Après Halloween et L'Exorciste, un autre classique de l'horreur fait peau neuve : La Malédiction. À une différence près, car si les deux sagas précédentes ont eu droit à des suites, il s'agira là d'un prequel du film de Richard Donner, sorti en 1976 et dans lequel un ambassadeur des États-Unis à Londres réalise que son fils n'est autre que la réincarnation de l'Antéchrist.
18 ans après le remake risible de John Moore, la franchise horrifique reviendra dans nos salles le 10 avril. Sous la houlette de la réalisatrice Arkasha Stevenson, qui avait travaillé sur les séries Legion, Channel Zero ou Brand New Cherry Flavor jusqu'ici. Et il va visiblement falloir retenir son nom, au vu des premières critiques positives sur le film.
("Eh bien. C'est quelque chose La Malédiction : l'origine. Terrifiant, avec une incroyable performance de Nell Tiger Free, et l'une des plus belles photos que j'aie vues dans le cinéma d'horreur depuis longtemps. Beaucoup de scènes et de choix très inspirés. J'ai vraiment aimé.")
("La Malédiction : l'origine m'a stupéfiée. Un regard très réfléchi et bouleversant sur les agressions sexuelles au sein de l'Église catholique, tout en conservant la tension du film original. Voilà le film d'horreur religieux que j'attendais. Extrêmement répugnant. Avec un hommage à Possession auquel je mets 10/10.")
("La Malédiction : l'origine est assez efficace. Le rythme est un peu en-dedans lors de la première moitié, mais il y a des moments plutôt troublants et sauvages au fur et à mesure que le récit progresse - dont un plan que je suis étonné d'avoir pu voir dans un film, et qui est si dingue à voir que le public a applaudi. Nell Tiger Free est vraiment géniale dedans.")
Un regard très réfléchi et bouleversant sur les agressions sexuelles au sein de l'Église catholique, tout en conservant la tension du film original
("Je n'attendais pas grand-chose de La Malédiction : l'origine, mais c'est un prequel digne du classique de Richard Donner sorti en 1976. Excellents design sonore et photographie. Avec de sacrés bons moments d'effroi.")
("La Malédiction : l'origine est un mélange de Rosemary's Baby et The Handmaid's Tale. C'est dérangeant et sombre. Ça ressemble davantage à un film européen qu'à une production hollywoodienne. Nell Tiger Free est fascinante. Même si cela fait un moment que je n'ai pas vu le film de 1976, celui-ci me l'a rappelé.")
La Malédiction : l'origine est un mélange de Rosemary's Baby et The Handmaid's Tale
("La Malédiction : l'origine tape plus fort que je n'aurais pu l'imaginer. Vicieuse et impitoyable, Arkasha Stevenson a créé un magnifique cauchemar qui vous poussera dans vos retranchements. Nell Tiger Free délivre également l'une de mes performances préférées de l'année.")
("La Malédiction : l'origine : saint enfer ! J'aurais attendu un film d'horreur aussi macabre et impénitent de la part d'un petit studio, pas de la Fox. Graphique, macabre et avec un hommage appuyé à Possession.")
C'est un peu inégal et prévisible, mais quand ça frappe, ça frappe fort
("La version de 1976 de La Malédiction contenait des scènes effrayantes et controversées, L'Origine met la barre encore plus haut. Le film est un prequel digne de l'original. Il est effrayant, étrange et troublant. Une scène va forcément faire parler les gens.")
("La Malédiction : l'origine est plutôt solide. Gore et intense, avec un joli petit mystère. Il se fraye un chemin vers l'original d'une manière à la fois attendue et inattendue. C'est un peu inégal et prévisible, mais quand ça frappe, ça frappe fort. Déconseillé aux âmes sensibles ou aux estomacs fragiles.")
Interprété par Bill Nighy, Charles Dance ou encore Ralph Ineson, aux côtés de Nell Tiger Free, révélée par la série Servant, La Malédiction : l'origine sortira dans nos salles le 10 avril prochain.