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    Les commandements du "Vigilante"

    Alors qu'Eli Roth prépare un remake d'Un justicier dans la ville avec Bruce Willis, retour sur quelques règles de vie du "vigilante"...

    "Pas de bol" tu t'appelleras

    Devenir un bon vigilante, c'est beaucoup plus simple qu'on ne pourrait le croire, et certains aspects sont même accessibles à tout le monde, à commencer par le manque de chance total et la capacité à se trouver au mauvais endroit au mauvais moment, élevé au rang d'art de vivre par John McLane dans la saga Die Hard. Pour en revenir auxvigilantes, rien ne prédestine le personnage principal à tourner de la sorte, jusqu'à l'incident qui va faire office de tournant dans l'intrigue en même temps qu'il va déclencher une furie vengeresse d'une ampleur dont personne ne se doutait avant. Et en matière de "pas de bol", il y a deux écoles : être soi-même victime d'une aggression, ou voir sa famille la subir (non sans prendre quelques coups au passage). Pour illustrer le premier exemple, prenons un exemple de poids : Steven Seagal. Passé maître dans l'art de la manchette et du cassage de bras à mains nues, l'acteur s'est mué en vigilante dansEchec et mort (big up à ceux qui ont traduit Hard to Kill de la sorte) après avoir passé sept ans dans le coma, suite à la tentative d'assassinat commise envers le témoin gênant qu'il était. 

    DR

    Dans la deuxième catégorie, les exemples ne manquent pas non plus, le plus célèbre étant celui de Charles Bronson dans Un justicier dans la ville : s'il n'a pas assisté au viol et à la torture de sa femme et sa fille, il va bien vite faire comprendre aux agresseurs qu'on ne plaisante pas avec un homme d'affaires tel que lui, et que la chance peut rapidement tourner en sa faveur. 

    Moralité : un bon vigilante, c'est quelqu'un qui n'a pas de chance à la base, mais qui sait faire changer la donne (à grands renforts d'armes, certes). 

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