"Et si quelqu'un qui voudrait vivre -mais ne peut plus- rencontrait quelqu'un qui pourrait vivre -mais qui ne veut plus-..." C'est le point de départ, ainsi résumé par Albert Dupontel, de son nouveau film Adieu les cons, à l'affiche ce mercredi 21 octobre. L'intrigue suit plus précisément Suze Trappet (Virginie Efira), qui apprend, à 43 ans, qu’elle est sérieusement malade, et décide de partir à la recherche de l'enfant qu’elle a été forcée d'abandonner quand elle avait 15 ans.
Sa quête administrative va lui faire croiser JB (Albert Dupontel), quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.
Comme le résume Albert Dupontel à notre micro, le film parle de "la difficulté de s'aimer dans un monde répressif et anxiogène". Et d'ajouter : "De Bernie à ce film, je raconte toujours la même histoire". Dans notre montage ci-dessus, le cinéaste et comédien s'explique sur quelques unes des références qui l'ont guidé pour ce film, de Brazil de Terry Gilliam (qui fait une apparition dans le film) à Charlie Chaplin.
Nos Fun Facts avec Virginie Efira