Que pouvez-vous nous dire sur la seconde partie de saison 11, dont la diffusion débute ce dimanche 20 février ?
Paola Lazaro (Princesse) : Je pense que l’on peut s’attendre à de nombreux retournements de situation, et voir se produire des choses totalement inattendus. Cette saison sera particulièrement excitante et beaucoup de changements vont affecter l’histoire de la série.
Eleanor Matsuura (Yumiko) : Je suis entièrement d’accord. The Walking Dead n’a jamais eu peur d’employer les grands moyens pour raconter son histoire, il y a toujours eu des batailles énormes, des décors gigantesques mais également des histoires dramatiques avec des conséquences terribles. Je trouve extraordinaire que nous puissions encore proposer ce genre d’histoire, qui plus est en pleine période de pandémie qui n’a d'ailleurs eu aucune conséquence sur l’ambition de la série. Je n’ai aucun doute que les fans seront ravis par cette saison 11b.
Ross Marquand (Aaron) : Des morts et des mutilations.
Lauren Ridloff (Connie) : (rires) Oui mais également une tonalité totalement différente.
Est-ce un avantage pour vous d’incarner un personnage qui apparaît dans les comics, ou auriez-vous préféré incarner un personnage inédit pour bénéficier de davantage de liberté dans votre interprétation ?
Paola Lazaro : C’est super amusant de rejouer des passages iconiques de la bande dessinée. Les comics sont géniaux, intéressants et tellement complexes ; c’est donc un véritable bonheur de pouvoir rejouer ces scènes, et généralement les fans sont ravis lorsque nous restons fidèles à la BD.
Eleanor Matsuura : Et c’est également très amusant à tourner. J’ai toujours être l’impression d’être un enfant qui s’amuse lorsque nous tournons ce genre de scènes. Lorsque mon personnage, accompagné d’Ezekiel et d’Eugene, sont à cheval juste avant notre rencontre avec Princesse, notre arrivée dans la ville est un clin d’oeil à l’un des tout premiers plans de Rick Grimes au début de la série. J’étais toute excitée à l’idée de rendre hommage à un passage aussi iconique.
Pensez-vous que la pandamie de coronavirus a changé la vision que l’on se fait de la série ?
Lauren Ridloff : Je pense que c’est un phénomène intéressant à observer, car nous suivons ces personnages évoluant dans un monde post-apocalyptique, bien qu’il n’y ait pas non plus lieu à dresser un parallèle avec le nôtre. Mais cette saison, il semblerait que les personnages évoluent dans un univers qui pourrait nous paraître davantage… normal. Mais peut-on vraiment le qualifier de normal ?
Ross Marquand : Dans la cinquième saison, la série avait pris un nouveau tournant en introduisant la communauté d’Alexandria, et la perspective d’un retour à la vie normale. Dans un sens, le Commonwealth est similaire à Alexandria, mais il y a dans cette nouvelle communauté un aspect beaucoup plus sombre qu’il est passionnant d’explorer.