Noms d'oiseaux
Coïncidence ou parti pris des scénaristes : les 3 personnages principaux de la saga Pirates des Caraïbes ont des noms qui font référence à des oiseaux. En effet, en anglais, Sparrow signifie "moineau" et Swann signifie "cygne". Quant à William Turner, il s'agit d'un célèbre ornithologue.
"Yo ho, Yo ho, a pirate's life for me !"
La célèbre chanson qui accompagne les visiteurs tout au long de l'attraction originale Pirates des Caraïbes (présente dans tous les parcs Disney) résonne à plusieurs reprises au cours de la saga, et notamment dans le premier opus. Elle est ainsi chantonnée dans la scène d'intro par Elizabeth Swann, encore petite fille. Elle l'entonne à nouveau un peu plus tard, aux côtés de Jack Sparrow, alors qu'ils dégustent du rhum sur une plage des Caraïbes.
"Dead men tell no tales"
Egalement tirée de l'attraction originale, cette célèbre réplique (en français, "Les morts ne racontent pas d'histoires") est déclamée par le perroquet de Cotton dans le premier film de la saga. Il 'agit également du titre original du cinquième opus sorti en 2017 (disponible sur Disney à partir du 24 mai).
Sous l'océan
Cette séquence au cours de laquelle Jack et Will se déplacent sous l'eau en respirant grâce à une chaloupe est un clin d’œil au film Le Corsaire rouge, dans lequel Burt Lancaster utilisait la même technique en 1952.
Mickey caché
Nombreux sont les fans qui voient dans ce nuage de fumée échappé d'un canon la célèbre tête de Mickey. Un easter egg que l'on retrouve très fréquemment dans les productions Disney.
Et une bouteille de vin !
Lorsqu'Elizabeth Swann est enlevée par l'équipage du capitaine Barbossa, ce dernier lui révèle sa malédiction à la faveur d'un rayon de lune, et fait couler une gorgée de vin dans son squelette, rendant ainsi hommage à l'un des animatroniques les plus réputés de l'attraction originale.
Le chien et les clés
Figure emblématique de l'attraction Pirates des Caraïbes, le chien qui garde les clés de la prison, et que les détenus pirates tentent d'amadouer avec un os à moelle, apparait également dans La Malédiction du Black Pearl, puis dans le troisième volet de la saga. Sans obtenir davantage de succès que ses prédécesseurs, Sparrow tente de lui extorquer sa liberté, mais tombe sur un os.
Tortuga
Le port pirate dissimulé sur l'île de la Tortue, dans lequel Jack vient pour se constituer un équipage dans La Malédiction du Black Pearl avant de revenir s'y bagarrer dans Le Secret du Coffre Maudit, est une réplique de la ville traversée par les visiteurs de l'attraction. Entre les ivrognes qui tirent des coups de feu en l'air et les tavernes pour le moins animées, aucun détail ne semble avoir été oublié.
Ivrogne et cochons
C'est alors qu'il est en train de ronfler dans la boue parmi les cochons, à l'image d'un personnage de l'attraction originale, que l'on fait connaissance avec Gibbs, fidèle bras droit de Jack Sparrow.
Le trésor de Isla Muerta
La montagne de joyaux et de pièces d'or accumulés par les pirates et surmontée d'un squelette, devant laquelle on passe à la fin de l'attraction, se retrouve aussi dans La Malédiction du Black Pearl. Barbossa finit d'ailleurs par y pousser son dernier soupir, terrassé par Jack Sparrow, et devient ainsi le cadavre en question.
Inspirés par de vrais pirates
Jack Sparrow aurait été inspiré par Jack Ward (dont l'alias "Birdy" faisait également référence aux oiseaux). Pirate anglais ayant vécu à la fin du XVIème siècle, il aurait fini par prendre le nom de Yusuf Raïs et se serait converti à l'islam, ce qui permet peut-être d'expliquer pourquoi Sparrow porte une médaille frappée de l'étoile et du croissant. Quant à Barbossa, il aurait lui aussi été inspiré par un véritable pirate du même siècle : le dénommé Hayreddin Barbarossa (en français, Barberousse).
Références picturales
Les trois bateaux qui constituent l'affiche de Pirates des Caraïbes : le Secret du Coffre Maudit, deuxième volet de la saga, ont été empruntés à de véritables tableaux. On peut en effet les retrouver dans La Confiance capturant le Kent d'Ambroise Louis Garneray, dans A ship in need in a raging storm de Willem van de Velde et dans un tableau réalisé par Jean de Leyde.
A quelle époque se déroule Pirates des Caraïbes ?
En bas des lettres de marque qui sont censées permettre à Will Turner de négocier avec Jack Sparrow, on peut apercevoir la signature "George R", qui correspond au roi George Ier d'Angleterre. Ce dernier ayant régné de 1714 à 1727, cela nous donne une petite idée de la période à laquelle se déroule la saga Pirates des Caraïbes.
Sur les traces d'Indy
Cette séquence de Pirates des Caraïbes : le Secret du Coffre Maudit au cours de laquelle Jack Sparrow tente de rejoindre le Black Pearl au pas de course, poursuivi par une tribu indigène, est une référence à la scène d'intro des Aventuriers de l'arche perdue, dans laquelle Indiana Jones subissait le même sort. Dans le premier opus de la saga, une autre scène dans laquelle Barbossa oblige Elizabeth Swann à porter une robe de soirée avant qu'elle ne le menace avec un couteau à beurre, fait beaucoup penser à une séquence similaire entre Marion et Belloq, toujours dans le premier long métrage de la saga Indiana Jones.
Un chapeau et des bottes
En attendant la scène finale de Pirates des Caraïbes : le Secret du Coffre Maudit, dans laquelle Barbossa revient d'outre-tombe, quelques indices préfigurant sa réapparition peuvent être aperçus dans la cahutte de Tia Dalma. En effet, Jack Sparrow observe ici un chapeau à plumes qui ressemble comme deux gouttes d'eau à celui du capitaine disparu. Quant au petit singe qui lui tenait compagnie, il se dirige droit vers les bottes de son maître.
Un Rolling Stones chez les pirates
Keith Richards, célèbre guitariste des Stones dont Johnny Depp s'est beaucoup inspiré pour élaborer le look de Jack Sparrow, incarne carrément le père de ce dernier dans le troisième opus de la saga. L'imposant Capitaine Teague, doublé dans la version française par un certain Richard Darbois.
Mickey caché 2
À condition de vous munir d'une bonne loupe, vous pourrez observer un autre Mickey caché sur la carte de Mao Kun, dans Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde.
Le son de l'attraction
Au début du troisième volet de la saga Pirates des Caraïbes, Jusqu'au bout du monde, lorsque les compagnons de Jack Sparrow dégringolent une gigantesque cascade pour atteindre l'Antre de Davy Jones, on peut entendre résonner la musique de l'attraction, ainsi que certains bruitages et répliques que vous ne manquerez pas de reconnaitre si vous êtes habitué des parcs Disney.
"Cette fois, il est trop tard pour changer de cap, camarades !"
Cette réplique prononcée par Barbossa à la fin du troisième film, lorsque le Black Pearl s'apprête à entrer dans le maelström, peut également être entendue dans l'attraction originale, juste avant la première chute du circuit.
"Vous avez peur d'être tout mouillé, hein ?"
Dernière petite référence de la saga cinématographique à l'attraction : cette question que Davy Jones pose à Mercer juste avant la bataille finale est un clin d'oeil au message que l'on peut lire à l'entrée de Pirates des Caraïbes, à Disneyland : "Oyez, oyez, aventuriers, n'ayez pas peur de vous mouiller !"