Snake Eyes
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poster du film Bande-annonce Snake Eyes
13 octobre 1993 en salle | 1h 48min | Drame
|
Titre original Dangerous Game
Spectateurs
3,0 137 notes, 14 critiques
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noter :
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2.5 Moyen
3 Pas mal
3.5 Bien
4 Très bien
4.5 Excellent
5 Chef-d'oeuvre

Synopsis

Interdit - 12 ans

A travers l'histoire d'un cinéaste qui veut filmer la dernière nuit d'un homme et d'une femme dont le couple se défait, celle d'un tournage, dont le moins qu'on puisse dire est que l'équipe ne représente pas le cliché habituel de la grande famille du cinéma.

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samedi 2 juin 2018
photo de Harvey Keitel
Rôle : Eddie Israel
photo de Madonna
Rôle : Sarah Jennings
photo de James Russo
Rôle : Francis Burns
photo de Victor Argo
Rôle : Le chef opérateur

Critiques Spectateurs : ils ont aimé

Meilleures critiques les plus utiles
4,0
Publiée le 23 janvier 2009
Imaginez "La Nuit Américaine" et remixez-le à la sauce Ferrara... Cela vous donne "Snake Eyes", long-métrage intriguant à ne surtout pas confondre avec le film éponyme et bien plus convenu de Brian De Palma. Mis en scène un an après "Bad Lieutenant" mais surtout la même année que "Body Snatchers" (production de genre aux confins du blockbuster), cet essai relativement déjanté s'apparente très vite à un règlement de comptes de son ...
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4,0
Publiée le 4 août 2010
Le style froid habituel de Ferrara capable de pourrir un film comme "King of New York" sied parfaitement à ce film intense porté par trois excellents principaux, tous bluffant dans leur registre. Le style quasi-documentaire accentue le réalisme du film qui prend aux tripes.
4,0
Publiée le 10 juin 2018
Abel Ferrara s'amuse à nous perdre entre réalité et fiction, à alterner scènes "du film" et scènes "réelles". Un coup risqué, que le réalisateur transforme en coup de génie, grâce principalement aux immenses performances de ses acteurs, tous excellents!
4,0
Publiée le 14 juin 2009
Les films d'Abel Ferrara sont - pour la plupart - des expériences qui marquent. Avec Snake Eyes, le cinéaste signe une oeuvre obsédante sur la condition d'artiste, une réflexion tout à fait nuancée sur l'aliénation et les méfaits qui en découlent. Harvey Keitel y campe un réalisateur sagement autoritaire, personnage à la sympathie évidente dirigeant deux acteurs en proie à la souffrance de leur relation réciproque : Madonna et James ...
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L'origine du film

En 1991, Abel Ferrara écrivit quelques pages sur le thème du cinéaste dont la vie est bouleversée par le film qu'il est en train de tourner. Il en confia le développement à Nicholas St. John , son collaborateur de longue date. Celui-ci eut l'idée du film dans le film, “The Mother of Mirrors” (un titre inspiré de Jean Genet) .

La reconnaissance critique

Snake eyes, produit par la société de Madonna "Maverick", apporte à la chanteuse la reconnaissance des professionnels. Elle récolte d'excellentes critiques, et gagne ainsi une véritable crédibilité en tant qu'actrice.

Nouvelle donne au montage

Snake eyes comportait à l'origine une trentaine d'heures de pellicule. Abel Ferrara en tira une première version de trois heures et demie qu'il réduisit ensuite à un peu plus de deux heures. Certaines scènes de répétitions figurent dans la version définitive, donnant au film l'aspect documentaire voulu par le réalisateur.

Infos techniques

Nationalité U.S.A.
Distributeur CIPA
Récompense 1 nomination
Année de production 1993
Date de sortie DVD -
Date de sortie Blu-ray -
Date de sortie VOD -
Type de film Long métrage
Secrets de tournage 5 anecdotes
Budget -
Langues Anglais
Format production -
Couleur Couleur
Format audio -
Format de projection -
N° de Visa -

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