Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cine Libre
par Jean-Julien Primack
Chacun doit accepter les différences des autres mais il faut surtout les comprendre. C'est à partir de ce postulat relativement simple que Jessie Nelson a construit une histoire incroyablement touchante.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ne pas aimer ce film serait ne rien aimer du tout.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Mathieu Carratier
Si, au premier abord, la vue de Sean Penn faisant le demeuré peut effrayer, quelquees minutes suffisent à effacer ce sentiment. Penn disparaît alors dans ce rôle et permet littéralement au film d'exister.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Zurban
par Véronique Le Bris
D'abord, il y a Sean Penn et le plaisir qu'il a pris à réussir cette performance d'acteur. Et puis, il y a ce mélo typiquement américain où les "faibles" apprennent la vie aux forts, où l'amour qui a raison de tout triomphe des situations les plus rocambolesques. Du vu et revu, dont beaucoup ne se lasseront pas encore une fois.
Aden
par Philippe Piazzo
Sean je suis Sean (Penn) ; moi aussi, j'aurais bien aimé avoir mon Oscar. Dustin Hoffman, il a eu son Rain Man et Tom Hanks son Forrest Gump. Le public adore nous voir mimer nos amis handicapés, des gars si gentils qu'il y a des filles toutes simples comme Michelle Pfeiffer qui s'intéressent à nous.
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
Trop c'est trop! A ce stade ce n'est même plus de la manipulation mais carrément un traquenard, sans parler des publicités pour boissons, couches culottes et autres machins, outrageusement affichées une scène sur deux.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Il y a quelques années, Sean Penn annonçait sa retraite et préférait se consacrer à la réalisation plutôt que d'accepter de tourner les scénarios de plus en plus indigents qu'on lui proposait. Pourquoi alors a-t-il tourné Sam je suis Sam ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
Les points de suture cédant les uns après les autres lorsque tout le monde confond ici sentiment et technique. Parfois jusqu'à l'odieux : faire pleurer une gamine qu'on arrache des bras de son père pour tirer les larmes des foules n'a rien de glorieux. Ne pas diriger une seule seconde Sean Penn et Michelle Pfeiffer non plus.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
(...) Sam, je suis Sam (même le titre est à coucher dehors) est le genre de film qui oblige à se pincer (et à pincer son voisin) pendant la projo pour s'assurer qu'on ne rêve pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Marc Bianco
Ici, tout est démonstratif, sentimentaliste, politiquement correct et manichéen : la riche avocate ne sait pas s'occuper de son enfant, contrairement à l'handicapé smicard... Help ! Côté comédiens, ce n'est pas Sean Penn qui en fait des tonnes, mais Michelle Pfeiffer, en roue libre, à la limite du supportable.
Positif
par Eric Derobert
Et grâce à son admirable trouvaille de composition - il pense imiter les débiles en jouant la bouche ouverte -, Sean Penn se consolera avec l'Oscar dans la catégorie "poissons"...
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Le problème, c'est que la réalisatrice ne recule devant rien pour nous arracher des larmes. On se sent manipulé, donc on demeure de marbre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
(...) ce film (...) transforme un cas social en une tragi-comédie inepte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cine Libre
Chacun doit accepter les différences des autres mais il faut surtout les comprendre. C'est à partir de ce postulat relativement simple que Jessie Nelson a construit une histoire incroyablement touchante.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Ne pas aimer ce film serait ne rien aimer du tout.
Première
Si, au premier abord, la vue de Sean Penn faisant le demeuré peut effrayer, quelquees minutes suffisent à effacer ce sentiment. Penn disparaît alors dans ce rôle et permet littéralement au film d'exister.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Zurban
D'abord, il y a Sean Penn et le plaisir qu'il a pris à réussir cette performance d'acteur. Et puis, il y a ce mélo typiquement américain où les "faibles" apprennent la vie aux forts, où l'amour qui a raison de tout triomphe des situations les plus rocambolesques. Du vu et revu, dont beaucoup ne se lasseront pas encore une fois.
Aden
Sean je suis Sean (Penn) ; moi aussi, j'aurais bien aimé avoir mon Oscar. Dustin Hoffman, il a eu son Rain Man et Tom Hanks son Forrest Gump. Le public adore nous voir mimer nos amis handicapés, des gars si gentils qu'il y a des filles toutes simples comme Michelle Pfeiffer qui s'intéressent à nous.
Cinopsis.com
Trop c'est trop! A ce stade ce n'est même plus de la manipulation mais carrément un traquenard, sans parler des publicités pour boissons, couches culottes et autres machins, outrageusement affichées une scène sur deux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Il y a quelques années, Sean Penn annonçait sa retraite et préférait se consacrer à la réalisation plutôt que d'accepter de tourner les scénarios de plus en plus indigents qu'on lui proposait. Pourquoi alors a-t-il tourné Sam je suis Sam ?
Les Inrockuptibles
Les points de suture cédant les uns après les autres lorsque tout le monde confond ici sentiment et technique. Parfois jusqu'à l'odieux : faire pleurer une gamine qu'on arrache des bras de son père pour tirer les larmes des foules n'a rien de glorieux. Ne pas diriger une seule seconde Sean Penn et Michelle Pfeiffer non plus.
Libération
(...) Sam, je suis Sam (même le titre est à coucher dehors) est le genre de film qui oblige à se pincer (et à pincer son voisin) pendant la projo pour s'assurer qu'on ne rêve pas.
MCinéma.com
Ici, tout est démonstratif, sentimentaliste, politiquement correct et manichéen : la riche avocate ne sait pas s'occuper de son enfant, contrairement à l'handicapé smicard... Help ! Côté comédiens, ce n'est pas Sean Penn qui en fait des tonnes, mais Michelle Pfeiffer, en roue libre, à la limite du supportable.
Positif
Et grâce à son admirable trouvaille de composition - il pense imiter les débiles en jouant la bouche ouverte -, Sean Penn se consolera avec l'Oscar dans la catégorie "poissons"...
TéléCinéObs
Le problème, c'est que la réalisatrice ne recule devant rien pour nous arracher des larmes. On se sent manipulé, donc on demeure de marbre.
Télérama
(...) ce film (...) transforme un cas social en une tragi-comédie inepte.