Avec Luca Marinelli, Linda Caridi, Giovanni Anzaldo...
Le saviez-vous ? Après son premier film, Dix hivers à Venise, qui se déroule comme l'indique son titre en hiver, Valerio Mieli situe partiellement Ricordi? en été, où la sensualité se déploie davantage : "j’avais envie que cela se sente dans la manière dont les corps se rapprochent dès les premiers instants de la rencontre. J’ai écrit le scénario de ce film en grande partie à Paris et cela m’a permis de prendre la mesure, avec la distance, de la sensualité inhérente à Rome, où se passe l’action, et qui, j’espère, se ressent dans le film".
De quoi ça parle ? Une énorme tempête de feu a dévasté la moitié des villes du monde, affaiblissant les hommes et donnant naissance à des mutants capables de manier le feu, les Burnish. 30 ans plus tard, un groupe de mutants terroristes, appelés les Mad Burnish, menacent de détruire de nouveau la Terre. Le seul rempart de l’humanité ? La Burning Rescue, une équipe de pompiers d’un nouveau genre. Galo Thymos et son équipe vont tout faire pour arrêter les Mad Burnish.
Rêves de Jeunesse de Alain Raoust
Avec Salomé Richard, Yoann Zimmer, Estelle Meyer...
Le saviez-vous ? La question du politique, au centre de Rêves de Jeunesse, a toujours habité Alain Raoust sans qu'il ne sache vraiment pourquoi. Le réalisateur confie : "J’étais un enfant en incessant questionnement. Et finalement c’est peut-être cela le politique. La question du pourquoi. Pourquoi ça marche comme ça ? Pourquoi le monde est comme cela ? Pourquoi faut-il subir ? L’enfance du politique ou la politique de l’enfance, je ne sais pas comment le dire... Forcément, à l’adolescence tous ces pourquoi sans réponse m’ont mis en colère. Comme le dit de sa propre adolescence le personnage de Salomé. Quoiqu’il en soit, à travers ces questionnements, j’ai développé un rapport politique au monde. Rapport qui, aujourd’hui encore, transparaît dans mes films. Un peu malgré moi au fond."
Avec Piolo Pascual, Joel Lamangan, Shaina Magdayao...
Le saviez-vous ? Connu pour la longueur inhabituelle de ses films (certains font plus de onze heures), Lav Diaz signe avec Halte un long métrage de 4h39. Le cinéaste justifie ces durées en expliquant que ses films sont gouvernés par l’espace et la nature, et non par le temps.