Après nous avoir fait croire, dans les cinq premières minutes, qu'il reprenait sa casquette de cheminot, Jean Gabin nous fait comprendre qu'il a entrepris un tournage plein de "clins d'oeil" : à La Bête humaine donc, mais aussi à ses rôles habituels auxquels on peut ici dire adieu. En collaboration avec l'Institution des Jeunes Aveugles de France, l'oeuvre nous fait facilement confondre acteurs voyants et non-voyants, à tel point qu'on ne ...
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