S'il y a avait un peu de Buñuel dans The Lobster, Mise à mort du cerf sacré chasse sur les terres de Kubrick, comme nous l'avions souligné à l'issue de sa projection cannoise. Des influences que Colin Farrell, qui retrouve Yorgos Lanthimos pour la deuxième fois d'affilée, ne nie pas, tout en précisant que le cinéaste sait aller au-delà pour créer "son propre langage cinématographique". Des propos validés par Barry Keoghan, la révélation du long métrage qui découvrait l'univers du réalisateur grec à cette occasion.
"Mise à mort du cerf sacré" sortira le 1er novembre dans nos salles :