Premier de la classe de Stéphane Ben Lahcene
Avec Mutamba Kalonji, Pascal NZonzi, Michèle Laroque...
Le saviez-vous ? Premier de la classe est le premier long-métrage en tant que réalisateur de Stéphane Ben Lahcene. Le cinéaste a fait des études de sciences politiques dans lesquelles il s'est vite ennuyé et qui lui ont directement amené à écrire pour des programmes comme Le vrai journal sur Canal + ou Caméra café sur M6 et Samantha sur France 2. "Je suis ensuite passé à des formats plus longs, toujours en télé, et enfin à l’écriture de scénarios pour le cinéma. J’ai travaillé entre autre avec Olivier Baroux sur L’italien avec l’idée qu’un point de vue sociétal pouvait aussi déboucher sur une comédie, comme dans Premier de la classe… Avec mon producteur Mikaël Abecassis, nous avons décidé de travailler sur l’idée d’un gamin insouciant, qui trafique ses bulletins et qui triche à l’école, mais qui finit par être dépassé par ses propres mensonges et rattrapé par la réalité."
Le saviez-vous ? Inna de Yard est un collectif de chanteurs de reggae légendaires, qui ont uni leurs talents pour remonter aux sources de leur musique à travers un album exceptionnel, enregistré en acoustique et en plein air. Inna de Yard – littéralement « in the yard » – signifie « dans la cour ». C’est là qu’ont vu le jour et se sont développées des musiques jamaïcaines tels que le ska, le rocksteady et, bien sûr, le reggae. La cour où les vingt musiciens se sont retrouvés durant quelques jours pour enregistrer ce disque extraordinaire n’est autre que la terrasse d’une maison perchée sur les hauteurs de Kingston, au coeur de la luxuriante nature jamaïcaine.
Avec Daniele Parisi, Silvia D'Amico, Anna Bellato...
Le saviez-vous ? Pour le réalisateur, L'Ospite est l'occasion d'aborder une masculinité en crise face à une nouvelle gent féminine, éloignée de la figure maternelle traditionnelle : "A cet égard, j’ai pensé que le fait de parler du désir d’être parent du point de vue de l’homme apporterait une dimension supplémentaire à l’intrigue, en renversant les stéréotypes qui, il y a quelques années encore, paraissaient immuables. J’ai fait ce choix non pas tant pour l’originalité de la narration, que par désir de représenter les dynamiques contemporaines des relations".
Sur la peau de Srinath Christopher Samarasinghe
Avec Mélanie Peyre, Edgar Sekloka, Massimo Bellini...
Le saviez-vous ? Pour Sur la peau, Srinath Christopher Samarasinghe s'est inspiré de plusieurs histoires réelles qu'il a entendu chez des personnes qui lui sont proches. Le metteur en scène a ainsi été témoin d'une scène où le dépôt de plainte n'a pas été pris en compte... Il se rappelle : "C'était, il est vrai, une autre époque, le début des années 2000, mais ça m'a marqué. Une histoire m'a aussi marqué, une amie qui ne se souvenait que de l'odeur du violeur. Je suis sensible à la notion d'injustice pour des raisons personnelles et le sujet s'est imposé à moi de cette manière."