciaux nazes, c'est du tout naze !
J'ai du mal à voir où certains qui ont mis 4 étoiles peuvent voir dans l'explosion finale une scène tellement hallucinante qu'ils ont revu le film trois fois rien que pour la revoir. Mon avis sur cette scène est que les effets spéciaux sont dignes des jeux que j'avais sur mon très vieil Atari 520 STe (paix à son âme), il y a presque 20 ans de cela !
Alors que son plagiat officieux de 1984 (le très bon Equilibrium) était esthétiquement irréprochable et avait une histoire ainsi qu'une interprétation haut de gamme, le réalisateur Kurt Wimmer met en scène trois ans plus tard Ultraviolet, même type de film d'action futuriste qui demeure quant à lui une grosse déception. Attendu depuis longtemps, le long-métrage n''est finalement qu'un navet au scénario simpliste et sans surprise. L'action est lourdingue, puant la chorégraphie à plein nez et on sombre parfois dans le ridicule comme lorsque les méchants prennent des poses grotesques à la Power Rangers. Outre le scénario mal écrit qui ne met ni en valeur le thème du vampire ni cette pseudo-guerre entre humains et hémophages, on remarquera aisément des dialogues aberrants du style “Je suis autorisé à vous mettre au courant parce que votre connaissance de la gravité de la situation fait augmenter votre détermination.” : vous voilà fixés. De plus, un air de déjà-vu demeure omniprésent et ni Milla Jovovich en valkyrie futuriste ni Cameron Bright en antidote de mutants ne viendront me contredire. Pour couronner le tout, les effets visuels médiocres ne sauvent le film bourré d'incohérences (Violet et Six, poursuivis par près de mille hommes, font quand même du tourniquet dans un parc) et d'une réalisation plutôt laborieuse faite de mauvais flash-backs racontant les origines, d'incrustation numérique ratée et d'une direction d'acteur inexistante. L'anecdote veut que Wimmer n'est pas eu le final cut de son film, les producteurs ayant largement surdécoupé le long-métrage pour moins de cohérence et plus d'action ; il n'empêche que le résultat final est d'une piètre réussite. Restent quelques trouvailles assez sympathiques comme l'inverseur de gravité, les armes qui se matérialisent ou encore les téléphones portables en kit... Bref, un nanar nouvelle génération qui prend le spectateur pour un demeuré ? Non merci.
Trop d'effets spéciaux, une histoire trop recherchée; en fait il y a trop de tout, mais il se laisse regarder car ça va très vite et on a pas le temps de s'ennuyer. Le film laisse un gout amer à la fin comme s'il était pas fini.