Dans la brume de Daniel Roby (2018)
Un brouillard épais, toxique et mystérieux s’abat sur la capitale. Romain Duris est confronté à un Paris hostile pour la deuxième fois de sa carrière après Peut-être de Cédric Klapisch !
Sur le tournage, entre les prises, impossible de vider le plateau de la fumée utilisée pour constituer cette épaisse brume, rendant le travail complexe pour l'équipe et en particulier pour les comédiens qui devaient jouer avec un masque à gaz.
La Nuit a dévoré le monde de Dominique Rocher (2017)
Au mois de mars 2018, une apocalypse zombies a lieu dans un Paris désertique. La Nuit a dévoré le monde est le premier long métrage du lauréat des Audi talents awards 2011, Dominique Rocher.
Ce film est adapté d'un roman de Martin Page, signé sous le pseudonyme Pit Agarmen. Initialement, le cinéaste souhaitait le transposer sur grand écran sans dialogue afin de concentrer l'attention du spectateur sur le son, essentiel pour restituer la solitude du personnage principal, isolé dans un immeuble parisien.
Seuls de David Moreau (2016)
Adapté d’une bande-dessinée culte de Fabien Vehlmann et Bruno Gazzotti, Seuls de David Moreau met en scène un groupe d’adolescents perdus dans La Défense désertée en une nuit.
Pour filmer la capitale française vide, David Moreau a tourné le week-end du 15 août dans des rues bloquée par des techniciens. Quelques retouches numériques complémentaires ont été nécessaires pour supprimer toute activité humaine.
28 Semaines plus tard de Juan Carlos Fresnadillo (2007)
Suite du film culte 28 Jours plus tard signé Danny Boyle en 2002, 28 Semaines plus tard se déroule principalement à Londres. Mais au détour d’un plan final, on découvre que les Infectés ont traversé la Manche et courent s’attaquer à la Tour Eiffel !
Par opposition à un grand nombre de films de zombies utilisant des volontaires bénévoles ou de simples figurants pour faire nombre dans une foule de morts-vivants (comme La Horde de Yannick Dahan et Benjamin Rocher), Juan Carlos Fresnadillo a choisi de travailler avec des danseurs pour jouer les infectés. Leurs attitudes, leurs gestes et leur façon de courir ne sont pas le fruit d'improvisations mais de chorégraphies longuement répétées.
Seuls Two d’Eric Judor et Ramzy Bedia (2007)
L’apocalypse, c’est rigolo aussi ! Le duo d’humoristes Eric et Ramzy s’engage dans une course-poursuite folle dans les rues désertées de Paris, sans vraiment comprendre pourquoi.
Pour leur premier film derrière et devant la caméra, Eric et Ramzy ont relevé le défi de tourner dans un Paris totalement vide, même sur les axes les plus courtisés par les touristes, comme l'avenue des Champs-Elysées. Deux cent bloqueurs ont été engagés pour empêcher les voitures de passer et les riverains de sortir de chez eux pendant les prises. En contrepartie, le duo d'acteurs / réalisateurs ont tourné le plus rapidement possible.
Banlieue 13 de Pierre Morel (2004)
Si Paris se porte encore bien dans un 2013 imaginaire, on ne peut pas en dire autant de sa banlieue, devenue zone de non-droit, à la manière du New York 1997 de John Carpenter. Comme le souligne le caïd interprété par MC Jean Gab'1 : "Ici, c’est pas Monaco. C’est Bagdad."
La Banlieue 13 que le film explore n'a pourtant rien d'une banlieue parisienne. La plupart des scène d'extérieur ont été tournées en Roumanie, dans des cités dortoirs.
Peut-être de Cédric Klapisch (1999)
Peut-être l’apocalypse la plus originale s’étant abattue sur Paris de l’histoire du cinéma : le jeune Arthur interprété par Romain Duris est propulsé dans un futur lointain où Paris a été enseveli sous une tempête de sable. Dans cet univers surréaliste, il retrouve son futur fils… sous les traits de Jean-Paul Belmondo !
Pour ensabler Paris, François Emmanuelli a construit un décor en Tunisie, près des lieux de tournage qui ont servi à la saga Star Wars (pour les scènes sur la planète Tatooine). Une fois les faux toits de Paris établis, une grande quantité de sable supplémentaire a servi à les recouvrir encore davantage.
Alien : La Résurrection de Jean-Pierre Jeunet (1997)
Dans une des seules scènes coupées du quatrième Alien signé Jean-Pierre Jeunet, Ripley (Sigourney Weaver) et Call (Winona Ryder) arrivent enfin sur Terre. Paris n’est plus qu’un gigantesque champ de ruines depuis bien longtemps.
Cette séquence finale est disponible sur la version longue d'Alien, la résurrection. Pourtant Jean-Pierre Jeunet n'a jamais eu l'intention de l'inclure dans le montage. C'est pour se prêter au jeu d'un coffret DVD regroupant les "director's cut" de chaque film de la saga que le cinéaste a accepter de dévoiler cette fin alternative, ainsi qu'une scène d'introduction finalement coupée pour la sortie en salles.
Delicatessen de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro (1991)
Davantage fable que film post-apocalyptique, Delicatessen de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro suit tout de même la vie quotidienne dans un immeuble parisien qui se dresse seul dans un terrain vague, comme si le reste de la ville avait disparu.
Avant Alien, la résurrection, Jean-Pierre Jeunet immaginait donc déjà un Paris alternatif construit avec l'aide de Marc Caro dans les anciens entrepôts de la Seita, à Pantin.
Le Dernier Combat de Luc Besson (1983)
Si Le Dernier Combat ne se déroule pas explicitement à Paris, Luc Besson a trouvé les décors de son tout premier long métrage dans la capitale, ainsi que dans le désert tunisien et à la Dune du Pyla, en Gironde !
Luc Besson a donc tourné Le Dernier Combat dans de nombreux chantiers de Paris, comme celui de l'architecte Richard Meier qui a servi à ériger le siège de la chaîne Canal+ le long des quais de Seine, dans le XVe arrondissement de Paris.
Découvrez la bande annonce de Dans la brume de Daniel Roby
Dans la brume de Daniel Roby (2018)
Un brouillard épais, toxique et mystérieux s’abat sur la capitale. Romain Duris est confronté à un Paris hostile pour la deuxième fois de sa carrière après Peut-être de Cédric Klapisch !
Sur le tournage, entre les prises, impossible de vider le plateau de la fumée utilisée pour constituer cette épaisse brume, rendant le travail complexe pour l'équipe et en particulier pour les comédiens qui devaient jouer avec un masque à gaz.
La Nuit a dévoré le monde de Dominique Rocher (2017)
Au mois de mars 2018, une apocalypse zombies a lieu dans un Paris désertique. La Nuit a dévoré le monde est le premier long métrage du lauréat des Audi talents awards 2011, Dominique Rocher.
Ce film est adapté d'un roman de Martin Page, signé sous le pseudonyme Pit Agarmen. Initialement, le cinéaste souhaitait le transposer sur grand écran sans dialogue afin de concentrer l'attention du spectateur sur le son, essentiel pour restituer la solitude du personnage principal, isolé dans un immeuble parisien.
Seuls de David Moreau (2016)
Adapté d’une bande-dessinée culte de Fabien Vehlmann et Bruno Gazzotti, Seuls de David Moreau met en scène un groupe d’adolescents perdus dans La Défense désertée en une nuit.
Pour filmer la capitale française vide, David Moreau a tourné le week-end du 15 août dans des rues bloquée par des techniciens. Quelques retouches numériques complémentaires ont été nécessaires pour supprimer toute activité humaine.
28 Semaines plus tard de Juan Carlos Fresnadillo (2007)
Suite du film culte 28 Jours plus tard signé Danny Boyle en 2002, 28 Semaines plus tard se déroule principalement à Londres. Mais au détour d’un plan final, on découvre que les Infectés ont traversé la Manche et courent s’attaquer à la Tour Eiffel !
Par opposition à un grand nombre de films de zombies utilisant des volontaires bénévoles ou de simples figurants pour faire nombre dans une foule de morts-vivants (comme La Horde de Yannick Dahan et Benjamin Rocher), Juan Carlos Fresnadillo a choisi de travailler avec des danseurs pour jouer les infectés. Leurs attitudes, leurs gestes et leur façon de courir ne sont pas le fruit d'improvisations mais de chorégraphies longuement répétées.
Seuls Two d’Eric Judor et Ramzy Bedia (2007)
L’apocalypse, c’est rigolo aussi ! Le duo d’humoristes Eric et Ramzy s’engage dans une course-poursuite folle dans les rues désertées de Paris, sans vraiment comprendre pourquoi.
Pour leur premier film derrière et devant la caméra, Eric et Ramzy ont relevé le défi de tourner dans un Paris totalement vide, même sur les axes les plus courtisés par les touristes, comme l'avenue des Champs-Elysées. Deux cent bloqueurs ont été engagés pour empêcher les voitures de passer et les riverains de sortir de chez eux pendant les prises. En contrepartie, le duo d'acteurs / réalisateurs ont tourné le plus rapidement possible.
Banlieue 13 de Pierre Morel (2004)
Si Paris se porte encore bien dans un 2013 imaginaire, on ne peut pas en dire autant de sa banlieue, devenue zone de non-droit, à la manière du New York 1997 de John Carpenter. Comme le souligne le caïd interprété par MC Jean Gab'1 : "Ici, c’est pas Monaco. C’est Bagdad."
La Banlieue 13 que le film explore n'a pourtant rien d'une banlieue parisienne. La plupart des scène d'extérieur ont été tournées en Roumanie, dans des cités dortoirs.
Peut-être de Cédric Klapisch (1999)
Peut-être l’apocalypse la plus originale s’étant abattue sur Paris de l’histoire du cinéma : le jeune Arthur interprété par Romain Duris est propulsé dans un futur lointain où Paris a été enseveli sous une tempête de sable. Dans cet univers surréaliste, il retrouve son futur fils… sous les traits de Jean-Paul Belmondo !
Pour ensabler Paris, François Emmanuelli a construit un décor en Tunisie, près des lieux de tournage qui ont servi à la saga Star Wars (pour les scènes sur la planète Tatooine). Une fois les faux toits de Paris établis, une grande quantité de sable supplémentaire a servi à les recouvrir encore davantage.
Alien : La Résurrection de Jean-Pierre Jeunet (1997)
Dans une des seules scènes coupées du quatrième Alien signé Jean-Pierre Jeunet, Ripley (Sigourney Weaver) et Call (Winona Ryder) arrivent enfin sur Terre. Paris n’est plus qu’un gigantesque champ de ruines depuis bien longtemps.
Cette séquence finale est disponible sur la version longue d'Alien, la résurrection. Pourtant Jean-Pierre Jeunet n'a jamais eu l'intention de l'inclure dans le montage. C'est pour se prêter au jeu d'un coffret DVD regroupant les "director's cut" de chaque film de la saga que le cinéaste a accepter de dévoiler cette fin alternative, ainsi qu'une scène d'introduction finalement coupée pour la sortie en salles.
Delicatessen de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro (1991)
Davantage fable que film post-apocalyptique, Delicatessen de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro suit tout de même la vie quotidienne dans un immeuble parisien qui se dresse seul dans un terrain vague, comme si le reste de la ville avait disparu.
Avant Alien, la résurrection, Jean-Pierre Jeunet immaginait donc déjà un Paris alternatif construit avec l'aide de Marc Caro dans les anciens entrepôts de la Seita, à Pantin.
Le Dernier Combat de Luc Besson (1983)
Si Le Dernier Combat ne se déroule pas explicitement à Paris, Luc Besson a trouvé les décors de son tout premier long métrage dans la capitale, ainsi que dans le désert tunisien et à la Dune du Pyla, en Gironde !
Luc Besson a donc tourné Le Dernier Combat dans de nombreux chantiers de Paris, comme celui de l'architecte Richard Meier qui a servi à ériger le siège de la chaîne Canal le long des quais de Seine, dans le XVe arrondissement de Paris.