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    Rue Cases-Nègres
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    3,9
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    22 critiques spectateurs

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    Napoléon
    Napoléon

    142 abonnés 1 565 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2016
    Un film dur qui reconstitue très bien les conditions de l'époque, et qui possède un regard très lucide, dénonciateur et critique sur une société post décolonisation qui n'a en fait que très peu changée depuis l'abolition de l'esclavage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 janvier 2012
    Dommage que ce film ne soit pas connus par ce que vraiment cette une histoire très attachante qui nos conduit dans une région pauvre ou un petit garçon très intelligent peut réussir à l'école mais sa grand-mère n'a pas les moyens mais néanmoins elle se sacrifie pour qu'il réussi la fin m'a donner des larmes un très bon film !!
    Real C
    Real C

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Etant originaire des Antilles, je ne suis pas passé à coté de ce film largement méconnu ici. Néanmoins il gagne à être connu. Il s'agit de l'autobiographie d'un auteur (Joseph Zobel) assez connu là bas, qui nous livre une fresque sans concession de la Martinique du début du 20e. A voir au moins une fois dans sa vie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 juillet 2010
    Un véritable chef d'œuvre relatant les conditions de vie en Martinique et les rapports entre les noirs et les blancs pendant les années 1930. Joué avec brio, particulièrement Médouze, M’man Tine et Jose qui nous font vivre leur histoire à travers un film parfaitement tourné comme quand il joue sur les lumières frisantes dans de nombreuses scènes, ainsi de nombreux passages sont très picturales donnant à cette merveille un aspect très esthétique.
    Eric A.
    Eric A.

    10 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2010
    Très émouvant. Un film qui m'a aidé à comprendre les relations entre les noirs et les blancs dans les Antilles. Ou l'on constate que l'esclavage, en principe aboli, existe en fait toujours sous une autre forme. Et puis le jeune héros du film joue magnifiquement. Recommandé.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 335 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    Je veux bien laisser le bénéfice de l’honnêteté à Euzhan Palcy mais, mis-à-part cela – et désolé d’être aussi violent dans mes propos - on est au niveau zéro du cinéma. On a ici clairement affaire à quelqu’un qui pense que le cinéma ce n’est que de la mise en images. Elle a aimé le roman, elle décide donc de poser une caméra sur un trépied et de demander à des gamins pris à l’arrache de jouer. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’un film scolaire serait encore meilleur, mais franchement, on n’en est pas loin. C’est lent, c’est plat, c’est linéaire. Je n’ai vraiment rien contre Euzhan Palcy où son casting, mais moi, des films tournés à deux doigts de l’amateurisme comme ça, ça m’ennuie juste profondément. Le sujet ne fait pas la qualité du film et ce « Rue cases Nègres » me l’a encore prouvé, à mes dépends…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 novembre 2012
    Très grand film un peu méconnu sur les Antilles des années et le combat pour l'instruction. A voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mars 2010
    Tout simplement le fleuron du cinéma antillais.
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    56 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2013
    Voilà ce que j’appelle un coup d’essai gagnant. Pourtant c’était perdu d’avance. Il y avait une accumulation de difficultés ; sujet très difficile à traiter au cinéma, un terrain vierge, (le désert cinématographique antillais), un roman pas facile à transposer…Roman interdit à l’époque, qui devient à l’écran une chronique de la vie rurale antillaise début du siècle dernier. Et le tableau n’a rien d’une carte postale. Descendants d’esclaves exploités, exploiteurs qui détiennent les clés et l’argent, exploités qui s’entraident ou s’exploitent eux-mêmes à défaut d’autre chose, administration complice, c’est le côté pile. Une grand-mère courage, un grand-père de substitution, (l’Afrique mythique), enfin et surtout, le regard et l’insouciance des enfants, (heureusement), ça c’est le côté face. Palcy n’attend pas de ces enfants un jeu d’acteur à la rigueur Shakespearienne. Ils sont eux-mêmes, et vivent dans le film, vivent le film; ça devient criant de vérité, et c’est beau à regarder. Ce qui aurait dû être misérabiliste et pathétique, le talent de Palcy le transforme toute cette horreur en hymne d’espoir. La mise en scène déborde d’intelligence et de sensibilité. Elle adoucit sa palette de couleurs, et suggère la violence qui est pourtant présente à tous les instants. Ceux qui rêvent leur vie, plutôt que de vivre, celle qui rêve d’épouser un blanc pour que ses enfants aient « la peau sauvée », comme on disait chez nous à l’époque. Une vraie cartographie de la psyché antillaise d’époque et qui a laissée des traces. Chef d’œuvre mémoriel d’époque à conserver pour toutes les époques.
    Pour toutes les rues Case nègres du monde, dira l’auteur.
    Sylvain P
    Sylvain P

    338 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2010
    Immersion dans la Martinique des années 30 ,Rue Cases Nègres est un très beau film initiatique, un peu lent mais véritablement passionnant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2011
    Film très émouvant et très beau à voir.J'ai verser une petite larme à la fin
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 mars 2013
    La Rue Case-Negres réussit à raconter une histoire plus grande que celle d’un jeune garçon. Plus de tout autre, nous voyons la vie communale de ces gens. Le film utilise l’histoire de José pour encapsuler comment était l’expérience de vivre et être noir en Martinique dans les 1930s.
    Le film raconte l’histoire d’un garçon, Jose, il a l’opportunité de faire un examen pour une bourse pour aller à une école meilleure. Ce serait une chance d'échapper à la vie autour de lui de travailler dans les champs de canne à sucre. Pour faire cela et pour apprendre les leçons de lui-même, il a besoin de l’aide de toute sa communauté.
    Sans la communauté qu’il avait, la vie de José aurait passé très différemment. Nous pouvons voir cette importance à bien des égards. Par exemple, tous les personnages principaux enseignent quelque chose d’important à Jose. Medouze, son ami qui parle beaucoup d’Afrique, met l’accent sur l’héritage africain et la fierté d’être qui on est. Sans cette leçon, Jose aurait eu plus de difficulté avec le nouvel environnement de l’école. Parce que Medouze lui a donné cette fierté, il est sûr de lui-même quand l'enseignant lui reproche de plagiat. Grace aux leçons de Medouze, il a plus de confiance. La confiance est aussi instillée en lui avec la leçon de Monsieur Roc. C’est lui qui a la confiance d’avoir eu Jose passe l’examen. Sans Monsieur Roc, la vie de Jose aurait été exactement comme les autres dans la rue case-nègres. Jose a eu la chance d’avoir quelqu’un en tant que défenseur.
    Mais, le personnage le plus important est la grand-mère de Jose. Elle montre à lui ce que c’est que le sacrifice. Elle est contente de travailler bien dur seulement pour une chance pour Jose d’avoir sa vie meilleure. Sans tout ce qu’elle a fait pour lui, il serait un travailleur aux champs. Elle a aussi souligné l’importance de l’éducation. Elle n’a pas permet à Jose de travailler dans les champs parce qu’elle avait tant de confiance pour son vie et son capacité et intelligence. Jose est bien fortuné d’avoir sa grand-mère.
    Les histoires des deux autres enfants, Tortilla et Leopold, sont importants à la formation de Jose. Tortilla a des options limitées pour sa vie parce qu’elle est fille. Je pense que parce que Jose a vu comme elle est refusée une opportunité pour l’éducation comme il, il peut apprécier son chance plus. Selon moi, l’histoire de Leopold est plus intéressante que la vie de Jose par sa complexité. Un métis, il a une vie difficile après la morte de son père. Avec lui nous voyons plus les nuances de la relation entre les Blancs et les Noirs. Sa révélation de l'exploitation des travailleurs est très courageuse. Cette incidente révèle aussi combien il veut faire partie d'un groupe. Parce qu'il est métis, il est toujours sans une véritable communauté. Selon moi, son histoire était plus importante à cause de son caractère politique
    À la surface, on peut regarder ce film comme une histoire d’un garçon heureux qui a gagné l’opportunité pour améliorer sa vie et échapper une vie horrible et typique pour les Noirs en Martinique. Mais, plus qu’une histoire axée sur un individu, le film est mérité pour les histoires d'arrière-plan. Ou le film excelle le plus est comme il crée un mural de Martinique. Il serait impossible avoir la scène de ce film mais nulle part ailleurs que Martinique.
    Si vous regardez La Rue Case-Negres et vous vous intéressez seulement à l’histoire de Jose, vous avez fait une erreur. La vie communale est le but de ce film, pas la vie d’un seul garçon. Ce n’est pas la première action de José qui est importante mais le fond qui prouve que ce film est utile pour tous les gens à voir. On peut finir de regarder son film et avoir le sens qu’on comprend mieux les difficultés des gens mal traités par la colonisation. spoiler:
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 avril 2013
    « La Rue cas-negres » était un film fait en 1983 au sujet de la communauté Martinique, au début des années 1930. Le centre du film était sur un jeune garçon qui s’appele Jose et sa grand-mère. Cependant, le film raconte les histoires d'autres personnages dans le petit village. Ces personnages différents ont leurs propres arguments tout en influençant Jose qui a onze ans en son chemin à obtenir une éducation et à échapper à la vie des gisements de canne à sucre. Il y a beaucoup de thèmes importants dans ce film qui devrait être identifié. Ces thèmes sont les choses telles que l'inégalité raciale, l'importance de l'éducation, et l'histoire et les liens de la communauté.
    L'inégalité raciale est montrée par le contraste des membres blancs et noirs de la Martinique dans ce film. Les citoyens blancs dans cette histoire sont les propriétaires fonciers riches qui courent les gisements de canne à sucre. Ils ont un statut social élevé et plus d'occasions de réussir. Les citoyens noirs vivent dans mal remonté le village fait par les hommes blancs. Ils luttent pour survivre sur extrêmement - les faibles salaires qu'ils gagnent. Ils également effectuent le travail éreintant dans les domaines de canne à sucre. Aussi, les enfants noirs ont un moment plus difficile obtenant une éducation et une réussite. On s'attend à ce qu'ils travaillent dans les domaines de canne à sucre à moins qu'ils puissent gagner une bourse pour continuer leurs études.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 février 2010
    on se sent un peu mal à l'aise en regardant ce film ..
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 mars 2010
    long-métrage martiniquais ET français ? je ne savais pas que la martinique n'était plus en France...
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