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    "Miss Peregrine et les enfants particuliers" ou la recette Burton en 5 ingrédients
    Thomas Imbert
    Thomas Imbert
    -Chef de rubrique - Infotainment
    De la Terre du Milieu aux confins de la galaxie Star Wars en passant par les jungles de Jurassic Park, il ne refuse jamais un petit voyage vers les plus grandes sagas du cinéma. Enfant des années 90, créateur des émissions Give Me Five et Big Fan Theory, il écrit pour AlloCiné depuis 2010.

    En salles depuis le 5 octobre, le dernier film de Tim Burton semble convoquer à lui tout seul les ingrédients majeurs de son univers. A travers les yeux de "Miss Peregrine et des enfants particuliers", retour sur le monde magique du cinéaste...

    Les monstres

    Twentieth Century Fox France

    Grand fan des films de monstres qui, tels King Kong ou Frankenstein, ont hanté les premiers pas du cinéma, Tim Burton leur a bien souvent rendu hommage tout au long de sa carrière. Ses longs et ses courts sont ainsi peuplés d’un bestiaire particulièrement bien fourni : des vers des sables dans Beetlejuice, des extra-terrestres dans Mars Attacks, une sorcière et un géant dans Big Fish, des vampires dans Dark Shadows, un chien mort-vivant dans Frankenweenie, sans parler du Jabberwocky d’Alice au pays des merveilles et des créatures inventées par Ed Wood (film qui est d’ailleurs à lui tout seul une déclaration d’amour aux monstres du grand écran)…

    Walt Disney Pictures

    Miss Peregrine n’est pas en reste puisqu’on y croise les terrifiants Creux, sortes de grands croque-mitaines désarticulés, avec pour tout visage une gueule béante remplie de tentacules, et qui sont invisibles pour le commun des mortels. En d’autres termes, vous ne risquez pas de les voir arriver…

    "Miss Peregrine et les enfants particuliers" : un film monstrueux, donc...

     

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