Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Portée par une mise en scène du tonnerre, cette réjouissante tempête cinématographique se nourrit de spectaculaires séquences de combat, d'une touche d'humour et de méchants soldats aux grimages effrayants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) la réalisation, les costumes et les personnages sont d'une perfection qui n'a rien de tape-à-l'oeil. La beauté du film nous transporte dans un univers merveilleux et violent, entre conte de fées glamour et épopée barbare. Envoûtant, palpitant, sublime !
Le résultat, enthousiasmant au-delà de ce qu'on pouvait espérer, frôle l'idéal de "cinéma pur" que très peu (Disney, Hitchcock, Powell, Kurosawa) ont réussi à atteindre.
La critique complète est disponible sur le site Première
THE LORD OF THE RINGS est la preuve probante que Peter Jackson est un très grand raconteur d'histoire, que nous sommes en face d'un des événements cinématographiques majeurs de ce début de siècle, que l'on peut porter les projets les plus fous à bout de bras tout en gardant respect et humilité envers un auteur et envers le public.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Une fois de plus, Peter Jackson envisage d'abord l'imaginaire comme une manière d'aborder autrement la réalité, voire de l'éclairer. L'intelligence de Peter Jackson, son ironie, la liberté de ton de son scénario, son utilisation habile des extérieurs, (...) restitue la Terre du Milieu imaginée par Tolkien
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Alors, va pour ce Seigneur des anneaux, premier épisode (la Communauté de l'anneau) superlatif d'une trilogie qui abolit les genres saga initiatique, épopée médiévalisante, archétype du jeu de rôle comme les frontières, des cimes enneigées aux entrailles de la terre. Sans attendre la suite, rien n'interdit de mordre déjà à l'hameçon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
le scénario est remarquable, le casting époustouflant, les effets spéciaux d'une nouvelle et autrement convaincante génération. (...) Il faut juste accepter de se perdre dans cet univers improbable mais réaliste, de s'y laisser prendre, pour approcher de l'émotion. Comme dans le livre d'ailleurs.
Ici réduit à la fonction d'organisateur virtuose, Peter Jackson a pourtant démontré par le passé qu'il était aussi un cinéaste doué. On attend alors avec impatience la suite de l'équipée de Frodon et son fidèle ami Sam, pour que le cinéaste, libéré des contraintes de l'introduction, entre enfin dans le vif du sujet...
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) il faut saluer le véritable tour de force, tant au niveau logistique, humain et technologique, de Peter Jackson qui a su tenté de donner vie à l'univers incroyablement imaginatif de Tolkien mais le film ne tient pas la distance. Les trois heures sont vécues comme un long périple éprouvant.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
La distribution est remarquable, les paysages féeriques (...) et certaines scènes inoubliables, telle la chavauchée des Cavaliers noirs, spectres sans visage. Mais une surabondance d'effets spéciaux, une musique un peu lourdingue et un récit dilaté sur trois heures nuisent un peu au film.
Le film est sympa, sorte de Star Wars du nouveau genre (moins d'hyperespace, plus de fougères) mais on attendait mieux qu'une simple mise en images du livre de Tolkien.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ivre de paysages grandioses (...), Peter Jackson pourtant s'essouffle à vouloir donner de l'ampleur à un conte qui semble le dépasser. (...) On peut maintenant se demander si Peter Jackson n'aurait pas dû franchement trahir Tolkien. L'affaire est à suivre dans les deux prochains volets de la saga.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'esprit fondeur de Peter Jackson (...) s'est mué en un professionnalisme du plus bel ennui. Peut-être est-ce cela le pire : son art du mauvais goût, du débordement rigolard, tout ce qui faisait la sève de ses meilleurs films s'est abîmé dans le gouffre de la respectabilité.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
(...) nous n'avons vu qu'un infâme rogaton déguisé en superproduction. Certes, l'adaptation a dû coûter son pesant de dollars (...), et l'argent est sur l'écran, étalé grassement au fil de décors pharaoniques (...) et d'effets spéciaux pléthoriques. Bon, d'accord, mais y atil un film ?
Le Parisien
Portée par une mise en scène du tonnerre, cette réjouissante tempête cinématographique se nourrit de spectaculaires séquences de combat, d'une touche d'humour et de méchants soldats aux grimages effrayants.
MCinéma.com
(...) la réalisation, les costumes et les personnages sont d'une perfection qui n'a rien de tape-à-l'oeil. La beauté du film nous transporte dans un univers merveilleux et violent, entre conte de fées glamour et épopée barbare. Envoûtant, palpitant, sublime !
Première
Le résultat, enthousiasmant au-delà de ce qu'on pouvait espérer, frôle l'idéal de "cinéma pur" que très peu (Disney, Hitchcock, Powell, Kurosawa) ont réussi à atteindre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cinopsis.com
THE LORD OF THE RINGS est la preuve probante que Peter Jackson est un très grand raconteur d'histoire, que nous sommes en face d'un des événements cinématographiques majeurs de ce début de siècle, que l'on peut porter les projets les plus fous à bout de bras tout en gardant respect et humilité envers un auteur et envers le public.
Le Monde
Une fois de plus, Peter Jackson envisage d'abord l'imaginaire comme une manière d'aborder autrement la réalité, voire de l'éclairer. L'intelligence de Peter Jackson, son ironie, la liberté de ton de son scénario, son utilisation habile des extérieurs, (...) restitue la Terre du Milieu imaginée par Tolkien
Libération
Alors, va pour ce Seigneur des anneaux, premier épisode (la Communauté de l'anneau) superlatif d'une trilogie qui abolit les genres saga initiatique, épopée médiévalisante, archétype du jeu de rôle comme les frontières, des cimes enneigées aux entrailles de la terre. Sans attendre la suite, rien n'interdit de mordre déjà à l'hameçon.
Zurban
le scénario est remarquable, le casting époustouflant, les effets spéciaux d'une nouvelle et autrement convaincante génération. (...) Il faut juste accepter de se perdre dans cet univers improbable mais réaliste, de s'y laisser prendre, pour approcher de l'émotion. Comme dans le livre d'ailleurs.
Chronic'art.com
Ici réduit à la fonction d'organisateur virtuose, Peter Jackson a pourtant démontré par le passé qu'il était aussi un cinéaste doué. On attend alors avec impatience la suite de l'équipée de Frodon et son fidèle ami Sam, pour que le cinéaste, libéré des contraintes de l'introduction, entre enfin dans le vif du sujet...
Cine Libre
(...) il faut saluer le véritable tour de force, tant au niveau logistique, humain et technologique, de Peter Jackson qui a su tenté de donner vie à l'univers incroyablement imaginatif de Tolkien mais le film ne tient pas la distance. Les trois heures sont vécues comme un long périple éprouvant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
La distribution est remarquable, les paysages féeriques (...) et certaines scènes inoubliables, telle la chavauchée des Cavaliers noirs, spectres sans visage. Mais une surabondance d'effets spéciaux, une musique un peu lourdingue et un récit dilaté sur trois heures nuisent un peu au film.
TéléCinéObs
Le film est sympa, sorte de Star Wars du nouveau genre (moins d'hyperespace, plus de fougères) mais on attendait mieux qu'une simple mise en images du livre de Tolkien.
Télérama
Ivre de paysages grandioses (...), Peter Jackson pourtant s'essouffle à vouloir donner de l'ampleur à un conte qui semble le dépasser. (...) On peut maintenant se demander si Peter Jackson n'aurait pas dû franchement trahir Tolkien. L'affaire est à suivre dans les deux prochains volets de la saga.
Urbuz
L'esprit fondeur de Peter Jackson (...) s'est mué en un professionnalisme du plus bel ennui. Peut-être est-ce cela le pire : son art du mauvais goût, du débordement rigolard, tout ce qui faisait la sève de ses meilleurs films s'est abîmé dans le gouffre de la respectabilité.
Aden
(...) nous n'avons vu qu'un infâme rogaton déguisé en superproduction. Certes, l'adaptation a dû coûter son pesant de dollars (...), et l'argent est sur l'écran, étalé grassement au fil de décors pharaoniques (...) et d'effets spéciaux pléthoriques. Bon, d'accord, mais y atil un film ?