Léonard, un magicien, monte une troupe de cirque avec des artistes différents. Il a alors pour but de faire évoluer les mentalités en faisant accepter ces artistes au public. Cependant, tout le monde n’est pas prêt à les accueillir et Léonard ne reculera devant rien pour imposer ses convictions…
Huit hommes purgeant de lourdes peines de prison se confient sur leurs crimes, leur isolement et leurs aspirations. D’un grand dépouillement visuel, ce film nous ramène à l’essentiel et se joue de la forme documentaire classique pour révéler les témoignages forts de ces prisonniers, recueillis dans un cadre intimiste.
Aujourd’hui, c’est une journée comme les autres pour Kalthoum et ses copines. Elles sirotent des cocktails, cherchent l’amour sur internet et essuient, une fois de plus, les insultes transphobes d’inconnus. Oui mais voilà, aujourd’hui ça ne va pas se passer comme ça... Entre un cosmo et un chardo, les quatre amies transgenres vont imaginer leur vengeance...
Dorothy, une réalisatrice un poil looseuse, se marre en écrivant son scénario. Mais un coup de fil de sa productrice lui coupe l’envie de rire : il est temps d’arrêter les comédies queer et de faire des films universels ! Pour ne pas sombrer dans l’angoisse, Dorothy se réfugie dans sa série doudou, Romy contre les Vampires. Malheureusement, ses démons ont décidé de lui rendre visite ce soir…
Julien est un piètre vendeur de canapé. Son patron décide de lui laisser une dernière chance à condition qu’il suive à la lettre ses méthodes marketing.
Quatre garçons. 13 ans à tout casser. Quatre garçons et leur bande, qui dévalent en skate les routes de leur village, entre la mer, la campagne et la ville. Skater toujours plus vite pour s’échapper. Echapper à la vie ennuyeuse, à l’école qui rapetisse les rêves, aux adultes qui ne rient plus. S’enivrer de sensations fortes en dévalant les pentes, soleil couchant d’un côté, océan de l’autre.
Une jeune femme arrive chez un ami avec une valise anormalement lourde. Peu après son installation, son hôte sent une présence étrangère et voit des rabbins partout.
Dans sa maison de la cote normande, peu de temps avant sa mort, l'écrivain revisionne avec Pierre Dumayet les entretiens qu'elle lui avait accordés en 1961 et 1965.
De ses débuts, durant le néolithique à nos jours, le tissage a su évoluer pour ne pas mourrir et trouve encore aujourd'hui des applications surprenantes comme en médecine ou aéronautique.
Mitten suit les dernières semaines de répétition de Mitten wir im Leben sind, un spectacle élaboré par la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker, sa compagnie Rosas et le violoncelliste Jean-Guihen Queyras sur les Six suites pour violoncelle de Johann Sebastian Bach.
Les images proviennent de films tournes pendant la guerre du Vietnam, et notamment au cours des combats qui se sont deroules a l'occasion de l'evacuation de Xuan Loc, au printemps 1975.
Des associations mènent des actions afin de créer du lien social. Après avoir eu l’accord de la demande de subvention, les réalisateurs ont participé à plusieurs réunions avec Saint-Etienne Métropole, pour déterminer les actions à mettre en valeur dans le documentaire intitulé Vers le lien social.
Logan, 16 ans, est un ado mal dans sa peau. Seuls ses rêves de science fiction et d'une vie meilleure sur Mars le tirent de son quotidien aussi difficile à la maison qu’au lycée, où il n’est vu que comme un loser agressif. Un soir, il reçoit la visite d'un homme mystérieux qui assure venir du futur et être lui aussi Logan, mais 40 ans plus vieux. Il lui demande alors d'accomplir une mission aussi inattendue qu'importante : sauver l’humanité.
Stéphane Berthomieux nous propose de vivre l’expérience du noir de Soulages et sa quête de la lumière en explorant plus particulièrement ses Outrenoirs. Par un processus d’écriture habile, le documentaire parviendra à conjuguer trois niveaux de récits : les archives, les témoignages mis en scène et les voix- off.
Le titre pointe sans équivoque vers cette époque d’un âge d’or, la rareté des personnages (deux femmes, un homme), la grande sobriété de leur jeu, la plus grande sobriété encore du récit, nous voilà clairement dans un cinéma qui se revendique de celui des origines, celui d’un temps où les visages et les gestes ramassaient tout l’entendement possible, et toutes les émotions.
Conçu à partir d'une photographie de Ron Haviv prise à Bijeljina, le 31 mars 1992, dans les premiers jours de la guerre de Bosnie, où vient d’avoir lieu l’un des premiers épisodes d’épuration ethnique, Je vous salue, Sarajevo dénonce l'acte de guerre et la torture.