Mandibules (19 mai)
De quoi parle ce film ?
Jean-Gab et Manu, deux amis simples d’esprit, trouvent une mouche géante coincée dans le coffre d’une voiture et se mettent en tête de la dresser pour gagner de l’argent avec.
Pourquoi ça nous hype ?
Si vous aimez le cinéma de Quentin Dupieux et que vous avez raté votre chance de voir Mandibules au cinéma, alors c’est l’occasion de le rattraper en streaming ! Cette comédie un peu décalée permet à ses acteurs de se lâcher dans leur jeu et de montrer une facette d’eux qu’on ne connaissait pas, à l’instar d’Adèle Exarchopoulos qui prouve ici qu’elle peut être particulièrement drôle.
The Fabelmans (22 mai)
De quoi parle ce film ?
Portrait profondément intime d’une enfance américaine au XXème siècle, The Fabelmans de Steven Spielberg nous plonge dans l’histoire familiale du cinéaste qui a façonné sa vie personnelle et professionnelle. À partir du récit initiatique d’un jeune homme solitaire qui aspire à réaliser ses rêves, le film explore les relations amoureuses, l’ambition artistique, le sacrifice et les moments de lucidité qui nous permettent d’avoir un regard sincère et tendre sur nous-mêmes et nos parents.
Pourquoi ça nous hype ?
Film le plus intimiste de son réalisateur, The Fabelmans raconte en filigrane la jeunesse de son créateur. Steven Spielberg y parle avant tout de son art, de sa passion, partage ses techniques, tout en filmant des morceaux de vie. Ce long-métrage a laissé les critiques sans voix en lui octroyant l’excellente note de 4,9/5…
Atlas (24 mai)
De quoi parle ce film ?
Brillante analyste de données, Atlas Shepherd est misanthrope et se méfie totalement de l’intelligence artificielle. Tandis qu’elle se lance dans une mission destinée à capturer un robot rebelle, elle comprend qu’elle a déjà eu affaire à cette mystérieuse machine par le passé. Alors que la mission ne se déroule pas comme prévu, il ne reste plus à Atlas qu’à faire enfin confiance à l’IA si elle veut sauver l’avenir de l’humanité...
Pourquoi ça nous hype ?
Si Netflix sort assez souvent des films moyens, la plateforme s’en sort plutôt bien avec ses productions de science-fiction. En se basant sur la bande-annonce d'Atlas, les effets spéciaux ont l’air assez léchés pour que les abonnés puissent passer un bon moment devant. Ajoutons aussi le fait qu'il est porté par Jennifer Lopez et qu’elle a déjà fait ses preuves sur la plateforme. C’est le carton assuré du mois de mai.
Eric (30 mai)
De quoi parle cette série ?
New York, années 1980. Après la disparition d'Edgar, son fils de neuf ans, sur le chemin de l'école, Vincent se lance dans des recherches désespérées. Considéré comme l'un des meilleurs marionnettistes de la Big Apple, créateur d'une émission pour enfants très populaire, Vincent essaie de supporter l'absence de son fils, mais rongé par le chagrin, peu à peu il perd pied.
Pourquoi ça nous hype ?
Parce que Benedict Cumberbatch. L’acteur anglais choisit ses projets avec soin, préférant le plus souvent des rôles de composition (comme dans The Power of the Dog). Dans Eric, c’est l’aspect polar et twist fantastique qui semblent lui avoir plu. Car si le postulat de départ est la disparition d’un enfant, la série prend ensuite une direction plutôt inattendue, pour mieux montrer la douleur de ce père de famille. Ces 6 épisodes, par les producteurs de Chernobyl, vont nous faire passer par toutes les émotions.
Ni Una Mas (le 31)
De quoi parle cette série ?
À 17 ans, Alma en a bientôt fini avec le lycée. Elle connaît depuis l'enfance ses amies Greta et Nata avec qui elle partage tout, des sorties aux ennuis typiques de leur âge : le sentiment d'exclusion, la jalousie, les problèmes avec les parents et même les relations toxiques. Mais quand le profil @Iam_colemanmiller publie sur les réseaux sociaux une photo avec la légende : "Ça, c'était moi avant qu'on me viole", plus rien ne semble normal et tout bascule. Comment et quand cette agression s'est-elle produite ? Qui se cache derrière ce profil ? Cette allégation est-elle vraie et si oui, qui en est la victime ?
Pourquoi ça nous hype ?
Netflix n’a fait aucune promotion autour de cette série mais elle fait partie de ces productions qui n’ont pas besoin de ça pour fonctionner. Ni Una Mas (Raising Voices) a tous les ingrédients pour devenir un énorme carton. On sait que les abonnés français sont férus de séries espagnoles, surtout quand elles mettent en scène une jeunesse esseulée, comme dans Elite.