De quoi ça parle ?
César et Isabelle Mendès forment un couple volcanique depuis presque vingt ans. Il n'est donc pas étonnant que leur divorce se transforme en catastrophe naturelle, avec dommages collatéraux pour leur entourage, à commencer par leurs trois enfants. Elle veut la garde exclusive des enfants ? Lui aussi ! Le juge des affaires familiales leur impose donc une garde alternée, le temps de faire une médiation et de trouver un accord "à l'amiable"... Et c'est loin d'être gagné car quand il s'agit de piéger l'autre, les Mendès ne sont jamais à cours d'imagination. À l'arrivée, pour un couple qui se sépare, ils sont bien obsédés l'un par l'autre. Iront-ils suffisamment loin pour admettre qu'ils s'aiment encore ?
Tous les jeudis soirs sur M6 depuis le 6 décembre. 6 épisodes de 52 minutes.
CE QU'EN PENSE LA PRESSE ...
Selon Le Parisien :
"Un nouveau casting, plus de personnages, des scènes et dialogues aussi jubilatoires." 4/5
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Selon Télé 7 Jours :
"Vouloir adapter en série le diptyque Papa ou maman était une gageure. Pari risqué, mais totalement réussi pour M6. Dialogues percutants, situations cocasses s’enchaînant à un rythme effréné, le tout servi par une troupe d’acteurs épatants. On en redemande pour notre plus grand plaisir…." 4/5
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Selon 20 Minutes :
"Après deux premiers épisodes parfois un peu poussifs, on rentre dans le vif des personnages au troisième épisode et on rigole bien dans cette série." 3,5/5
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Selon Ouest France :
"Cette revisite de Papa ou maman n’est pas aussi transgressive. C’est plutôt une broderie (en six épisodes de 52 minutes) sur le thème de Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis. Mais elle parle aussi de mixité sociale et du décalage des générations (à travers une grand-mère soixante-huitarde très libérée, jouée par Fanny Cottençon). Parfois lourdingue. Mais dans l’ensemble, on passe un bon moment avec cette famille déjantée." 3,5/5
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Selon Pure Médias :
"Pour sa nouvelle offensive dans la fiction, M6 a choisi de se réfugier dans un genre qui lui est propre : la comédie satirique qui ne s’interdit aucun gag — même téléphoné, vulgaire ou cracra. Des schémas familiaux conservateurs aux situations classiques, tout y est exacerbé et improbable, mais aussi volontiers bête et méchant… donc souvent drôle." 3/5
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