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    Une note record de 4,4 sur 5 : il est sur le podium des meilleurs films de 2023 !
    Laurent Schenck
    Laurent Schenck
    -Journaliste rédacteur base de données
    Passionné par les films qui traitent de la criminalité au sens large, Laurent Schenck travaille sur la base de données cinéma du site. Ses missions sont les suivantes : la rédaction de biographies et secrets de tournage, l'enrichissement de castings/fiches techniques et la revue de presse.

    Palme d'or au dernier Festival de Cannes, "Anatomie d’une chute" de Justine Triet sort aujourd'hui en salles. Ses critiques presse sont dithyrambiques.

    Auréolé de la tant convoitée Palme d'or au Festival de Cannes 2023, Anatomie d'une chute sort aujourd'hui en salles. Réalisé par Justine Triet, qui signe son quatrième long métrage de fiction après La Bataille de Solférino, Victoria et Sibyl, ce thriller a été particulièrement bien accueilli par la presse française puisque sa moyenne est de 4,4/5 (pour 38 supports).

    Il s'agit même du meilleur film de cet été (dépassant Fermer les yeux sorti la semaine dernière) et du deuxième meilleur de l'année, juste derrière The Fabelman de Steven Spielberg et sa moyenne imparable de 4,9/5.

    Anatomie d’une chute
    Anatomie d’une chute
    Sortie : 23 août 2023 | 2h 31min
    De Justine Triet
    Avec Sandra Hüller, Milo Machado-Graner, Swann Arlaud
    Presse
    4,4
    Spectateurs
    4,1
    louer ou acheter

    DE QUOI ÇA PARLE ?

    Sandra, Samuel et leur fils malvoyant de 11 ans, Daniel, vivent depuis un an loin de tout, à la montagne. Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison. Une enquête pour mort suspecte est ouverte. Sandra est bientôt inculpée malgré le doute : suicide ou homicide ? Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, véritable dissection du couple.

    Anatomie d'une chute : est-ce que le film de Justine Triet, Palme d'or 2023, est inspiré d'une histoire vraie ?

    CE QU'EN PENSE LA PRESSE :

    Selon La Voix du Nord :

    "Enquête, procès, flash-back, confessions, culpabilisations… Justine Triet passe en revue une flopée de registres pour finalement dépasser les codes du thriller enneigé et tricoter un drame psychologique d’une richesse inouïe, où la justice n’est pas la seule à se perdre dans le vrai et le faux d’un couple usé, toxique et rancunier." (Christophe Caron) 5/5

    Selon Les Echos :

    "La palme d'or 2023 ouvre en beauté la rentrée du cinéma." (Adrien Gombeaud) 5/5

    Selon Libération :

    "Palme d’or de Cannes, Justine Triet réinvente les codes du thriller judiciaire en faisant d’un procès pour homicide le cadre d’une fascinante dissection de l’intimité conjugale." (Laura Tuillier) 5/5

    Selon Télé 7 Jours :

    "Une figure féminine rare au cinéma, magistralement interprétée par Sandra Hüller. Justine Triet n’a pas volé sa Palme d’or à Cannes." (Isabelle Magnier) 5/5

    Le Journal du Dimanche :

    "Une preuve de plus que le cinéma permet parfois de mieux saisir le réel. Et de mieux le ressentir." (Baptiste Thion) 5/5

    Selon CinemaTeaser :

    "Constamment sur le fil, tendu sur 2h30 comme un polar, mais profond comme une étude de caractère, magnifiquement mené par un casting parfait, Anatomie d'une chute fait vivre aux spectateurs les vertiges de la justice, le désordre d’une vie." (Renan Cros) 4/5

    Selon Le Figaro :

    "Une palme d’or magistrale." (Etienne Sorin) 4/5

    Selon Le Monde :

    "Les films de Justine Triet mettent au défi les comédiennes de jouer des êtres impurs, lorsque les vies intime et professionnelle de leurs personnages se télescopent avec fracas. Et, en matière de trouble et d’impureté, Sandra Hüller excelle." (Clarisse Fabre) 4/5

    Selon Première :

    "Tant de précision, d’intelligence dans le jeu au fil différentes langues (allemand, anglais, français) que son personnage parle, tant de puissance, tant de charisme n’écrasent jamais le film mais le propulsent encore plus haut." (Thierry Chèze) 4/5

    Selon Critikat.com :

    "C'est la limite du film : le scénario, rondement mené, n’est pas envisagé comme le catalyseur d’une mise en scène qui dépasserait son programme, mais comme une fin en soi." (Josué Morel) 3/5

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