Screen : "Le quatrième long métrage du réalisateur mexicain est de loin son oeuvre la plus embarrassante, même si par certains aspects, elle est l'une de ses plus communes." (Jonathan Romney)
Libération : "Le film, curieusement qualifié de «surréaliste» ou de «dadaïste» par plusieurs journaux anglo-saxons, met à l’épreuve notre propre résistance face à la liberté impérieuse d’un artiste qui n’écoute plus personne si ce n’est la voix intérieure suraiguë qui le guide dans l’épais maquis de bouffées visionnaires, d’accès de poésie plastique et de crise de vulgarités." (Didier Péron)
La Croix : "Volonté de trop embrasser, trop appuyer, trop étirer dans ce qui confine à la surcharge. On quitte ce film-là sur un paradoxe : dubitatif sur ce que l’on a vu et cependant habité par ce qui en émane." (Arnaud Schwartz)
L'Express : "Si en soi, le film de Carlos Reygadas présenté ce jeudi a tout à fait sa place dans le laboratoire cannois, l'audace plastique du réalisateur mexicain semble cette fois tourner à vide." (Emmanuel Cirodde)
Le Monde : "A l'instar de Dédale et du Minotaure, Reygadas a enfermé l'œuvre féroce dans le labyrinthe et nous en sommes encore à chercher le fil d'Ariane." (Jacques Mendelbaum)