20 minutes : Ce film très rock'n roll avait quelque chose de revigorant comme un bon coup de gnôle par un matin frileux. (Caroline Vié)
Screen : Si le film placera Hillcoat du côté des réalisateurs commerciaux, il manque la poésie qu’il avait jusqu’ici insufflé à The Proposition et The Road et la qualité des films de gangsters des années trente. (Mike Goodridge)
Métro : John Hilcoat n'a ni la patte naturaliste d'un Terrence Malick, ni la folie douce des frères Coen. L'image est léchée, le scénario alterne scène de violence et passages intimistes de façon un peu systématique. Mais Des hommes sans loi séduit grâce à son excellent casting. (Jérôme Vermelin)
The Hollywood Reporter : Si Des hommes sans loi atteint les dimensions mythiques des grands films de gangsters, il n’en est pas moins un grand divertissement. (David Rooney)
Le Figaro : Schématique dans sa manière d’opposer la douceur lumineuse des femmes à la violence des hommes (…) « Des hommes sans loi » n’atteint jamais la dimension mythologique à laquelle il aspire frénétiquement, lorgnant l’élégiaque et autrement plus réussi « Assassinat de Jesse James ». (…) Au fond, le vrai problème du film, c’est qu’il n’a pas grand-chose à dire. (Olivier Bonnard)