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Votre avis sur Notre jour viendra ?
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Romain Gavras,fils de son illustre père ,mise sur la controverse en soulignant des images violentes dont les mots accompagnent celles-ci avec forces ...Dénonçant ici l 'intolérance par le biais de deux hommes différents des autres ,unis par le rejet de la société et parcourant la France pour rejoindre une patrie sans étiquettes, ni jugements .. Le cinéaste prend position en faveur des roux il intronise Rémy (Olivier Barthélémy), looser typique ayant toutes les difficultés du monde à se faire respecter, et ce, autant dans la vie de tous les jours que au sein de sa famille .. Ne parvenant jamais à trouver sa place dans cette société, ni dans sa vie sentimentale ,son chemin croisera Patrick ( fabuleux Vincent Cassel), un psychologue blasé, qui s’intéressera subitement au cas "Rémy" et semblera bien déterminé à lui apporter une aide salvatrice ..Mais voilà que Patrick se révèle être un individu extraverti, affichant un goût prononcé pour la provocation doublé d'une violence contenue bien réelle ...Il devient ainsi l 'opposé évident de Rémy ..Les deux protagonistes suivront un périple sans véritable but précis ..avec des impulsions aussi inquiétantes que dangereuses ...La puissance et la liberté offert par Patrick" Vincent Cassel "Alain, feront que le jeune garçon perdra tout repères prêt à défier la folie .
Romain Gavras incisif et provocateur, atteint rapidement le malaise paroxystique dans son exercice cinématographique ,l 'exemple de la scène du café ou celle du bain reste simplement un manifeste des dérives de la société actuelle ... L'oeuvre est admirable dans sa structure car elle ne tente jamais de investir un sens profond en son centre et c’est justement cela qui offre une belle surprise à l 'ensemble ...
L' 'humour désamorce continuellement le récit toujours électrique .. La laideur ambiante porte en elle toutes les images ,rouilles ,manufacture crachant son feu ..climat froid ...etc..
Le monologue de Patrick ,tenant sa cigarette, se sentant loin de tout reste un flamboyant testament sur l'époque ,son époque celle que il ne peut hélas renier .. L' univers filmique du cinéaste reste de une facture visuelle enivrante et au delà de l 'instant partagé entre les deux personnages tout au long de l 'oeuvre c 'est bel et bien l’incroyable performance de Vincent Cassel qui étonne une nouvelle fois .
A noter la superbe partition signée Sébastian et les notes de Sergueï Rachmaninov (prélude en C minor Opus. 3 n° 2 )qui accompagnent ce merveilleux visuel ..
Poignant, fort, rare ...
Romain Gavras incisif et provocateur, atteint rapidement le malaise paroxystique dans son exercice cinématographique ,l 'exemple de la scène du café ou celle du bain reste simplement un manifeste des dérives de la société actuelle ... L'oeuvre est admirable dans sa structure car elle ne tente jamais de investir un sens profond en son centre et c’est justement cela qui offre une belle surprise à l 'ensemble ...
L' 'humour désamorce continuellement le récit toujours électrique .. La laideur ambiante porte en elle toutes les images ,rouilles ,manufacture crachant son feu ..climat froid ...etc..
Le monologue de Patrick ,tenant sa cigarette, se sentant loin de tout reste un flamboyant testament sur l'époque ,son époque celle que il ne peut hélas renier .. L' univers filmique du cinéaste reste de une facture visuelle enivrante et au delà de l 'instant partagé entre les deux personnages tout au long de l 'oeuvre c 'est bel et bien l’incroyable performance de Vincent Cassel qui étonne une nouvelle fois .
A noter la superbe partition signée Sébastian et les notes de Sergueï Rachmaninov (prélude en C minor Opus. 3 n° 2 )qui accompagnent ce merveilleux visuel ..
Poignant, fort, rare ...
C'est affligeant, je me suis forcé à le regarder jusqu'au bout par pure curiosité mais c'était limite de la torture vers la fin! Ce film est d'un non-sens, j'ai rarement vu ça, y'a pas de scénario, c'est complètement incohérent, les dialogues et les comportements des personnages sont consternants. Y'a rien de crédible et le jeu d'acteurs est vraiment mauvais, même Vincent Cassel m'a déçu. 0/20
Mais qu'est ce que Vincent Cassel et Olivier Barthelemy sont allès faire dans cette purge made in France ? "Notre jour viendra" est un film malade et ne ressemble à rien de ce qu'on à l'habitude de voir! Exercice de style ne produisant aucun effets recherchès, dialogues consternants et èlèments racistes, duo d'acteur shootè à la colle (on n'a vraiment peur pour eux dans la destruction de leur personnage), Romain Gavras ne nous èpargne rien! On est en prèsence d'un film difficile, rebutant, consternant, affligeant, avec un metteur en scène qui n'en a cure! Au final, sans saveur ni rèelle structure narrative, ce road-movie laborieux n'est que la partie èmergèe d'un sujet pourtant prometteur! Dans son dèsir de secouer le spectateur, Gavras perd vite la maîtrise de son histoire qui se termine en eau de boudin sur une plage! Voilà donc un prototype d'ovni français, une croisade des roux constamment nulle où l'on se pose de rèelles questions sur la mise en boîte d'une telle oeuvre (il paraît que c'est censè être drôle ?). De plus le jeu des acteurs ôte tout intèrêt à cette chose! Et ce même si Cassel et Barthelemy n'y sont pour rien...
Déjà attendu au tournant alors qu'il n'en est pourtant qu'à son premier long-métrage, le vidéaste co-créateur de la firme "Kourtrajmé" déçoit avec son coup d'essai. Pamphlet à la philosophie misanthrope et insolente, "Notre jour viendra" aurait pu être à ranger sur l'étagère des DVD qui mettent un bon coup de pompe dans les conventions pré-établies. Hormis un bon Vincent Cassel et une mise en scène qui a de la gueule, le parcours initiatique de nos deux rouquins est fortement desservi par un script fade et maigrichon, à l'agressivité tape-à-l'œil qui ne mène pas vraiment à grand chose. Si la forme peut allégrement se défendre, cette complainte adolescente passe ainsi bêtement à côté de son objectif, qui était de déranger, pour au bout du compte nous laisser sur notre faim.
Ma critique complète sur "Notre jour viendra", mais aussi sur beaucoup d'autres films divers et variés, appuyée de photos et d'anecdotes, disponible sur mon blog : http://soldatguignol.blogs.allocine.fr/
Merci !
Ma critique complète sur "Notre jour viendra", mais aussi sur beaucoup d'autres films divers et variés, appuyée de photos et d'anecdotes, disponible sur mon blog : http://soldatguignol.blogs.allocine.fr/
Merci !
Romain Gavras à un vrai talent de réalisateur, Vincent Cassel et Olivier Barthelemy sont tous les deux excellant, et le propos du film est intéressant (deux roux qui se rebellent contre le reste du monde, qu'ils soit pauvres, riches, sdf, handicapés, homosexuels, juifs, arabes, etc...).
Malheureusement, après une heure plutôt intéressante, le film s'embourbe dans son scénario qui semble aller nul part et qui devient de plus en plus absurde. La fin est complètement bâclé et n'a aucun sens. Bref, un film qui aurait pu être un grand film si il n'avait pas été aussi prétentieux.
A voir quand même car ce type de film se fait trop rare dans le cinéma français. Et puis la première heure est plus qu'honorable...
Malheureusement, après une heure plutôt intéressante, le film s'embourbe dans son scénario qui semble aller nul part et qui devient de plus en plus absurde. La fin est complètement bâclé et n'a aucun sens. Bref, un film qui aurait pu être un grand film si il n'avait pas été aussi prétentieux.
A voir quand même car ce type de film se fait trop rare dans le cinéma français. Et puis la première heure est plus qu'honorable...
Romain Gavras, co-fondateur du collectif "Kourtrajmé" avec son ami le très talentueux Kim Chapiron - à qui l'on doit "Sheitan" et l'excellent "Dog Pound" - réalise avec "Notre jour viendra" son premier film - il avait déjà réalisé le très bon "A Cross the Universe" qui retrace la tournée Américaine de "Justice" - et c'est avant tout une très bonne surprise. Sorte de pseudo road-movie très décalé et génialement cynique, "Notre jour viendra" est un film qui ne laissera personne indifférent, une chose est sur : soit on adore, soit on déteste. Bouleversant les codes du banal cinéma Français, bien trop souvent insipide, Gavras impose une patte et un humour subversif très réussi. "Notre jour viendra" comte l'histoire de Patrick et Remy, deux personnages plutôt différents, qui n'ont apparemment aucune raison de se rencontrer, mais ils ont une chose en commun : ils sont roux. Le premier dispose d'une bonne situation : il est psychiatre, mais semble complètement blasé par la vie. Quant à l'autre, c'est un adolescent un peu paumé qui vit une histoire d'amour virtuelle avec un personnage qui se révélera être en fait de sexe masculin, un soir, alors qu'il vient de fuguer après un énième conflit familial, il rencontre Patrick. Les deux hommes vont vivre une épopée à travers la France, se retrouvant un peu l'un dans l'autre, une sorte de lien père-fils va peu à peu se créer. Sous ses airs de comédie patoche, "Notre jour viendra" traite d'un sujet difficile : l'exclusion. Une mise à l'écart dû à la couleur capillaire des deux hommes, qui aura suivi Patrick tout au long de sa vie jusqu'à le rendre lui même très aigri et intolérant. Le film est diaboliquement drôle, le second degré est de mise, les situations sont souvent hilarantes, notamment grâce à un Vincent Cassel tout juste exceptionnel. En bref, Gavras impose son style et son esprit dans un film jouissif, à voir sans hésiter.
Ce film c'est tellement n'importe quoi ! L'histoire n'a ni queue ni tête mais il me fait tellement rire. Il y a vraiment des perles, certaines scènes et plusieurs répliques sont devenus cultes pour moi. Suivre la folie de Vincent Cassel et d'Olivier Barthelemy c'est juste jouissif ! Il y avait vraiment moyen de faire quelque chose de vraiment ouf. Car au final, j'adore beaucoup de scènes mais dans son ensemble je dois admettre que le film est très moyen.
Un adolescent mal dans sa peau, et en proie à des crises de colère, rencontre un psy dépressif et toxique qui s'épanouit dans le chaos qu'il sème. Les 2 compères partent en vadrouille et se tirent mutuellement vers le fond dans une spirale destructrice sans fin.
Le film est aussi insupportable et détestable que ses 2 personnages. On ne comprend à aucun moment ce que Romain Gavras a tenté de dire ou de faire au travers de ce film qui n'adopte aucun point de vue, en plus de dérouler une suite de scènes invraisemblables qui ne sont que des prétexte pour redoubler de violence et d'abjection. Aucun personnage n'est caractérisé, ce qui accentue le côté superficiel et gratuit de "l'œuvre". Un film à fuir absolument.
Le film est aussi insupportable et détestable que ses 2 personnages. On ne comprend à aucun moment ce que Romain Gavras a tenté de dire ou de faire au travers de ce film qui n'adopte aucun point de vue, en plus de dérouler une suite de scènes invraisemblables qui ne sont que des prétexte pour redoubler de violence et d'abjection. Aucun personnage n'est caractérisé, ce qui accentue le côté superficiel et gratuit de "l'œuvre". Un film à fuir absolument.
Romain Gavras, le fils, inutile de préciser qui est le père, signe ici son premier film, un film que j'ai déjà vu il y'a un bon moment maintenant, l'année de sa sortie en faite, 2010, donc y'a 4 ans, et j'ai voulu le revoir, tout simplement car il m'a plu la première fois et que je l'avais un peu oublié, donc me voilà de nouveau face à ce film absolument génial, Gavras traite d'un sujet difficile et bien connu, "l'abomination que sont les roux", quelle blague quand même, les noirs, les roux, les bleus, les roses, sans dec, ce monde est si pourri que ça ? Oui il l'est !
Romain nous fait suivre ici Rémy, un jeune timide rejeté par la société et par sa famille qui n'a comme seul refuge les jeux vidéos, un soir alors qu'il vient de frapper sa mère il est prit en stop par un psy, roux également, qui en a marre de sa vie, ce n'est pas explicitement dit mais ça se voit très clairement, grâce à lui ou à cause de lui le jeune Rémy va franchir la limite et se rebeller contre les autres ainsi que contre la société dont il est victime, ensembles ils vont tenter de fuir vers l’Irlande, terre des roux en quelque sorte, Gavras arrive parfaitement à nous plonger dans cette société anéantie par ces gens aigris, dans ce monde noir, sans cœur et sans vie, sa réalisation qui peut être d'un calme incroyable comme très nerveuse est vraiment fantastique, sa mise en scène est pour un premier film juste et très réussie, faut dire que les deux acteurs principaux ne sont pas des brelles, Vincent Cassel qui est à mon sens un des meilleurs acteurs français est tout simplement bluffant, il arrive à être drôle (oui, drôle, je me rappelais plus que certaines de ses répliques étaient si drôles) comme profondément laminé, la scène où on le découvre pour la premiere fois chauve devant le miroir est juste exceptionnelle, il représente à merveille la haine des peuples humiliés, à ses cotés on retrouve le jeune Olivier Barthelemy avec qui il avait joué dans "Sheitan", le premier rôle d'Olivier dans un long métrage, épatant, y'a rien à dire d'autre, il passe d'un timide lâche à une vraie boule de haine complètement barré, faut dire qu'il y'a de quoi péter un câble quand on est humilié, frappé et autres pendant toute sa vie.
Leur descente aux enfers est fabuleusement passionnante, de plus la bande son nous entraîne dans ce bas monde cruel et sans pitié, vraiment du très très bon boulot, j’espère revoir vite ce Romain Gavras derrière la caméra.
Romain nous fait suivre ici Rémy, un jeune timide rejeté par la société et par sa famille qui n'a comme seul refuge les jeux vidéos, un soir alors qu'il vient de frapper sa mère il est prit en stop par un psy, roux également, qui en a marre de sa vie, ce n'est pas explicitement dit mais ça se voit très clairement, grâce à lui ou à cause de lui le jeune Rémy va franchir la limite et se rebeller contre les autres ainsi que contre la société dont il est victime, ensembles ils vont tenter de fuir vers l’Irlande, terre des roux en quelque sorte, Gavras arrive parfaitement à nous plonger dans cette société anéantie par ces gens aigris, dans ce monde noir, sans cœur et sans vie, sa réalisation qui peut être d'un calme incroyable comme très nerveuse est vraiment fantastique, sa mise en scène est pour un premier film juste et très réussie, faut dire que les deux acteurs principaux ne sont pas des brelles, Vincent Cassel qui est à mon sens un des meilleurs acteurs français est tout simplement bluffant, il arrive à être drôle (oui, drôle, je me rappelais plus que certaines de ses répliques étaient si drôles) comme profondément laminé, la scène où on le découvre pour la premiere fois chauve devant le miroir est juste exceptionnelle, il représente à merveille la haine des peuples humiliés, à ses cotés on retrouve le jeune Olivier Barthelemy avec qui il avait joué dans "Sheitan", le premier rôle d'Olivier dans un long métrage, épatant, y'a rien à dire d'autre, il passe d'un timide lâche à une vraie boule de haine complètement barré, faut dire qu'il y'a de quoi péter un câble quand on est humilié, frappé et autres pendant toute sa vie.
Leur descente aux enfers est fabuleusement passionnante, de plus la bande son nous entraîne dans ce bas monde cruel et sans pitié, vraiment du très très bon boulot, j’espère revoir vite ce Romain Gavras derrière la caméra.
Ce film aurait pu être bien ,dommage qu'a mi-parcour celle devienne du n'importe quoi .Cassel impeccable , mais la révélation du film est certainement Olivier Barthelemy .
Je n'ai rien contre la provoc', bien au contraire (Borat), et j'imaginais que le film de Gavras ne serait, certes, jamais à la hauteur du film de Baron Cohen, mais qu'il serait un road-movie à la méchanceté gratuite salvatrice avec la France moderne engoncée dans ses communautarismes en arrière-plan. Mais pour cela, il aurait fallu un fil conducteur et non pas un enchainement de séquences faussement trash sans lien les unes avec les autres. Gavras a certes le talent de trouver des images fortes, mais n'a pas le pouvoir de les faire tenir sur un long. Déception d'autant plus que la première partie (un peu écrite), et que le duo Cassel-Barthelemy fonctionnent à mort. Bref, une oeuvre assez lourde et dispensable bien loin du potentiel que le pitch laissait entrevoir.
Lamentable, de la violence conjugué à de la haine, ce film est un brouillon punitif, on s'y accroche tant bien que mal 45minutes de la première moitié puis ça sent vraiment le scénario clauque psychopate la deuxiéme moitié du film. Certes avec de trés bons acteurs, mais encore une histoire qui va donné des idées aux malades mentals.
se film et un vrai ovni du cinema la guerre sanglante de deux roux qui parte en croisade contre le monde qui les entoure un film bourré de scene choc a ne pas mettre entre toute les mains.
Un film glauque avec des cas sociaux. Certaines scènes m'ont fait rire quand même.
weihnachtsmann
La scène du mariage est symptomatique de l'esprit du film. On est sans voix et ébahi devant ce film ahurissant qui traite d'un jeune qui cherche à se connaître au travers d'un road-movie de malade digne d'une certaine "balade sauvage"
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