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    Cannes 2016 : Café Society lance le Festival en beauté

    Un an après avoir dévoilé L'Homme Irrationnel en Hors Compétition - forcément - Woody Allen est de retour à Cannes avec Café Society. Un vent de nostalgie souffle sur la Croisette...

    En bref

    De quoi ça parle ?

    New York, dans les années 30. Coincé entre des parents conflictuels, un frère gangster et la bijouterie familiale, Bobby Dorfman a le sentiment d'étouffer ! Il décide donc de tenter sa chance à Hollywood où son oncle Phil, puissant agent de stars, accepte de l'engager comme coursier. À Hollywood, Bobby ne tarde pas à tomber amoureux. Malheureusement, la belle n'est pas libre et il doit se contenter de son amitié. Jusqu'au jour où elle débarque chez lui pour lui annoncer que son petit ami vient de rompre. Soudain, l'horizon s'éclaire pour Bobby et l'amour semble à portée de main…

    Woody Allen et Cannes

    C'est bien connu, Woody Allen n'aime pas la Compétition. C'est donc Hors-Compétition qu'il créé l'évènement. Depuis Manhattan en 1979, il a monté les marches à 14 reprises, dont trois fois pour l'ouverture du festival : Hollywood Ending en 2002, Midnight in Paris en 2011 et son Café Society cette année. 

    Les bonnes raisons de voir le film selon la Rédac'

    • Parce que ce cru Allenien a le charme suranné des films de l’Âge d’Or Hollywoodien et qu’il se dégage de ce Café Society un doux parfum de nostalgie.
    • Parce que Jesse Eisenberg est un formidable alter ego de Woody. Diction, posture, mimiques, gestuelle... La ressemblance est frappante et le résultat à l'écran fonctionne merveilleusement bien.
    • Parce que l'entendre clamer "La vie est une comédie écrite par un auteur sadique" est purement jubilatoire...
    • Parce que Kristen Stewart illumine l’écran, sublimée ici par la photo de Vittorio Storaro, dont c’est aussi la première collaboration avec le réalisateur.
    • Parce que Woody Allen, tout simplement.

    "Café Society" sur Twitter

    ("Café Society est le meilleur Woody de ces dernières années. Direction artistique exquise, super performance de Kristen Stewart, film d'ouverture très solide.")

    La revue de presse

    • Marilyne Letertre / Metronews : "Grinçant mais aussi romantique et élégant : l’équation parfaite pour ouvrir le Festival de Cannes en beauté !" Lire la critique complète
    • Aurélien Allin / Cinemateaser : "Café Society est visuellement l’un des Woody Allen les plus somptueux : la lumière chaude, presque irréelle, concoctée par Vittorio Storaro sied à merveille au miroir aux alouettes dépeint par Allen. Le découpage est minutieux (...) Alors pourquoi peine-t-on autant à adhérer à cette nouvelle comédie grinçante ? Peut-être parce que (...) Café Society manque au final cruellement d’enjeux émotionnels." Lire la critique complète
    • Pierre Murat / Télérama : "Chez Woody, aujourd'hui, comme chez Lubitsch hier, tout con­sole. Tout vivifie. Les dialogues fusent sans forcément se raccrocher à la facilité des jeux de mots (...) Dans ce film cruel et bril­lant, la subtilité et l'harmonie avancent masquées..." Lire la critique complète
    • Peter Bradshaw / The Guardian : "Café Society est un film doux, triste, un jeu d'esprit léger, agréable, charmant et magnifiquement photographié par Vittorio Storaro mais également un film toujours plombé par une nostalgie pédante pour les années 30 et l'âge d'or d'Hollywood et de New York." Lire la critique complète
    • Todd McCarthy / The Hollywood Reporter : "Il n'y a rien de caustique dans l'approche de Woody Allen: comme toujours, ses personnages sont gorgés de névroses, de désirs soudains et empreints d'indécision et n'aiment rien de mieux que verbaliser tout cela (...) La recette est connue et visible, mais Allen sait encore et toujours comment la composer pour en tirer un effet raisonnable." Lire la critique complète

    Rencontre avec Woody Allen... 

     

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