Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé demain soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Jeudi 25 août dans Demain nous appartient…
LE COMMISSARIAT EST EVACUÉ EN URGENCE
Les policiers ont reçu un colis piégé au commissariat. Loin de se douter qu’il s'agissait d'une bombe, Damien l’a prise dans ses mains. Et c’est alors qu’un message leur a indiqué qu’elle explosera si elle est lâchée. Le commandant Constant décide de croire ces indications tant qu’ils n’en savent pas davantage. À partir de maintenant, Damien ne doit absolument pas bouger pour la sécurité de tout le monde sur place. Martin est alors persuadé qu’ils vont trouver une solution.
Sara leur indique que les démineurs sont prévenus, mais Georges sait très bien qu’ils vont mettre du temps à arriver. Il décide donc d’examiner la bombe de plus près en espérant comprendre rapidement son mécanisme. Si dans un premier temps le commandant est dubitatif, il accepte finalement de le laisser faire. Puis, il ordonne à Sara d’évacuer le commissariat et les immeubles aux alentours.
En parallèle, Juliette décide de quitter Sète dès le lendemain pour mettre de la distance entre Gaspard et Sacha. Elle estime qu’il est temps pour son fils de s’éloigner de cette ville qui lui a déjà fait tant de mal, pour qu’il se reconstruise ailleurs. De son côté, Tristan comprend totalement sa décision, mais lui avoue qu’ils vont lui manquer. Puis, elle reçoit un appel de l’hôpital Saint-Clair qui lui annonce la tentative de suicide de Sacha.
L’évacuation est en cours au commissariat. Les policiers s’empressent de récupérer les documents les plus importants avant de quitter l’établissement pendant qu’un poste de commandement opérationnel (PCO) est mis en place. Quant à Georges, il a découvert un mécanisme qui s’est déclenché lorsqu’il a ouvert le couvercle de la boîte. Il pense d’ailleurs qu’elle contient un double système de déclenchement : un lié à la présence d’un corps et l’autre qui perçoit les déplacements. Ils comprennent donc que si Damien bouge un peu ou déplace ses mains, elle explosera.
De son côté, Sara indique au commandant le transfert immédiat des détenus à Montpellier et Frontignan. Martin lui demande ensuite de sortir du commissariat pour gérer la situation à partir du poste de commandement opérationnel et lui assure qu’elle s’en sort très bien. Quant à Damien, il ignore s’il va pouvoir tenir encore longtemps.
À l’hôpital, William annonce à Sacha qu’ils ont réussi à arrêter l’hémorragie et qu’il est maintenant hors de danger. Il l’informe également qu’un psychiatre viendra lui rendre visite dans la journée. Cependant, le détenu refuse de le voir car il souhaite mourir. En effet, sa femme et ses enfants le détestent, il va avoir une lourde peine de prison et estime qu’il n’a plus rien à quoi s’accrocher. Il demande alors au médecin de le laisser mourir la prochaine fois mais ce n’est pas possible. En sortant de sa chambre ensuite, William explique à Nordine qu’ils vont le garder encore un ou deux jours en observation avant qu’il ne regagne sa cellule. Lorsque le policier lui demande s’il risque de récidiver, le médecin estime que c’est peu probable tant qu’il est attaché à son lit.
Mona déboule devant le cordon de sécurité placé devant le commissariat. Elle exige de voir son fils, mais une policière lui refuse l’accès. La mère de Georges est très inquiète puisque son fils ne répond pas à ses appels. Sara tente alors de la rassurer mais en vain. Mona continue alors d’insister et se dit prête à aller le chercher elle-même s’il le faut. Finalement, la policière décide de lui expliquer la situation.
Pendant ce temps, Juliette n’aurait jamais cru Sacha capable de faire une chose pareille et estime que leur visite au parloir a été l’élément déclencheur. Mais Tristan pense que son frère n’a jamais eu l’intention de se donner la mort. Selon lui, il s’agit d’un de ses nouveaux coups tordus pour les manipuler et parvenir à ses fins.
Gaspard est à l’hôpital et porte la blouse de Benjamin qu’il a préalablement volée quelque temps plus tôt. Le jeune homme décide d’éteindre son téléphone portable alors que sa mère lui a envoyé un message. Il se dirige vers la chambre de son père gardée par Nordine lorsque Loïc le rejoint pour le prévenir de l’alerte à la bombe au commissariat. Gaspard se cache alors pendant quelques secondes jusqu’au départ de Nordine qui souhaite prendre des nouvelles de son père. Puis, lorsque l'autre policier se retrouve tout seul, il l’attaque à plusieurs reprises avec un taser. Une fois immobilisé, il tire ensuite son corps à l’intérieur de la chambre de Sacha.
Au commissariat, Martin perd son sang-froid lorsqu’il apprend que l’équipe de déminage vient à peine de prendre la route après une intervention à Lunel. Il sait pertinemment que son collègue ne tiendra plus longtemps avec la bombe entre ses mains. Le commandant demande alors à Georges s’il peut prendre la place de Damien, ce qu'il confirme. La situation est sous haute tension ! Ils procèdent doucement à l’échange et évitent le pire de justesse. Après avoir récupéré la bombe, Martin ordonne à Georges et à Damien de quitter le bâtiment.
GASPARD MET SON PLAN À EXÉCUTION
À l’hôpital, Gaspard récupère les clefs du policier et retire les menottes de son père. Sacha le félicite, puis ils attachent Loïc aux barreaux du lit et le bâillonnent. Son fils l’informe ensuite que le commissariat a bien reçu le colis piégé d’après ce qu’il a entendu. Juste avant de quitter la chambre, le jeune homme semble hésitant, mais son père lui assure qu’ils seront déjà loin lorsque la police partira à leur recherche.
Mona est soulagée de retrouver son fils à l’extérieur, mais son bonheur va être de courte durée. En effet, Sara explique au policier que les démineurs viennent à peine de partir de Lunel. Georges comprend alors que le commandant ne tiendra pas jusqu’à leur arrivée et décide d’aller vérifier si la bombe n’a pas un capteur de pression. Si c’est le cas, il pense pouvoir berner le gyroscope et réussir à le soulager en attendant les renforts. Puis, avant de retourner dans le commissariat, Georges assure à sa mère qu’il ne risque rien.
Pendant ce temps à l’hôpital, Nordine libère son collègue et part sans perdre une minute à la recherche de Sacha. De son côté, Loïc va prévenir le commissariat de la situation en espérant recevoir des renforts.
Alors que Georges commence à ouvrir la boîte qui contient la bombe, Sara leur annonce que Sacha Girard est en train de s’échapper de l’hôpital avec l’aide d’un complice. Le commandant lui demande alors d’envoyer une équipe au plus vite à son fils, mais tous les effectifs s’occupent de l’évacuation de la zone. Ils comprennent que ce n’est pas un hasard si le prisonnier tente de s’évader pile au moment où ils reçoivent un colis piégé.
La situation se complique à l’hôpital. Gaspard avait repéré une porte qui conduit directement au parking, mais le badge qu’il a volé est désactivé.
Les mauvaises nouvelles s’enchaînent au commissariat. Georges a ouvert le panneau de la bombe et a découvert qu’un minuteur s’est déclenché lorsque Damien a ouvert la boîte un peu plus tôt.
Gaspard n’ayant pas de plan de secours, son père déclenche l’alarme incendie en espérant pouvoir se mêler à la foule pendant l’évacuation. Malheureusement pour eux, c’est Christelle qui s’occupe de l’opération et elle a déjà aperçu le jeune homme dans la matinée.
LA BOMBE VA BIENTÔT EXPLOSER
Finalement, Georges avoue au commandant qu’un minuteur s’est mis en route, mais il lui cache qu’il ne leur reste plus que 8 minutes et 50 secondes avant l’explosion.
Au même moment, Gaspard se rend compte que l’alarme incendie a déverrouillé la porte qui mène au parking. Toutefois, ils sont arrêtés par Nordine qui leur ordonne de ne plus bouger. Mais Sacha n’a plus rien à perdre et le menace avec une arme à feu. Lorsque Bénédicte sort soudainement d’une pièce, le prisonnier l’empoigne par les cheveux et la prend en otage.
Enfin une bonne nouvelle du côté de Martin et Georges : le policier a réussi à libérer le gyroscope. Le commandant peut poser la bombe sur une chaise mais doit tout de même garder ses mains dessus. Ils reçoivent alors un appel de Sara qui leur indique que les démineurs arrivent dans sept à huit minutes. Cependant, Georges le sait, ce ne sera pas suffisant… Il lui avoue alors qu’il reste moins de cinq minutes au compte à rebours avant l’explosion de la bombe. Les deux collègues commencent à se disputer car Martin souhaite que son camarade sorte du commissariat, mais il refuse. Il pense réussir à la désamorcer seul.
La situation est très tendue à l’hôpital. Nordine essaie de raisonner Gaspard lorsque Benjamin ouvre la porte qui mène au parking et désarme Sacha. Malheureusement, le jeune homme récupère l’arme en premier puis le redonne à son père. Si Bénédicte est saine et sauve, Benjamin prend un coup à l’arrière du crâne. Le prisonnier et son fils cassent le système de sécurité de la porte. Puis avant de partir, Sacha met le policier en garde : s’il les suit, ils feront un carnage. L'ostéopathe indique à Nordine qu’une autre porte mène également au parking. Le policier décide alors de se lancer à leur poursuite.
Les démineurs arrivent dans deux minutes au sein du commissariat. De son côté, Georges a isolé les deux fils pilotes. S’il coupe le bon, il désamorce la bombe. Si Martin persiste à lui demander de partir, son collègue refuse de se défiler car trop de personnes sont mortes lorsqu’il n’a pas su réagir quand il était avec Vanessa. Mais le commandant lui indique que toute cette histoire n’était pas de sa faute et lui explique qu’il n’a pas besoin de mourir pour prouver qu’il est un très bon policier. Georges sait que les démineurs ne vont pas arriver à temps. Les secondes défilent à toute vitesse, il ne leur reste plus qu’une poignée de secondes lorsque Georges coupe l’un des deux fils.