Avec Alireza Motamedi, Sahar Dolatshahi, Solmaz Ghani...
Le saviez-vous ? Poète, critique de cinéma et scénariste, Alireza Motamedi signe avec Reza sa première réalisation. Il en est aussi l'acteur principal. Bien qu'il ait commencé sa carrière en tant qu'acteur de théâtre, Motamedi a fini par abandonner la comédie qui ne l'intéressait pas vraiment. À l'origine, il ne se voyait pas jouer dans le film mais n'a trouvé personne qui convenait pour le rôle : "Et, plusieurs personnes de mon entourage me répétaient régulièrement qu’il fallait que ce soit moi qui joue Reza. Certains traits de caractère du personnage leur faisaient beaucoup penser à moi. J’ai fini par accepter de jouer le rôle moi-même. Aujourd’hui, je suis convaincu qu’ils ont eu raison de me pousser à accepter, car cela m’a réconcilié avec le jeu et j’ai pris beaucoup de plaisir à jouer dans le film".
L'Affaire Pasolini de David Grieco
Avec Massimo Ranieri, Libero De Rienzo, Matteo Taranto...
Le saviez-vous ? Après Willem Dafoe dans Pasolini, le film d'Abel Ferrara, c'est Massimo Ranieri qui prête ses traits au légendaire cinéaste. "Je ne pouvais rêver meilleur interprète pour mon Pasolini... pas même Di Caprio ! Quelques mois avant sa mort, Pier Paolo Pasolini s’est retrouvé assis à côté de Massimo Ranieri, dans les vestiaires avant un match de foot. Il le regarda fixement et lui dit : « Tu sais que c’est vrai ce qu’on dit, nous nous ressemblons énormément ». Massimo Ranieri est un acteur incroyable et un crooner hors pair. Il fascine tout aussi bien les réalisateurs italiens que les cinéastes étrangers, notamment Claude Lelouch qui l’a fait tourner à trois reprises", confie David Grieco.
Avec Martin Dubreuil, Romain Duris, Sarah Gadon...
Le saviez-vous ? La conception du Déserteur est arrivée au moment même où Donald Trump a pris le pouvoir. Maxime Giroux explique : "Toute la violence, l’intolérance, la grossièreté que cet homme incarne, nous a poussé à créer cette allégorie. Dans ces lieux grandioses et magnifiques de l’ouest américain, un homme sans malice, un peu comme le Charlot de Chaplin, tente de se sortir de cette spirale absurde, grossière, caricaturale, mystérieuse et intangible. La question que nous nous sommes posées est la suivante : si L’Homme sait apprécier la beauté de ce monde et est capable de bonté, pourquoi a-t-Il autant soif de pouvoir et de destruction ?"
Avec Cédrick Spinassou, Mona Guennegues, Caroline Bento...
Le saviez-vous ? Mona Guennegues avait tourné un court métrage avec Marceau Uguen un an avant le tournage de Memoria, alors qu'elle avait trois ans et demi. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est imposée au casting dès l’écriture.