De quoi ça parle ?
Milan, 2030 : il y a huit ans, l'agence d'espionnage indépendante Citadel a été détruite par le puissant syndicat ennemi Manticore. Depuis, Diana Cavalieri (Matilda De Angelis), un agent infiltré de Citadel, est seule, piégée derrière les lignes ennemies en tant que taupe de Manticore.
Lorsqu'elle entrevoit enfin une issue et la possibilité de disparaître à jamais, le seul moyen d'y parvenir est de faire confiance à un allié des plus inattendus, Edo Zani (Lorenzo Cervasio), l'héritier de Manticore Italie et fils du chef de l'organisation italienne, Ettore Zani (Maurizio Lombardi), qui se dispute le leadership face aux autres familles européennes.
Citadel : Diana, une série créée par Alessandro Fabbri avec Matilda De Angelis, Lorenzo Cervasio, Maurizio Lombardin Julia Piaton…
C’est quoi ce spin-off italien ?
Première série dérivée de Citadel – soit la deuxième série la plus chère de l’Histoire, après Les Anneaux de Pouvoir – Citadel : Diana s’inscrit dans la directe lignée de la série-mère. Au programme : espionnage, action, trahisons, le tout en italien ! Cette nouvelle itération étend un peu la mythologie de Citadel, mais en s’intéressant d’un peu plus près à son ennemi direct, Manticore.
Portée par une héroïne badass – comme l’exige la charte de la franchise – Citadel : Diana devrait plaire aux amateurs de séries d'espionnage et de thrillers psychologiques qui ne demandent pas non plus d’intrigues trop complexes. Les fans de Citadel qui ont apprécié les intrigues farfelues et les rebondissements de l’originale trouveront dans le spin-off une expérience similaire, mêlant suspense, action et drame émotionnel.
Marco Ghidelli / AMazon MGM Studios
La série se distingue par son cadre italien unique et son exploration des dynamiques de pouvoir au sein des organisations secrètes. Matilda De Angelis a la lourde tâche de porter seule le poids de ce dérivé et de succéder à deux acteurs beaucoup mieux identifiés (Priyanka Chopra et Richard Madden).
Une fois passé un certain désarçonnement devant sa coupe asymétrique, on peut apprécier son jeu sobre et sans fioritures, et sa capacité à entrer immédiatement dans les scènes d’action. Citadel : Diana est donc un rendez-vous pour les fans de Citadel, et éventuellement ceux qui voudraient passer à l’italien !
