Présenté et récompensé dans de nombreux festivals prestigieux, Past Lives - Nos vies d'avant est le premier film de l'Américaine Celine Song. Sortie cette semaine dans nos salles obscures, cette pépite émouvante sur l'amour et le déracinement a été très bien accueillie par la presse française, avec une moyenne de 4/5 (sur AlloCiné, pour 29 supports et à la date du 15 décembre).
DE QUOI ÇA PARLE ?
A 12 ans, Nora et Hae Sung sont amis d’enfance, amoureux platoniques. Les circonstances les séparent. A 20 ans, le hasard les reconnecte, pour un temps. A 30 ans, ils se retrouvent, adultes, confrontés à ce qu’ils auraient pu être, et à ce qu’ils pourraient devenir.
CE QU'EN PENSE LA PRESSE :
Selon GQ :
"Avec "Past Lives - Nos vies d'avant", Celine Song signe un premier film d'une délicatesse inouïe sur l'amour et le déracinement." (Adam Sanchez) 5/5
Selon L'Obs :
"En images pastel, une très jolie recherche du temps perdu, aussi émouvante qu’une fleur séchée dans un livre d’autrefois." (François Forestier) 4/5
Selon La Croix :
"La dramaturge américaine Celine Song signe un premier film d’une déchirante beauté, inspiré de sa propre histoire." (Corinne Renou-Nativel) 4/5
Selon Ecran Large :
"Avec Past Lives, Celine Song signe bien plus qu’un premier long-métrage sur les amours de jeunesse et la difficulté d'être immigré. La cinéaste livre une œuvre juste et désarmante sur l’importance de notre histoire et l’acceptation du temps qui passe pour parvenir à aller de l'avant." (Adrien Roche) 4/5
Selon Marianne :
"Cette fiction impressionniste et murmurée mérite de ne pas passer inaperçue dans le tumulte assourdissant des sorties de fin d’année." (Olivier De Bruyn) 4/5
Selon Transfuge :
"Le plus beau, c'est le mélange de précision, de retenue et de délicatesse dans le geste d'une cinéaste déjà extrêmement affirmée pour un premier film." (Serge Kaganski) 4/5
Selon Le Monde :
"Une histoire simple, vieille comme le monde que Past Lives revisite avec une précision de métronome, une délicatesse de maître horloger." (V. Cau.) 4/5
Selon Première :
"Dépouillé de tout artifice, ce drame sublimé d’une mise en scène intimiste fascine par son utilisation du vide, celui des mots qui n’ont pas été prononcés, des sentiments qui n’ont pas été éprouvés. Le regret est partout, la mélancolie omniprésente." (Lucie Chiquer) 3/5