© Gaumont Columbia Tristar Films
De quoi ça parle ?
Pour sa première mission, James Bond affronte le tout-puissant banquier privé du terrorisme international, Le Chiffre. La très belle Vesper, attachée au Trésor, l'accompagne afin de veiller à ce que l'agent 007 prenne soin de l'argent du gouvernement britannique qui lui sert de mise, mais rien ne va se passer comme prévu. Alors que Bond et Vesper s'efforcent d'échapper aux tentatives d'assassinat du Chiffre et de ses hommes, d'autres sentiments surgissent entre eux, ce qui ne fera que les rendre plus vulnérables...
Ca passe quand ?
Ce dimanche 2 mars à 20h45 sur France 2.
5 bonnes raisons de (re)voir "Casino Royale" :
1/ Un nouveau visage : Casino Royale marque les débuts de Daniel Craig dans les habits du célèbre 007. Pourtant, le choix de l’acteur est loin d’avoir fait l’unanimité lors de son annonce puisque cette décision a été critiquée par de nombreux fans de la franchise. Finalement, la plupart de ces critiques se sont tues lors de la sortie du film.
2/ Les origines de la saga : C’est la première fois que nous découvrons les origines du personnage imaginé par Ian Fleming : nous assistons à son premier meurtre orchestré par le MI6 dès la scène d'ouverture et suivons ensuite son apprentissage du dur métier d'agent secret muni d'un permis de tuer.
© Gaumont Columbia Tristar Films
3/ Une James Bond Girl made in France : L’histoire d’amour entre James Bond et les actrices françaises ne date pas d’hier. C’est d’ailleurs pour perpétuer cette tradition que Eva Green a été choisie, incarnant au passage le premier amour du célèbre agent secret. Méconnue du grand public alors, l'actrice a acquis une notoriété internationale grâce à ce rôle.
4/ Un méchant charismatique : C’est Mads Mikkelsen, vu dans Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising et plus récemment la série Hannibal, qui incarne le redoutable Le Chiffre. Son physique atypique et menaçant créée un danger constant, en contraste avec sa voix douce et calme. Ce méchant avait déjà été incarné, par Orson Welles, dans Casino Royale, une parodie datant de 1967 avec Peter Sellers.
5/ Un changement de style : Chaque interprète de Bond a apporté sa patte à la saga. Avec Craig, 007 est devenu plus sombre, parfois violent même. En témoignent les nombreuses scènes d’action, filmées à l’épaule dans un rythme très soutenu, où chaque coup porté fait véritablement mal.
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