Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Elle
par Paul Sigognac
On est scotchés par Sharp Objects, la nouvelle série de l’été (…) Et qu'importe si le réalisateur canadien Jean-Marc Vallée (Big Little Lies) est meilleur dans l'édification de cette opacité que dans la résolution du mystère : on s'intéresse moins à l'enquête qu'au noir tumulte psychologique ou psychiatrique de Camille, notre soeur, notre double, la douloureuse incarnation de nos plus troubles cauchemars.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Inrockuptibles
par Iris Brey et Olivier Joyard
Réalisée par Jean-Marc Vallée (Big Little Lies), interprétée par une Amy Adams qui, à l’instar d’Elisabeth Moss dans The Handmaid’s Tale, y trouve le rôle de sa carrière, Sharp Objects est la série à ne pas rater cet été. En huit épisodes, elle dévoile au cœur de l’Amérique profonde un univers de violence inédit, fascinant et indélébile.
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Yahoo TV
par Ken Tucker
Sharp Objects est exactement ce que vous pouviez attendre d'elle. Et plus encore. Cette mini-série en 8 épisodes est un thriller effrayant, un mélodrame gothique (...) et combine tout avec une aisance qui semble naturelle (...) elle est très belle à regarder.
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Ecran Large
par Alexandre Janowiak
L'occasion pour Amy Adams de livrer une performance habitée et torturée étourdissante.
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L'Obs
par Sophie Grassin
Amy Adams est exceptionnelle dans cette série signée Jean-Marc Vallée où, dans une Amérique marquée par la violence, une femme affronte les fantômes de son passé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Ambitieuse, hypnotique et sensuelle adaptation de Sur ma peau - le premier roman de Gillian Flynn -, la nouvelle série de HBO (…) rappelle, voire sublime, les belles heures gothiques et poisseuses de True Detective . Ces huit épisodes donnent vie de façon saisissante aux antihéroïnes de l’auteur de Gone Girl.
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Le Monde
par Martine Delahaye
Au-delà du thriller, la série de Marti Noxon passionne par l’étude de ses personnages à fleur de peau.
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Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Dans Big Little Lies, il se dégageait une certaine lumière, servie par les magnifiques décors de la côte californienne. Ici, nous sommes au cœur des Etats-Unis, au sud du Missouri, et on passe davantage de temps enfermés dans la voiture de la journaliste qu'à admirer les paysages. Certes, l'atmosphère rend claustrophobe par moments mais une fois pris au piège, on ne veut plus en sortir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Charles Martin
oin, très loin de l'ambiance luxe, mensonge et volupté de Big Little Lies, cette adaptation très fidèle du roman de Gillian Flynn (à qui l'on doit aussi Gone Girl) va vous donner des sueurs froides. Dans la peau de cette journaliste complètement abîmée, Amy Adams apparaît plus sinistre que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Première
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Sharp Objects ne parvient pas à capturer précisément la prose de Flynn et la descente progressive du récit vers une désorientation complète de page en page, mais le réalisateur Jean-Marc Vallée réussit à trouver son propre langage qui, sublimé par la prestation férocément blessée d'Amy Adams, rend ces huit heures envoutantes et troublantes (...)
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Vanity Fair
par Sonia Saralya
Adams est une merveille de bout en bout, offrant une performance telle une plaie ouverte, après que l'accident ait eu lieu mais avant que cela commence à faire mal, juste avant que le sang ne se mette à couler.Throughout, Adams is a marvel, giving a performance like an open wound--after the damage has been done, but before it starts to hurt, right before the blood begins to well up. Throughout, Adams is a marvel, giving a performance like an open wound--after the damage has been done, but before it starts to hurt, right before the blood begins to well up. Throughout, Adams is a marvel, giving a performance like an open wound--after the damage has been done, but before it starts to hurt, right before the blood begins to well up. Throughout, Adams is a marvel, giving a performance like an open wound--after the damage has been done, but before it starts to hurt, right before the blood begins to well up.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
indieWIRE
par Ben Travers
Camille est un personnage littéralement recouvert de clichés mais Adams est tellement juste, remplie de nuances, qu'elle parvient à ne jamais la faire basculer dans la farce. Adams a confiance en son réalisateur, confiance en le scénario et elle se fait elle-même confiance. Sharp Objects est surtout construite avec des flashbacks mais elle est toujours très brûlante.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
Sharp Objects n’est pas une série champêtre pour l’été. C’est une série sombre avec des personnages torturés et suspects. Le rythme est assez lent mais la série donne suffisamment dans le premier épisode pour attiser la curiosité. (…) Ce n’est pas forcément le mystère du meurtre qui attire mais plus l’esthétisme de sa réalisation (un poil prétentieuse par moment, il est vrai, mais belle) et surtout Amy Adams et son personnage de Camille ainsi que sa relation tumultueuse avec sa mère.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Los Angeles Times
par Lorraine Ali
Comme le titre le suggère, la série de HBO touche plus profondément quand elle dramatise les enjeux autour des femmes, des agressions sexuelles, des mariages dysfonctionnels et de la maternité, la rendant particulièrement pertinente et difficile à regarder.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Magnifiquement construite par Noxon et Vallée, et inoubliable grâce à une distribution qui semble destinée à fouler les tapis rouges de toutes les cérémonies de récompenses à venir, cette série est un parfait successeur à The Night Of et Big Little Lies, dans la catégorie des mini-séries HBO obsédantes.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Sharp Objects n'est en aucun cas amusante, mais elle est faite de manière si remarquable qu'elle est aussi excitante que tragique.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
The A.V. Club
par Danette Chavez
Grandes performances de la part de Clarkson et Scanlen qui permettent de rendre la guerre froide qui règne au sein du foyer plus passionnante que l'enquête lente autour du meurtre, mais la distribution absolument parfaite menée par Adams est de toute façon son plus grand atout.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
The Oregonian
par Kristi Turnquist
Sharp Objects n'est peut-être une série que l'on a envie de regarder compulsivement, mais elle est bien meilleure que le film Gone Girl, avec sa propre atmosphère humide, sensuelle, hypnotisante.
La critique complète est disponible sur le site The Oregonian
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Un thriller qui prend son temps, poisseux, oppressant, avec une comédienne incandescente, Amy Adams (5 fois nommées aux Oscars), au sommet de son art. On y retrouve aussi la patte du réalisateur Jean-Marc Vallée, ses mouvements de caméra, sa façon méticuleuse de poser le décor, d'installer un climat, qui ont fait la réussite de Big Little Lies.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Pierre Langlais
Sharp Objects mêle brillamment thriller intense et drame psychologique troublant (...) Jean-Marc Vallée fait s’entrechoquer passé et présent dans une superbe mise en scène — dont les nombreux effets servent le récit —, sublimée par une photo subtile et une prise de son sensorielle, qui capte les moindres bruits de la campagne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
DailyMars
par Yann Kerjan
Pour un peu, HBO tiendrait presque là son mode opératoire fétiche. Après Big Little Lies l’an passé, voici venir une autre déclinaison d’un roman écrit par une femme autour de plusieurs personnages féminins, le tout porté à l’écran par Jean-Marc Vallée. Mais la comparaison tourne court et Sharp Objects d’évoquer plutôt une certaine True Detective, en bien comme en mal !
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
San Francisco Chronicle
par Peter Hartlaub
L'intrigue de Sharp Objects commence à tourner en rond aux alentours de la fin. Mais l'absence d'avancement narratif conséquent est une petite frustration qui se fait oublier grâce aux personnages extrêmement bien écrits. Adams réaffirme avec force qu'elle est l'une des meilleures actrices américaines.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Newsday
par Verne Gay
Il ne se passe rien dans Sharp Objects. La narration mise à part, on peut y trouver quelques plaisirs. La performance d'Amy Adams en est une.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
USA Today
par Kelly Lawler
C'est souvent une ennuyeuse, déprimante série qui donne l'impression d'exploiter la violence qu'elle montre. L'adaptation est décevante.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Elle
On est scotchés par Sharp Objects, la nouvelle série de l’été (…) Et qu'importe si le réalisateur canadien Jean-Marc Vallée (Big Little Lies) est meilleur dans l'édification de cette opacité que dans la résolution du mystère : on s'intéresse moins à l'enquête qu'au noir tumulte psychologique ou psychiatrique de Camille, notre soeur, notre double, la douloureuse incarnation de nos plus troubles cauchemars.
Les Inrockuptibles
Réalisée par Jean-Marc Vallée (Big Little Lies), interprétée par une Amy Adams qui, à l’instar d’Elisabeth Moss dans The Handmaid’s Tale, y trouve le rôle de sa carrière, Sharp Objects est la série à ne pas rater cet été. En huit épisodes, elle dévoile au cœur de l’Amérique profonde un univers de violence inédit, fascinant et indélébile.
Yahoo TV
Sharp Objects est exactement ce que vous pouviez attendre d'elle. Et plus encore. Cette mini-série en 8 épisodes est un thriller effrayant, un mélodrame gothique (...) et combine tout avec une aisance qui semble naturelle (...) elle est très belle à regarder.
Ecran Large
L'occasion pour Amy Adams de livrer une performance habitée et torturée étourdissante.
L'Obs
Amy Adams est exceptionnelle dans cette série signée Jean-Marc Vallée où, dans une Amérique marquée par la violence, une femme affronte les fantômes de son passé.
Le Figaro Magazine
Ambitieuse, hypnotique et sensuelle adaptation de Sur ma peau - le premier roman de Gillian Flynn -, la nouvelle série de HBO (…) rappelle, voire sublime, les belles heures gothiques et poisseuses de True Detective . Ces huit épisodes donnent vie de façon saisissante aux antihéroïnes de l’auteur de Gone Girl.
Le Monde
Au-delà du thriller, la série de Marti Noxon passionne par l’étude de ses personnages à fleur de peau.
Le Parisien
Dans Big Little Lies, il se dégageait une certaine lumière, servie par les magnifiques décors de la côte californienne. Ici, nous sommes au cœur des Etats-Unis, au sud du Missouri, et on passe davantage de temps enfermés dans la voiture de la journaliste qu'à admirer les paysages. Certes, l'atmosphère rend claustrophobe par moments mais une fois pris au piège, on ne veut plus en sortir.
Première
oin, très loin de l'ambiance luxe, mensonge et volupté de Big Little Lies, cette adaptation très fidèle du roman de Gillian Flynn (à qui l'on doit aussi Gone Girl) va vous donner des sueurs froides. Dans la peau de cette journaliste complètement abîmée, Amy Adams apparaît plus sinistre que jamais.
The Hollywood Reporter
Sharp Objects ne parvient pas à capturer précisément la prose de Flynn et la descente progressive du récit vers une désorientation complète de page en page, mais le réalisateur Jean-Marc Vallée réussit à trouver son propre langage qui, sublimé par la prestation férocément blessée d'Amy Adams, rend ces huit heures envoutantes et troublantes (...)
Vanity Fair
Adams est une merveille de bout en bout, offrant une performance telle une plaie ouverte, après que l'accident ait eu lieu mais avant que cela commence à faire mal, juste avant que le sang ne se mette à couler.Throughout, Adams is a marvel, giving a performance like an open wound--after the damage has been done, but before it starts to hurt, right before the blood begins to well up. Throughout, Adams is a marvel, giving a performance like an open wound--after the damage has been done, but before it starts to hurt, right before the blood begins to well up. Throughout, Adams is a marvel, giving a performance like an open wound--after the damage has been done, but before it starts to hurt, right before the blood begins to well up. Throughout, Adams is a marvel, giving a performance like an open wound--after the damage has been done, but before it starts to hurt, right before the blood begins to well up.
indieWIRE
Camille est un personnage littéralement recouvert de clichés mais Adams est tellement juste, remplie de nuances, qu'elle parvient à ne jamais la faire basculer dans la farce. Adams a confiance en son réalisateur, confiance en le scénario et elle se fait elle-même confiance. Sharp Objects est surtout construite avec des flashbacks mais elle est toujours très brûlante.
Brain Damaged
Sharp Objects n’est pas une série champêtre pour l’été. C’est une série sombre avec des personnages torturés et suspects. Le rythme est assez lent mais la série donne suffisamment dans le premier épisode pour attiser la curiosité. (…) Ce n’est pas forcément le mystère du meurtre qui attire mais plus l’esthétisme de sa réalisation (un poil prétentieuse par moment, il est vrai, mais belle) et surtout Amy Adams et son personnage de Camille ainsi que sa relation tumultueuse avec sa mère.
Los Angeles Times
Comme le titre le suggère, la série de HBO touche plus profondément quand elle dramatise les enjeux autour des femmes, des agressions sexuelles, des mariages dysfonctionnels et de la maternité, la rendant particulièrement pertinente et difficile à regarder.
RogerEbert.com
Magnifiquement construite par Noxon et Vallée, et inoubliable grâce à une distribution qui semble destinée à fouler les tapis rouges de toutes les cérémonies de récompenses à venir, cette série est un parfait successeur à The Night Of et Big Little Lies, dans la catégorie des mini-séries HBO obsédantes.
Rolling Stone
Sharp Objects n'est en aucun cas amusante, mais elle est faite de manière si remarquable qu'elle est aussi excitante que tragique.
The A.V. Club
Grandes performances de la part de Clarkson et Scanlen qui permettent de rendre la guerre froide qui règne au sein du foyer plus passionnante que l'enquête lente autour du meurtre, mais la distribution absolument parfaite menée par Adams est de toute façon son plus grand atout.
The Oregonian
Sharp Objects n'est peut-être une série que l'on a envie de regarder compulsivement, mais elle est bien meilleure que le film Gone Girl, avec sa propre atmosphère humide, sensuelle, hypnotisante.
Télé 7 Jours
Un thriller qui prend son temps, poisseux, oppressant, avec une comédienne incandescente, Amy Adams (5 fois nommées aux Oscars), au sommet de son art. On y retrouve aussi la patte du réalisateur Jean-Marc Vallée, ses mouvements de caméra, sa façon méticuleuse de poser le décor, d'installer un climat, qui ont fait la réussite de Big Little Lies.
Télérama
Sharp Objects mêle brillamment thriller intense et drame psychologique troublant (...) Jean-Marc Vallée fait s’entrechoquer passé et présent dans une superbe mise en scène — dont les nombreux effets servent le récit —, sublimée par une photo subtile et une prise de son sensorielle, qui capte les moindres bruits de la campagne.
DailyMars
Pour un peu, HBO tiendrait presque là son mode opératoire fétiche. Après Big Little Lies l’an passé, voici venir une autre déclinaison d’un roman écrit par une femme autour de plusieurs personnages féminins, le tout porté à l’écran par Jean-Marc Vallée. Mais la comparaison tourne court et Sharp Objects d’évoquer plutôt une certaine True Detective, en bien comme en mal !
San Francisco Chronicle
L'intrigue de Sharp Objects commence à tourner en rond aux alentours de la fin. Mais l'absence d'avancement narratif conséquent est une petite frustration qui se fait oublier grâce aux personnages extrêmement bien écrits. Adams réaffirme avec force qu'elle est l'une des meilleures actrices américaines.
Newsday
Il ne se passe rien dans Sharp Objects. La narration mise à part, on peut y trouver quelques plaisirs. La performance d'Amy Adams en est une.
USA Today
C'est souvent une ennuyeuse, déprimante série qui donne l'impression d'exploiter la violence qu'elle montre. L'adaptation est décevante.