Créée par le génial Aziz Ansari, Master of None, la sitcom aux relents autobiographiques débutée en 2015, avait charmé les spectateurs par ses situations cocasses, son ton volontiers décalé et le talent certain de son showrunneur / acteur, finalement pas si bon à rien :
Après dix épisodes de pérégrinations new-yorkaises, c'est en Italie que nous retrouvons le cinéphile Dev Shah au début de cette seconde saison, dans un noir et blanc exquis qui rend hommage aux classiques néoréalistes transalpins :
"Classiques italiens à visionner"
Parce que l'on ne change pas une recette qui fonctionne, cette deuxième saison reprend ce qui a fait le succès de la série, soit une mise en scène plus que soignée... :
… ses situations drolatiques... :
… sans oublier la place prépondérante accordée à la nourriture au cœur du récit :
En résumé, un second acte plus que maîtrisé, voire supérieur à son aîné ?
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