Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Dédié à Ingrid, sa dernière femme ; porté par Liv Ullmann, sa complice ; "Saraband" achève de tisser la toile d'un cinéaste dont toute l'oeuvre est chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
A mesure que se déroule la majesté des plans de "Saraband" s'impose (...) cette "sensation" (on ne parle pas ici de théorie mais d'expérience éprouvée): celle d'un au-delà du spectacle et de ses formes connues.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
(...) les grands cinéastes cheminent toujours vers la simplicité -une simplicité même secrète. Cela, "Saraband" l'accomplit crûment (...) Le cinéma de Bergman, pourtant si riche, n'avait peut-être jamais atteint pareille puissance et profondeur quand il montre ces deux vieux corps blottis l'un contre l'autre, grotesques et sublimes, cadavres, jeunes mariés, fantômes et enfants.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Oui, c'est un film de vieux, comme les ultimes de Dreyer, Renoir ou Satyajit Ray, soit autant de chefs-d'oeuvre. Pas d'esbroufe, une poignée d'acteurs dans des décors qui sentent le théâtre, un tournage où l'on devine que l'auteur se ménage à chaque pas, mais quelle insolente jeunesse dans cette main qui jamais ne tremble, sait au millimètre près comment doit être le cadre et quand il devient indispensable de déplacer la caméra.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Je ne sais s'il existe un cinéaste au monde qui ne considère Bergman comme le plus grand d'entre tous. Avec "Saraband", le maître a donné l'oeuvre ultime, la somme de toutes les sommes, l'oeuvre absolue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Il faut toujours avoir une attention particulière pour les opus ultimes des grands cinéastes. Ils sont souvent la quintessence de l'oeuvre tout entière. Tel est le cas de cette "Saraband" (...) tout est simple et lumineux, même si le propos est d'une lucidité dévastatrice. Avec une gravité et une profondeur particulières, semblable au son particulier du violoncelle qui, justement, égrène " La Sarabande " de Bach.
Le Monde
par Thomas Sotinel
A première vue, à première écoute, ce n'est qu'affaire de mort, de mensonges et de douleurs infligés entre époux, amants, parents et enfants. Avec le temps, l'angoisse ne s'est pas apaisée et le vide est encore plus effrayant. Et pourtant, de la mise en scène de ces agonies finit par naître une beauté, une harmonie presque apaisantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Avec "Saraband", Ingmar Bergman retrouve, trente ans après, le couple de "Scènes de la vie conjugale". Où l'au-delà, le hors-champ et la folie bordent et élargissent l'univers mystérieux des passions humaines.
Libération
par Didier Peron
En dix chapitres entourés par un prologue et un épilogue, "Saraband" est tout à la fois un documentaire sur le vieillissement des acteurs fidèles du cinéaste (...), une synthèse de ses obsessions, un testament automnal d'un sentimentalisme aride et un geste brusque de cinéma sans âge, qui a fini par atteindre à un universel qui n'offre plus prise et que l'on contemple tel le promeneur minuscule la voûte étoilée.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Ingmar Bergman avait déclaré que Fanny et Alexandre serait son dernier film. Heureusement pour nous, il n'a pas tenu sa promesse et les oeuvres qu'il réalise pour le petit écran nous arrivent, bouleversantes. (...) Notre attachement aux personnages renforce le drame qui se noue, (...). Le choix des acteurs, qui mêle amis du cinéaste et jeunes recrues, apparaît judicieux. Un grand moment de cinéma réalisé par l'un de ses plus grands metteurs en scène, fasciné par les troubles de l'âme humaine.
Paris Match
par Alain Spira
C'est du grand Bergman qui vous secoue de l'intérieur et vous fait parcourir, avec une intelligence et une élégance rares, tous les gouffres et les sommets de nos âmes. Des âmes auxquelles il fait danser une drôle de sarabande.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Alain Riou
(...) l'art de Bergman culmine (...) avec une simplicité, un naturel et une force qui sont ceux de la sérénité.
Télérama
par Frédéric Strauss
"Saraband" sort en France, et son intensité devrait confirmer la ferveur dont jouit chez nous le vieux maître suédois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Zurban
par Waldo Lydecker
Il s'agit d'une oeuvre testamentaire et dépouillée, que Bergman découpe en une dizaine de confrontations à deux personnages: la pudeur des retrouvailles, la révélations des secrets et le travail du deuil sont filmés avec cette lumière "nordique" qui capte magnifiquement le désarroi des visages.
Aden
Dédié à Ingrid, sa dernière femme ; porté par Liv Ullmann, sa complice ; "Saraband" achève de tisser la toile d'un cinéaste dont toute l'oeuvre est chef-d'oeuvre.
Cahiers du Cinéma
A mesure que se déroule la majesté des plans de "Saraband" s'impose (...) cette "sensation" (on ne parle pas ici de théorie mais d'expérience éprouvée): celle d'un au-delà du spectacle et de ses formes connues.
Chronic'art.com
(...) les grands cinéastes cheminent toujours vers la simplicité -une simplicité même secrète. Cela, "Saraband" l'accomplit crûment (...) Le cinéma de Bergman, pourtant si riche, n'avait peut-être jamais atteint pareille puissance et profondeur quand il montre ces deux vieux corps blottis l'un contre l'autre, grotesques et sublimes, cadavres, jeunes mariés, fantômes et enfants.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Oui, c'est un film de vieux, comme les ultimes de Dreyer, Renoir ou Satyajit Ray, soit autant de chefs-d'oeuvre. Pas d'esbroufe, une poignée d'acteurs dans des décors qui sentent le théâtre, un tournage où l'on devine que l'auteur se ménage à chaque pas, mais quelle insolente jeunesse dans cette main qui jamais ne tremble, sait au millimètre près comment doit être le cadre et quand il devient indispensable de déplacer la caméra.
L'Obs
Je ne sais s'il existe un cinéaste au monde qui ne considère Bergman comme le plus grand d'entre tous. Avec "Saraband", le maître a donné l'oeuvre ultime, la somme de toutes les sommes, l'oeuvre absolue.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Il faut toujours avoir une attention particulière pour les opus ultimes des grands cinéastes. Ils sont souvent la quintessence de l'oeuvre tout entière. Tel est le cas de cette "Saraband" (...) tout est simple et lumineux, même si le propos est d'une lucidité dévastatrice. Avec une gravité et une profondeur particulières, semblable au son particulier du violoncelle qui, justement, égrène " La Sarabande " de Bach.
Le Monde
A première vue, à première écoute, ce n'est qu'affaire de mort, de mensonges et de douleurs infligés entre époux, amants, parents et enfants. Avec le temps, l'angoisse ne s'est pas apaisée et le vide est encore plus effrayant. Et pourtant, de la mise en scène de ces agonies finit par naître une beauté, une harmonie presque apaisantes.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Avec "Saraband", Ingmar Bergman retrouve, trente ans après, le couple de "Scènes de la vie conjugale". Où l'au-delà, le hors-champ et la folie bordent et élargissent l'univers mystérieux des passions humaines.
Libération
En dix chapitres entourés par un prologue et un épilogue, "Saraband" est tout à la fois un documentaire sur le vieillissement des acteurs fidèles du cinéaste (...), une synthèse de ses obsessions, un testament automnal d'un sentimentalisme aride et un geste brusque de cinéma sans âge, qui a fini par atteindre à un universel qui n'offre plus prise et que l'on contemple tel le promeneur minuscule la voûte étoilée.
MCinéma.com
Ingmar Bergman avait déclaré que Fanny et Alexandre serait son dernier film. Heureusement pour nous, il n'a pas tenu sa promesse et les oeuvres qu'il réalise pour le petit écran nous arrivent, bouleversantes. (...) Notre attachement aux personnages renforce le drame qui se noue, (...). Le choix des acteurs, qui mêle amis du cinéaste et jeunes recrues, apparaît judicieux. Un grand moment de cinéma réalisé par l'un de ses plus grands metteurs en scène, fasciné par les troubles de l'âme humaine.
Paris Match
C'est du grand Bergman qui vous secoue de l'intérieur et vous fait parcourir, avec une intelligence et une élégance rares, tous les gouffres et les sommets de nos âmes. Des âmes auxquelles il fait danser une drôle de sarabande.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) l'art de Bergman culmine (...) avec une simplicité, un naturel et une force qui sont ceux de la sérénité.
Télérama
"Saraband" sort en France, et son intensité devrait confirmer la ferveur dont jouit chez nous le vieux maître suédois.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Zurban
Il s'agit d'une oeuvre testamentaire et dépouillée, que Bergman découpe en une dizaine de confrontations à deux personnages: la pudeur des retrouvailles, la révélations des secrets et le travail du deuil sont filmés avec cette lumière "nordique" qui capte magnifiquement le désarroi des visages.