Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode d’Ici tout commence diffusé lundi soir sur TF1 ! Si vous préférez ne rien savoir, passez votre chemin.
Lundi 29 avril dans Ici tout commence...
Constance veut que Teyssier démissionne
Après avoir posé un ultimatum à son mari - choisir entre leur couple et son poste de directeur à l’Institut - Constance a passé le week-end chez une amie. De retour à l’Institut, elle retrouve Teyssier qui l’attend devant l’infirmerie avec un bouquet de fleurs. Il lui présente ses excuses, regrettant de s’être braqué. Constance déclare ne pas avoir envie de se battre. Mais elle refuse de voir son époux s’isoler pour faire vivre son rêve du Bleupré. Teyssier promet de réfléchir à faire une pause dès qu’il aura régler la grève des élèves du Master.
D’autant que cette grève a pris de l’ampleur : elle s’est étendue aux autres promotions de l’Institut et a été relayée sur les réseaux par plusieurs grands chefs. Clotilde souligne que cela nuit à l’image de l’école. Mais Teyssier affirme avoir des arguments pour convaincre les élèves d’y mettre un terme.
Il se rend au Double A où tous les élèves du Master sont réunis. Ceux-ci revendiquent toujours le maintien du Master - que Teyssier comptait supprimer pour financer le Bleupré. Ce dernier leur confie cependant une attestation sur l’honneur qu’il gardera le Master pour au moins un an. Ensuite, il propose d’organiser un système d’alternance de la direction du restaurant du Bleupré. Chaque jeune chef du Master aura la possibilité de le diriger pendant deux mois en élaborant sa propre carte. Après avoir assuré qu’il comptait réparer ses erreurs, Teyssier laisse les élèves débattre de ses propositions entre eux.
Si Enzo est totalement satisfait par les propositions de Teyssier, Mehdi est sur la réserve. Il a du mal à faire confiance au directeur et le soupçonne de toujours vouloir mettre Anaïs à la tête du Bleupré. Cette dernière affirme qu’elle ne compte pas postuler. Au passage, elle se réconcilie avec Enzo. Dans tous les cas, tous les élèves sont d’accord pour arrêter leur grève.
De son côté, Teyssier parle des propositions qu’il a faites aux élèves du Master au reste du conseil pédagogique. Une fois qu’il est parti, Antoine déclare que son idée de roulement au Bleupré est très intéressante et enrichissante pour les élèves. Claire et Rose sont beaucoup moins enthousiastes par rapport aux méthodes de Teyssier. Clotilde suggère que chacun doit décider dans son coin s’il votera ou non pour lui lors du vote qui aura lieu mercredi.
Teyssier, quant à lui, retrouve sa femme dans le parc de l’Institut. La grève des élèves terminée, il lui promet que tout va rentrer dans l’ordre car ses collègues n’ont plus aucun levier pour le virer. Il propose ensuite à Constance de se retrouver en tête-à-tête la semaine suivante en vacances. Mais cela ne suffit pas pour Constance. Elle exprime son désir qu’il démissionne de son poste et qu’ils partent ensemble dans les Landes, là où ils avaient passé de très bons moments ensemble avant de se marier. Constance refuse de rentrer chez elle et suggère à son mari d’y réfléchir seul de son côté.
Plus tard, Teyssier fait visite aux élèves du Master, dont Enzo, Jude et Mehdi, les cuisines du Bleupré. Il les met au travail en les chargeant de commencer à réfléchir à des idées de menu. D’abord indécis, Mehdi finit par se laisser convaincre.
Dans la nuit, incapable de dormir, Teyssier se met à faire de la pâtisserie. Bérénice le surprend et suppose aisément qu’il n’arrive pas à fermer l’œil à cause de la situation entre Constance et lui. Bérénice pense qu’il devrait partir dans les Landes avec elle. Au même moment, le capitaine Brassac toque à la porte. Quand Teyssier lui ouvre, le policier lui annonce que le Bleupré a pris feu dans la soirée. Les causes de l’incendie sont encore inconnues, mais tout a brûlé…
Billie et Tom se retrouvent au club des célib’
Dans le parc, Billie et Maya discutent de la grève qui secoue l’Institut. Au fil de la discussion, Maya prend des nouvelles de Billie par rapport à sa rupture avec Tom. La jeune fille avoue être au fond du trou, tout en ayant conscience qu’elle doit assumer sa décision. Maya l’intègre officiellement dans son club des célibataires et de sortir avec eux en boîte le soir-même pour se changer les idées.
Plus tard, dans les vestiaires, Billie se rend compte que Léonard a fait la même proposition à Tom et que celui-ci a accepté. Même s’il propose de se retirer du club si cela la met mal à l’aise, Billie fait comme si ça ne la dérangeait pas.
Pendant le service, Tom sollicite Billie à cause d’un problème avec la machine à cartes. Il en profite pour souligner à quel point il trouve ça cool qu’ils puissent continuer à se parler et apprendre à devenir amis. Billie le freine tout de suite : elle préfère qu’ils fassent leur vie chacun de leur côté. En voyant que le ton monte, Léonard intervient. Il propose de décaler la soirée pour éviter que cela créé des problèmes entre eux. Tom déclare plutôt qu’il ne viendra pas.
Les talents de Leroy sont remis en cause
Dans le parc, Jasmine et David profitent de la grève pour chiller. Toutefois, David regrette de ne pas assister au cours de Leroy sur la cuisine moléculaire. Ce n’est pas le cas de Jasmine. Sans se douter que le principal intéressé l’entend, la jeune fille le critique, affirmant qu’il est simplement doué dans sa manière de faire de la cuisine et non en cuisine.
Une fois la grève finie, Jasmine, David, Jim et Thibault se rendent à l’Atelier pour le cours de Leroy. Celui-ci décide de changer son programme et propose un défi aux élèves : chacun d’entre eux va devoir réaliser un plat qu’il va devoir faire également en même temps.
À la fin de l’épreuve, Leroy et les élèves goûtent les assiettes de chacun pour les départager. À chaque fois, l’assiette de Leroy est nommée comme la meilleure… sauf face à celle de Jasmine. Le chef est obligé de s’incliner. Il glisse à la jeune fille qu’elle avait raison : il sait en mettre plein la vue, mais il ne sait pas sortir des assiettes d’un bon niveau en cuisine. Jasmine est soudain mal à l’aise.