Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
"La Fièvre", une passionnante plongée dans le monde d’aujourd’hui, sans fioriture, où une brindille peut enflammer la société.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Pauline Conradsson
En six épisodes captivants et à l’écriture ciselée, cette fiction, très réaliste, imagine comment la peur et l’enfermement communautaire, exacerbés par les réseaux sociaux, peuvent, par une simple étincelle, conduire à l’embrasement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Clélia Cohen
Remarquablement écrite et intelligente, "La fièvre" est haletante comme un polar psychologique...
Télérama
par Marjolaine Jarry
Portée par une salvatrice liberté intellectuelle et une soif de dialectique, une grande série sur le politique, qui nous percute autant qu’elle nous tire vers le haut.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
par Romain Nigita
Derrière ce captivant thriller sociétal d'une richesse inouïe, on reconnaît la patte du scénariste Eric Benzekri et du réalisateur Ziad Doueiri, le tandem de la toute aussi réussie "Baron noir".
Voici
par Alexandra Varin
Ce thriller social dans une France sous haute tension est tout simplement bluffant.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Aussi précise que romanesque dans son écriture, servie par une mise en scène efficace, "La fièvre" dresse un constat inquiétant tout en pointant une société avide de polémiques où la fiction semble se substituer au réel.
Le Point
par Julien Rebucci
Malgré de légers écueils, on décroche difficilement des six épisodes tant la trame principale de la série brille de justesse avec l'actualité entre crispation identitaire, faits divers et manipulation de masse sur les réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Le co-auteur de "Baron noir" récidive avec une série qui, par le prisme du football, scrute avec une rare hauteur de vue les batailles politiques qui traversent notre société et font monter la température.
Libération
par Olivier Lamm
Au fur et à mesure que s’élargit la fenêtre d’Overton sur le pire politique, "La Fièvre", comme enfiévrée par son audace, finit par jouir au fur et à mesure qu’elle fait tomber les tabous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Pauline Hohoadji
La série fait preuve d'une grande justesse et d'un réalisme bluffant, voire angoissant.
Télé Câble Sat
par La Rédaction
Les dialogues sont percutants et les acteurs remarquables !
Le Monde
par Thomas Sotinel
La part de réalisme de cette situation de départ, s’efface assez vite au profit d’une fiction spéculative, aussi détaillée qu’un mode d’emploi...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Stéphanie Gorlin
Le casting et les dialogues sont les atours de cette mini-fiction.
Première
par Jonathan Blanchet
Après "Baron noir", Eric Benzekri revient avec une série qui part du milieu du foot pour racoter la communication de crise et les luttes d'opinion. Aussi fascinante qu'angoissante, sa démonstration met malheureusement les émotions en sourdine.
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Comme "Baron noir", "La Fièvre" est surtout empreinte d’une étrange foi envers la chose politique qui, loin de rendre hyperréaliste ce qu’elle met en scène (alors même qu’elle brouille les cartes en mélangent un club de foot fictif avec des figures médiatiques réelles – Cyril Hanouna, Hervé Mathoux…), déréalise le récit.
Franceinfo Culture
"La Fièvre", une passionnante plongée dans le monde d’aujourd’hui, sans fioriture, où une brindille peut enflammer la société.
Le Parisien
En six épisodes captivants et à l’écriture ciselée, cette fiction, très réaliste, imagine comment la peur et l’enfermement communautaire, exacerbés par les réseaux sociaux, peuvent, par une simple étincelle, conduire à l’embrasement.
Marie Claire
Remarquablement écrite et intelligente, "La fièvre" est haletante comme un polar psychologique...
Télérama
Portée par une salvatrice liberté intellectuelle et une soif de dialectique, une grande série sur le politique, qui nous percute autant qu’elle nous tire vers le haut.
Téléstar
Derrière ce captivant thriller sociétal d'une richesse inouïe, on reconnaît la patte du scénariste Eric Benzekri et du réalisateur Ziad Doueiri, le tandem de la toute aussi réussie "Baron noir".
Voici
Ce thriller social dans une France sous haute tension est tout simplement bluffant.
Le Journal du Dimanche
Aussi précise que romanesque dans son écriture, servie par une mise en scène efficace, "La fièvre" dresse un constat inquiétant tout en pointant une société avide de polémiques où la fiction semble se substituer au réel.
Le Point
Malgré de légers écueils, on décroche difficilement des six épisodes tant la trame principale de la série brille de justesse avec l'actualité entre crispation identitaire, faits divers et manipulation de masse sur les réseaux sociaux.
Les Inrockuptibles
Le co-auteur de "Baron noir" récidive avec une série qui, par le prisme du football, scrute avec une rare hauteur de vue les batailles politiques qui traversent notre société et font monter la température.
Libération
Au fur et à mesure que s’élargit la fenêtre d’Overton sur le pire politique, "La Fièvre", comme enfiévrée par son audace, finit par jouir au fur et à mesure qu’elle fait tomber les tabous.
Télé 7 Jours
La série fait preuve d'une grande justesse et d'un réalisme bluffant, voire angoissant.
Télé Câble Sat
Les dialogues sont percutants et les acteurs remarquables !
Le Monde
La part de réalisme de cette situation de départ, s’efface assez vite au profit d’une fiction spéculative, aussi détaillée qu’un mode d’emploi...
Télé Loisirs
Le casting et les dialogues sont les atours de cette mini-fiction.
Première
Après "Baron noir", Eric Benzekri revient avec une série qui part du milieu du foot pour racoter la communication de crise et les luttes d'opinion. Aussi fascinante qu'angoissante, sa démonstration met malheureusement les émotions en sourdine.
Cahiers du Cinéma
Comme "Baron noir", "La Fièvre" est surtout empreinte d’une étrange foi envers la chose politique qui, loin de rendre hyperréaliste ce qu’elle met en scène (alors même qu’elle brouille les cartes en mélangent un club de foot fictif avec des figures médiatiques réelles – Cyril Hanouna, Hervé Mathoux…), déréalise le récit.