Grand Central de Rebecca Zlotowski
Avec Tahar Rahim, Léa Seydoux, Olivier Gourmet...
Un Certain Regard
De quoi ça parle?
En galère d'argent, Gary décroche un emploi dans une centrale nucléaire. Le jour, il est soumis aux dangers permanents des doses radioactives et des produits chimiques. La nuit, il entretient une relation adultère avec la jolie Karole, fiancée à un de ses collègues...
Ce qu'il faut savoir
En 2010, Rebecca Zlotowski présentait son premier film, Belle épine, à la Semaine de la Critique. Trois ans plus tard, la jeune femme a grimpé les échelons et c'est désormais à Un Certain Regard qu'elle concourt avec Grand Central, histoire d'amour, de nouveau départ et de danger nucléaire. Pour l'occasion, elle retrouve sa comédienne Léa Seydoux (également présente en compétition avec La Vie d'Adèle) et offre le premier rôle au Prophète Tahar Rahim (dirigé pour la première fois par une femme). Denis Ménochet et Olivier Gourmet complètent le casting de ce film puissant, tourné dans une vraie centrale nucléaire autrichienne, désaffectée avant d'avoir jamais servi...
Ce qu'en pense la presse
Aurélien Ferenczi / Télérama : "Avec brio, le deuxième film de Rebecca Zlotowski (Un Certain Regard) raconte à la façon des maîtres du réalisme français une passion interdite aux abords d'une centrale nucléaire. Les comédiens (Léa Seydoux, Tahar Rahim, Oliver Goumet...) sont exceptionnels."
Xan Brooks / Guardian : "Tahar Rahim livre une performance complexe et irrésistible. [...] Le film sent le tabac et la sueur, mais n'est pas aussi costaud qu'il voudrait nous le faire croire. Le drame, en effet, ne se porte pas toujours bien. La faute à une sous-intrigue romantique qui l'affaiblit."
Olivier Bonnard / Le Nouvel Observateur : "Dès les premiers plans, la cinéaste [...] nous attrape par le col pour ne plus nous lâcher. [...] Avec Grand Central, [...], romance filmée comme un thriller, la jeune Rebecca Zlotowski (33 ans) confirme qu’elle est, déjà, une grande cinéaste."
Lee Marshall / Screen : "L'idée de départ est bonne, il y a de la grâce, du drame et de la poésie, mais l'histoire et les personnages sont trop esquissés pour vraiment nous emporter. [...] Léa Seydoux irradie d'énergie sexuelle, comme un réacteur en fusion..."
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