23 mètres : c’est la longueur du mégalodon, requin préhistorique qu’affronte Jason Statham dans le film En eaux troubles (The Meg en VO). Ce prédateur peuplerait les fonds marins et ne remonterait à la surface qu’en de très rares occasions. Dans la réalité, des fossiles trouvés par les scientifiques suggèrent que cette créature pouvait mesurer jusqu'à 20 mètres seulement. Ce n’est en tout cas pas le premier film qui s’intéressent à lui, puisqu’il y a déjà eu Shark Attack 3 : Megalodon ou encore Mega Shark vs Giant Octopus.
148 km/h : malgré sa taille impressionnante, le mégalodon du film se déplace à une vitesse folle de presque 150 km/h – il est donc plus rapide que le guépard (120 km/h).
1 an : c’est le nombre temps qu’il a fallu à l’équipe technique pour développer le design du requin. Alors que dans le livre dont En eaux troubles est adapté il s’agissait d’un mégalodon albinos, celui du film porte une robe grise qui lui donne un aspect préhistorique.
5 rangées : avec sa gueule béante, le mégalodon posséderait 5 rangées de dents. Et chacune d’entre elles mesurerait l’équivalent d’une main humaine. La plus grande atteindrait les 20 centimètres. Bref, on n’aimerait pas se faire croquer par lui.
2 millions d’années : selon les chercheurs, les mégalodons auraient peuplé les océans il y a deux millions d’années. Ils ont disparu de la surface de la Terre, sauf pour quelques fans qui affirment que certains de ces requins préhistoriques continueraient de vivre dans les tréfonds de l’océan, là où peu de personnes n’ose s’aventurer
11 000 mètres : dans le film, les scientifiques utilisent un submersible capable de descendre très loin dans les entrailles de la Terre. Dans la réalité, peu d’hommes ont réalisé cet exploit… et parmi eux, James Cameron en 2012 avec l'expédition Deepsea Challenge. Le réalisateur de Titanic et Avater a parcouru précisément 11,2 km pour atteindre la fosse des Mariannes, près du Japon.
22 fois : Afin de préparer son film comme il se doit, la productrice Belle Avery s’est rendue en Chine 22 fois. A chacun de ses voyages, la douane lui demandait d’où venait la dent de mégalodon de 17 cm qu’elle avait dans son sac.
150 millions de dollars : c’est le budget conséquent d’En eaux troubles, ce qui en fait l’un des films de requins les plus chers de l’histoire du cinéma américain. A titre de comparaison, Les Dents de la mer avait coûté 8 millions et Peur bleue, qui détenait le record, 60 millions de dollars. Le long-métrage est réalisé par Jon Turteltaub, à qui l’on doit Phénomène, Benjamin Gates ou encore L’Apprenti sorcier.